Certaines chantent plus vite, d'autres plus lentement, Crespin et Ansermet, sont là à mon rythme, juste au tempo qui me convient, c'est articulé, ça respire, c'est sans chi-chi, c'est bien et puis, et puis, comme ça m'émeut à chaque fois, je vais dire une bêtise, ce que c'est beau ! Avec Zueignung de Strauss, sans doute l'une des pièces pour voix de femme que je préfère.
18 août, 2010
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1 commentaire:
J'ai répété bêtement que je n'aimais pas Berlioz, jusqu'au jour où j'ai entendu les nuits d'été, par Régine Crespin justement. Comme quoi Brassens se trompait quand il chantait "quand on est con, on est con, le temps ne fait rien à l'affaire..."
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