Hier matin l'ineffable Catherine Clément qui dès l'aube squattait Radio France à tous les étages, commente une réponse que Lévi Strauss avait faite à Chancel lors d'une Radioscopie dans les années soixante-dix à la question "avec qui aimeriez vous passer un moment"... "avec un chat ou avec un chien" répond en substance le génial au cuistre hertzien médusé. Clément prétend, péremptoire, qu'il plaisante, que c'est pour embêter Chancel... Sans même mentionner l'amour qu'il portait aux chats et plus littérairement à ce propos, le fameux texte à quatre mains avec Jakobson sur "les Chats" de Baudelaire... (Cf Cahier de l'Herne Lévi-Strauss 2004) sans oublier les dessins qu'il en fit...
Un Lévi-Strauss espiègle en quelque sorte ou portrait du Maître en bouffon ...
Voilà, ça c'est Clément ! Oui, je sais, comme disait quelqu'un de méchant : "Clément ? Bah ! Qu'est-ce ?"
Lévi-Strauss, qui avait paraît-il assez mal vécu la descente des Sarkozy rue des Marronniers sans y être invités le jour de son centenaire l'an passé, a cette fois-ci tout prévu. Il s'est fait enterrer en douce, pour éviter les indésirables, les récupérateurs de tous poils et obédiences. Pas de photo de Sarkozy au cimetière, pas de photos de Clément non plus...
Ah ! c'est dur pour le petit commerce des produits dérivés de la pensée moderne...
Et c'est pas avec Finkielkraut qu'il faut compter se refaire...
Un Lévi-Strauss espiègle en quelque sorte ou portrait du Maître en bouffon ...
Voilà, ça c'est Clément ! Oui, je sais, comme disait quelqu'un de méchant : "Clément ? Bah ! Qu'est-ce ?"
Lévi-Strauss, qui avait paraît-il assez mal vécu la descente des Sarkozy rue des Marronniers sans y être invités le jour de son centenaire l'an passé, a cette fois-ci tout prévu. Il s'est fait enterrer en douce, pour éviter les indésirables, les récupérateurs de tous poils et obédiences. Pas de photo de Sarkozy au cimetière, pas de photos de Clément non plus...
Ah ! c'est dur pour le petit commerce des produits dérivés de la pensée moderne...
Et c'est pas avec Finkielkraut qu'il faut compter se refaire...
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