30 août, 2009

Offenbach et ses librettistes.

Entendu hier dans je ne sais quel opéra bouffe du Maître ("La Créole" peut-être), livret, si c'est le cas, d'Albert Millaud :

Et Monsieur le maire?
Il a le mal de mer.
Et le notaire ?
Et bien, le mal de terre !

Voilà aussi pourquoi j'aime autant Offenbach...
.

1 commentaire:

lise a dit…

dis donc, PP, les grands esprits se rencontrent, et ON LE PROUVE !!! deux srticles qui se donnent la main ce matin sur deux blogs voisins et frnacophones, c'est la magie des mtos, de l'♪0criture : quelque chose nous ♪0chappe, mais on peut admirer.

Le notaire qui a le mal de terre .. ou deS terreS ??? Et alors, on déterre quoi, sans enterrer ?? ( je sens un vague mal de crâne qui commence, moi ...)

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