Olivier Besancenot était donc suivi et espionné par un détective privé pour le compte d'une entreprise avec laquelle il avait maille à partir. Vous vous rendez compte de l'exploit pour le limier chargé de l'affaire ? Suivre un facteur ! Et oui... Le suivre d'immeuble en immeuble, "planquer" de porte à porte, de boite à lettre en boite à lettre, de recommandé en recommandé, de Chronopost en Chronopost ! Quel boulot ! J'espère que ça a coûté très cher à l'entreprise commanditaire, cette filature phénoménale... Il parait que la boite de rouletabilles en question est aussi spécialisée dans la filature des cantonniers, des plantons, des concierges et des gardiens de squares.
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2 commentaires:
Cher PP,
Cet agissement est "dégueulasse" mais en plus je crains que ça n'est pas coûté très cher au commanditaire car contrairement à ce que vous dites, ce cher Olivier ne doit plus aller de boites aux lettres en boites aux lettres depuis longtemps la Poste n'étant plus qu'une couverture lui permettant de toucher de l'argent de poche...
Le Barde
Et bien il semblerait, que si, qu'il continue à bosser pour la Poste. Mais ce qui m'amusait c'était d'imaginer une sorte d'inspecteur Clouzot ou d'Hercule Poirot, le suivant dans sa tournée sous de multiples déguisements. Ce qui a du, la réalité dépassant la fiction probablement se produire, puisqu'il ne s'est aperçu de rien...
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