Celle-là je l'ai pas inventée mais je vous la livre telle quelle parce c'est délicieux.
Historique domestique : il y a dans la cour un beau pied de rhubarbe qu'il fallait tailler. J'en ai récolté un bon kilo de tiges. J'en ai congelé les 8/10. Pour les deux autres dixièmes, lire la suite !
Car Polo a aussitôt trouvé sur le net une recette superbe autant que simple et un poil orientale.
Vous coupez 200g de votre rhubarbe en petits dés. Vous les faites fondre dans du beurre avec de l'ail, trois gousses, faut pas être rat. Si vous avez du gingembre frais vous en râpez une bonne rasade, mais du gingembre en poudre fait très bien l'affaire. Du poivre en q.s.p, un peu de sucre aussi, car la rhubarbe c'est quand même un peu acide, voyez-vous.
Et vous la laissez fondre, la rhubarbe, elle ne demande que ça.
Vous déglacez ensuite avec du vin blanc et vous faites réduire, doucement, comme vous le feriez avec des échalotes et du vin rouge pour accompagner une bavette. Nous, c'était de la hampe, car l'araignée, c'est rare ! Mais c'est goûtu la hampe! Bref, vous faites cuire vos steaks de ce que vous voulez pourvu que ce soit tendre,surtout du muscle en long et vous les nappez de ce qu'on va appeler le "coulis rhubarbe".
On s'est servi ça avec des aubergines grillées. La recette conseille des patates. C'est surement excellent aussi !
Ah, j'oubliais, ça se fait en un quart d'heure. Je sais, vous allez me dire mais faut avoir de la rhubarbe ! C'est vrai, mais objectivement, c'est plus normal d'avoir de la rhubarbe fraiche et locale en août que des fraises à Noël venues des antipodes, non ?
Pour la petite histoire, quand j'étais môme, la rhubarbe, plante honnie par certains pour ses vertus prétendues abortives n'entrait, fût-ce à l'état de confiture, dans aucune famille poitevine où l'on abritait des jeunes filles... de ces jeunes filles dont on sait qu'elles faisaient tourner sauces et mayonnaises quand elles avaient leurs "périodes"...
Historique domestique : il y a dans la cour un beau pied de rhubarbe qu'il fallait tailler. J'en ai récolté un bon kilo de tiges. J'en ai congelé les 8/10. Pour les deux autres dixièmes, lire la suite !
Car Polo a aussitôt trouvé sur le net une recette superbe autant que simple et un poil orientale.
Vous coupez 200g de votre rhubarbe en petits dés. Vous les faites fondre dans du beurre avec de l'ail, trois gousses, faut pas être rat. Si vous avez du gingembre frais vous en râpez une bonne rasade, mais du gingembre en poudre fait très bien l'affaire. Du poivre en q.s.p, un peu de sucre aussi, car la rhubarbe c'est quand même un peu acide, voyez-vous.
Et vous la laissez fondre, la rhubarbe, elle ne demande que ça.
Vous déglacez ensuite avec du vin blanc et vous faites réduire, doucement, comme vous le feriez avec des échalotes et du vin rouge pour accompagner une bavette. Nous, c'était de la hampe, car l'araignée, c'est rare ! Mais c'est goûtu la hampe! Bref, vous faites cuire vos steaks de ce que vous voulez pourvu que ce soit tendre,surtout du muscle en long et vous les nappez de ce qu'on va appeler le "coulis rhubarbe".
On s'est servi ça avec des aubergines grillées. La recette conseille des patates. C'est surement excellent aussi !
Ah, j'oubliais, ça se fait en un quart d'heure. Je sais, vous allez me dire mais faut avoir de la rhubarbe ! C'est vrai, mais objectivement, c'est plus normal d'avoir de la rhubarbe fraiche et locale en août que des fraises à Noël venues des antipodes, non ?
Pour la petite histoire, quand j'étais môme, la rhubarbe, plante honnie par certains pour ses vertus prétendues abortives n'entrait, fût-ce à l'état de confiture, dans aucune famille poitevine où l'on abritait des jeunes filles... de ces jeunes filles dont on sait qu'elles faisaient tourner sauces et mayonnaises quand elles avaient leurs "périodes"...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire