Après le brûlot largué par la presse canadienne à propos du possible manque de munitions de nos soldats en Afghanistan, notre ministre de la défense répond. "Il n'y a pas eu de rapport, mais un compte-rendu "dit-il sûr de lui, en insistant bien, comme s'il éteignait le début d'incendie. C'est vrai que la différence est importante pour les disparus et les leurs...
Le problème, c'est que si un rapport émane généralement d'un organisme indépendant, étranger à la structure qui en fait objet, le résultat d'une enquête en quelques sortes, le compte-rendu est un document interne à la dite structure, un témoignage, c'est à dire difficilement contestable.
Il confond sans doute, avec la vieille expression militaro - administrative : "J'vais vous coller un rapport, mon ami, rompez !"
Ah ! le pouvoir des mots quand on en ignore certaines subtilités... On finit par dire le contraire de ce qu'on voudrait...
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Le problème, c'est que si un rapport émane généralement d'un organisme indépendant, étranger à la structure qui en fait objet, le résultat d'une enquête en quelques sortes, le compte-rendu est un document interne à la dite structure, un témoignage, c'est à dire difficilement contestable.
Il confond sans doute, avec la vieille expression militaro - administrative : "J'vais vous coller un rapport, mon ami, rompez !"
Ah ! le pouvoir des mots quand on en ignore certaines subtilités... On finit par dire le contraire de ce qu'on voudrait...
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