03 août, 2009

Michel Droit (pour ceux qui s'en souviennent....). J'ai fait sans le savoir de la peine à ses petites filles.

Il y a quelques mois, j'ai rappelé le petit différend entre un certain Michel Droit, journaliste généraliste oublié qui eut son heure de gloire et de pouvoir médiatique et le toujours célèbre Gainsbourg à l'occasion de sa version reggae de la Marseillaise. Les petites filles de Michel Droit viennent de le découvrir, en sont bien tristes, me l'ont dit (l'une, familière, me tutoie, l'autre pas !) et je ne sais comment les consoler, tant elles estiment le fait que je rappelle cette histoire plus scandaleux que cette histoire elle-même... Je les trouve de surcroît sincèrement très touchantes dans leur culte de l'icône grand-parentale, moi aussi j'adorais mon grand-père... Pour ce qui est de l'icône, en revanche...
Le fait de rappeler que j'ai rappelé cette affaire qui fit rigoler tout le monde en son temps et à ses dépends n'est pas scandaleux de leur part, c'est juste pas très malin, quelque peu pathétique, voire même un peu couillon...
"Vous manquez de culture", me disent-elles ! sans aucun doute, les filles, mais, à défaut, j'ai une bonne mémoire : quand on va à la chasse, fût-ce lors d'un safari, surtout quand il y a de l'espace, c'est le gibier qu'on tire...
"In cauda venenum" ? sans aucun doute !
Vous êtes cultivées, vous, petites filles d'académicien... vous savez donc le latin, et ce que ça veut dire ...

à lire, nos échanges sur :

3 commentaires:

Juliette03 a dit…

Merci cher monsieur d'avoir dit à votre "ami" de laisser tomber..Cela prouve votre intelligence...Pourquoi fait-il ça ?

Je sais que si je m'adresse à lui, il va encore imprimer mon com..Peut-être publiera-t-il ce que je vous écris...Je ne me fais plus aucune illusion sur lui..
Et bien, si ça peut amuser ce monsieur, dites-lui donc qu'après la Marie "pleurnicheuse", après la prof handicapée s'étant offert un enfant - mon dieu, comment peut-on être aussi vil - dites-lui qu'il y a aussi la sale cancéreuse qui rêvait un jour de devenir écrivain, et qui, frustrée de ne pas y arriver, s'est servie d'un "gentil" écrivain pour essayer de parvenir à ses fins..

Vous m'avez l'air intelligent, donc, vous pouvez essayer de me convertir à vos idées (je ne sais pas lesquelles d'ailleurs)....Un peu plus, un peu moins, au point où j'en suis..Non, je ne me suiciderai pas..Le crabe est là, prêt à s'en charger...Oui, oui, je veux faire pleurer dans les chaumières..

Beau panel, n'est-ce pas de "minables", hein, PP !...Moquez vous, gaussez vous !...Ca mettra un peu plus de piment dans vos vies...Parmi mes lecteurs, j'ai toutes les couches sociales, du pauvre smicard à la prof, à la toubib, à l'ouvrier Michelin, tous des minables, puiqu'ils me lisent depuis + de 2 ans..Je ne suis d'aucun bord politique..Alors, votre ami peut m'accuser de ce qu'il veut..

S'il vous plait, ne tapez pas trop fort..Sinon, demain matin, mon blog aura aussi disparu et je pousserai au désespoir toutes mes copines malades du cancer comme moi...que mes écrits faisaient rire..Je ne sais pas si mon dernier article les aura fait rire...Je veux bien l'effacer (quoique Mr de Rudder a dû l'imprimer et pourra le ressortir quand il voudra...Je passe mon temps à les effacer..Un de +, un de moins....

Bien à vous...

Au point où j'en suis, je peux vous mettre le lien de mon blog, puisque votre ami s'en est largement chargé.

Plus on est de fous, plus on rit...

Rigolez, rigolez...Comme dirait ma mère "vous pisserez moins au lit"...Hic...

ps : pourquoi je poste chez vous ?..Primo pour votre com chez votre ami, secondo pour votre réponse à la jeune parente de Michel Droit...Ca prouve que votre cerveau n'est pas hermétique.

P. P. Lemoqeur a dit…

Chère Juliette,

Votre commentaire me surprend car il n'a et vous l'avouez vous même, aucun rapport avec mon message.

Je le publie pour vous répondre. J'ignore ce qui vous oppose ou vous a opposé à Orlando et honnêtement, ça ne m'intéresse pas. Ce qui m'étonne en revanche, c'est votre demande de me faire votre intercesseur auprès de quelqu'un dont le discours et les "préoccu-passions" (comme je lui disais il y a quelques minutes) et les excès rhétoriques vous sont comme pourraient être les miens totalement étrangers. Que puis-je vous dire d'autre que je ne lui ai dit aussi : Laissez tomber ! Le net n'est pas, fût-ce bien dommage, le champ de la compassion, ...
Je vais vous dire un truc, Juliette, je suis l'inventeur du concept... L'amour et/ou l'amitié sont la rencontre heureuse de deux pathologies compatibles. Le Net crée l'illusion que cette rencontre et cette compatibilité peuvent s'élargir au terrain plus étendu et vaste de la pensée... Ce n'est qu'un leurre. Le net est un lieu de cruauté sans nom...
Je ne sais pas si vous vous rendez compte... Je vous semble intelligent, dites -vous, merci, je suis touché et en même temps je serais celui qui se gausse...des autres en général, peut-être et qui sait, de vous aussi le cas échéant...
Vous rendez-vous compte de ce que vous êtes en train d'essayer, mine de rien et probablement sans vous en apercevoir par le système éprouvé de la double contrainte de me culpabiliser ?
Votre état vous donne-t-il ce droit?

Je vais vous dire un truc... Le sida, le cancer, je connais, j'y ai perdu un compagnon de l'un et trop d'amis et de l'un et de l'autre...
Moi ? je suis en bonne santé ? C'est possible... en suis-je aussi certain tant c'est de nos jours un état transitoire ?

Juliette, vous n'êtes pas raisonnable... Sauf si ce jeu de l'échange pourave et à tous crins pervers vous nourrit et vous maintient.

Que pourrais-je vous dire d'autre au vu de ce que vous me dites qui serait, soit lénifiant, soit du genre pousse au crime ?
Je ne suis pas désintéressé du genre humain, mais je suis, sauf instinct de survie, assez peu parnoïaque...
Ah ! au fait je ne mets jamais de guillemets à ami...

Bien sincèrement amicalement

Michèle a dit…

je ne rajouterai rien au commentaire de Juliette : j'adhère à 100 %

d'ailleurs comment faire autrement ?

vous vous présentez P.P.le Moqueur, mais je suis agréablement étonnée

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