19 novembre, 2010

Oh ! je devrais pas vous raconter ça !

Mais en lisant le blog d'Orlando de Rudder, de fil en aiguille il me revient des souvenirs. des souvenirs de pochetrons, j'ai commencé très jeune ! C'était en 69 , année érotique comme tout le monde sait. Nous étions tout une bande dont faisait partie le fils du directeur d'un quotidien régional. Il était l'ainé d'une famille très nombreuse. Ils habitaient deux appartements qui avaient été réunis au dernier étage d'une tour qui devait en compter dix ou douze. Bien entendu, dès que les parents partaient en w-e avec les plus jeunes, comme il y avait de la place, on faisait des bringues d'enfer dans le penthouse. Il y avait un tas de gens, des potes dont certains ont aujourd'hui une certaine position sociale... Il y avait aussi bien entendu des filles "en quantité suffisante pour" ...
Bref un soir, on avait tellement picolé qu'on a tous gerbé par dessus les balcons affichant nos bacchanales sur la façade, sur deux étages en dessous. Même que ça se voyait d'en bas, de la rue, et comme le papa n'était pas non plus ennemi de la joie et que ça se savait, il a fallu pour éviter que nos excès lui soient attribués, descendre dès le lundi en hâte un peintre professionnel dans une nacelle pour repeindre la façade souillée de jaja rouge, on aimait pas le blanc...

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Bin alors! C'est à caus de mon blog? Pourquoi pas?Mais je parle peu de ce genre de choses, non?
Le vin rouge, ça va: les quarante premiers verres, ça passe bien, mais arès, c'est dur...
hors landau

P. P. Lemoqeur a dit…

J'ai pas dit que c'était "à cause", mais que de fil en aiguille après vous avoir répondu en parlant d'un souvenir" régional", il m'en est venu d'autres !

Vous savez comment c'est, on tire sur un bout de laine, et tout la pelote se dévide !

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