Puisque l'on assiste de jour en jour à la mise en place et sans aucune retenue d'une politique forcenée en faveur des très riches, qu'est-ce que notre président et ses affidés attendent de ceux au service desquels ils ont mis le pouvoir qui leur à été légitimement donné par la voie des élections ? L'aide des très riches pour qu'ils soient encore réélus et pérenniser une mise à sac de nos valeurs républicaines au profit du fric, et encore du fric ? C'est ignorer que malgré tout ce qu'ils rêvent de faire, il peut très bien se produire aux prochaines présidentielles un retournement qui leur sera, pas vraiment catastrophique mais pour le moins, contrariant. Qu'attendent donc du patronat les gens qui nous gouvernent dès qu'ils ne seront plus au pouvoir ? De l'argent ? C'est techniquement difficile. Des fonctions mirifiques au sein de leurs entreprises ? Bof, faut avoir un poil de compétence et de courage aussi. Je pense pour ma part qu'ils se trompent. Car quoi qu'ils fassent, les riches ne feront pas d'eux des riches... Ils leur feront vraisemblablement en remerciements de leurs loyaux services des cadeaux qui leur sembleront mirifiques mais qui ne sont en réalité que très dérisoires. Un peu comme les sommes qui nous paraissent énormes dont Madame Bettencourt gratifiait ses anciens domestiques. La force des grandes fortunes françaises c'est que contrairement à Berlusconi qui fait partie du même monde que ceux pour lesquelles il se décarcasse, et qui, quelles qu'en soient les manières, a acquis lui même ce qu'il possède, notre président qui les sert est un indigent peu doué pour les affaires, c'est semble-t-il de famille, son frère en est la preuve, et qui n'a jamais aussi bien gagné sa vie que depuis qu'il est président, mais malgré ses efforts et son augmentation, une misère au regard de ce que gagnent ses prétendus amis, partisans et financiers de ses campagnes. La preuve que Sarkozy est pauvre, c'est que, comme son maître Chirac, il a dû se résoudre à faire un riche mariage...
Et, puis faut pas qu'il rêve, jamais il ne se fera, s'il n'est pas réélu, des couilles en or comme s'en font, maintenant Blair et toujours Clinton. Vous iriez vous, en payant, à une conférence de Sarkozy, un diner en sa présence ?
Tiens, c'est pitoyable, ça me rappelle la chanson de Brel
Et, puis faut pas qu'il rêve, jamais il ne se fera, s'il n'est pas réélu, des couilles en or comme s'en font, maintenant Blair et toujours Clinton. Vous iriez vous, en payant, à une conférence de Sarkozy, un diner en sa présence ?
Tiens, c'est pitoyable, ça me rappelle la chanson de Brel
... Qu'aimerait bien avoir l'air
Mais qu 'a pas l'air du tout
Faut pas jouer les riches
Quand on n'a pas le sou
Faut vous dire Monsieur
Que chez ces gens-là
On ne vit pas Monsieur
On ne vit pas on triche.
Faut pas jouer les riches
Quand on n'a pas le sou
Faut vous dire Monsieur
Que chez ces gens-là
On ne vit pas Monsieur
On ne vit pas on triche.
Et comme on dit, "quoi qu'on fasse, la caque sent toujours le hareng".
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