L'été a des effets saisissants sur le look des pères de famille qu'on croise dans les magasins de discount de banlieue (Pouvoir d'achat et oui !). Certains, nombreux même, dans des tenues hallucinantes, démarquages à peine édulcorés de ce qu'on peut voir dans le Marais un an auparavant. Alors, c'est vrai que très souvent, c'est bobonne qui s'y colle à l' habillement, dans le catalogue de la Redoute, de Quelle, ou du Vert Baudet, dans le meilleur des cas c'est ensemble à "La Halle", chez "Gémo", voire sur le marché du coin... Car, quoiqu'il en soit, la "Mode" ça se teste quand même toujours, d'abord et quoi qu'on en pense dans le milieu homo avant d'aller se frotter aux derches de nos amis et de leurs garçons. C'est comme ça, on n'y peut rien, constat !
Mais y en a quand même qui "dépassent les burnes" ! La semaine dernière chez Lidel, devant moi à la caisse, une famille nombreuse, et oui ! madame, monsieur et trois bambins de pré à post-pubères, trois garçons de onze à seize ans environ. A la caisse chez Lidel on a le temps de regarder ! Et c'est là que à ça devient étonnant. Les trois ados sont plutôt stricts, shorts blancs t-shirt bleus, quasiment en uniforme ! Madame est en robe d'été, blonde cheveux mi-longs, sportive, visiblement sans sous-tif, elle peut, ça tient, c'est du béton.
Mais, c'est Monsieur... Monsieur qui se distingue, la quarantaine flamboyante et sans lipides, en pantacourt et en marcel. Jusque là rien à redire, il est pas le seul... Mais, il est rasé du crane, porte barbiche, là encore c'est partagé ! Mais surtout, il est tatoué, très tatoué. Et alors ? tatoué, me direz-vous, c'est pas le seul non plus ! Non, c'est vrai, mais il n'est tatoué que "de derrière". Sur la nuque, le trapèze droit, et sur les flancs internes des bras, c'est à dire visibles de dos, un vocabulaire du tatouage tout, sauf innocent... probablement qu'il l'est aussi au dessus du coccyx à la base des lombaires, généralement ça va avec, je sais, je connais, j'aime bien... Je guette le moment où il va se baisser, que je vérifie ! Pas de pot, il reste debout. Bon, je vais pas vous faire un cours, mais dans les pratiques de tatouages, si vous vous intéressez un peu à la question, le fait est que rares sont les hétéros qui se font tatouer de cette manière-là... Et il arrive un moment ou tant de détails réunis, crane rasé, fringues, "goat" et tatouages, ça finit par ressembler à un sérieux "faisceau de présomptions", comme on dit au tribunal !
Les questions que je me pose sont les suivantes qui ne sont en aucune manière d'ordre moral, que ce soit clair ! Est-il bi ? Madame le sait-elle ? S'il ne l'est pas, est-ce elle qui l'habille et le décore ainsi, sans savoir ? Se rend-il compte ou non dans ce cas ?
Et le plus rigolo, dans l' affaire, c'est que même hétéro, lâché à l'insu de son plein gré dans une boite homo, ils ne serait pas plus dragué qu'un autre, tant il est banalisé...
Ah, la mode !
Mais y en a quand même qui "dépassent les burnes" ! La semaine dernière chez Lidel, devant moi à la caisse, une famille nombreuse, et oui ! madame, monsieur et trois bambins de pré à post-pubères, trois garçons de onze à seize ans environ. A la caisse chez Lidel on a le temps de regarder ! Et c'est là que à ça devient étonnant. Les trois ados sont plutôt stricts, shorts blancs t-shirt bleus, quasiment en uniforme ! Madame est en robe d'été, blonde cheveux mi-longs, sportive, visiblement sans sous-tif, elle peut, ça tient, c'est du béton.
Mais, c'est Monsieur... Monsieur qui se distingue, la quarantaine flamboyante et sans lipides, en pantacourt et en marcel. Jusque là rien à redire, il est pas le seul... Mais, il est rasé du crane, porte barbiche, là encore c'est partagé ! Mais surtout, il est tatoué, très tatoué. Et alors ? tatoué, me direz-vous, c'est pas le seul non plus ! Non, c'est vrai, mais il n'est tatoué que "de derrière". Sur la nuque, le trapèze droit, et sur les flancs internes des bras, c'est à dire visibles de dos, un vocabulaire du tatouage tout, sauf innocent... probablement qu'il l'est aussi au dessus du coccyx à la base des lombaires, généralement ça va avec, je sais, je connais, j'aime bien... Je guette le moment où il va se baisser, que je vérifie ! Pas de pot, il reste debout. Bon, je vais pas vous faire un cours, mais dans les pratiques de tatouages, si vous vous intéressez un peu à la question, le fait est que rares sont les hétéros qui se font tatouer de cette manière-là... Et il arrive un moment ou tant de détails réunis, crane rasé, fringues, "goat" et tatouages, ça finit par ressembler à un sérieux "faisceau de présomptions", comme on dit au tribunal !
Les questions que je me pose sont les suivantes qui ne sont en aucune manière d'ordre moral, que ce soit clair ! Est-il bi ? Madame le sait-elle ? S'il ne l'est pas, est-ce elle qui l'habille et le décore ainsi, sans savoir ? Se rend-il compte ou non dans ce cas ?
Et le plus rigolo, dans l' affaire, c'est que même hétéro, lâché à l'insu de son plein gré dans une boite homo, ils ne serait pas plus dragué qu'un autre, tant il est banalisé...
Ah, la mode !
1 commentaire:
Cher pp,
Pour vous aussi donc l'attente aux caisses des super n'est pas du temps perdu pour qui aime à mieux connaître ses "semblables"...Moi j'adore observer le contenu des caddies et les petits rituels de rangement pré et post paiement des clients, et puis le passage par une mère et sa marmaille à la caisse précédée des gondoles à cochonnerie est toujours un grand moment de mise en scène des relations familiales...Il y a celle qui ne veulent pas apparaître comme des marâtres et cèdent tout de suite et les celles qui tiennent à faire savoir (faire croire?) qu'elles sont maîtresses chez elles et ne cèdent rien.
Pour enrichir votre collection de prénoms cheap bling bling : un strident Sheeran pour appeler une porceline blondinette à la caisse du leader.
angevine
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