On le sait depuis Tchernobyl, la France est toujours épargnée par les nuages radioactifs dégagés par les cata-tomiques. Cette fois-ci encore on est passés à coté, enfin presque. L'intox (médiatique, pas atomique, bien sûr) n'a pas duré aussi longtemps pour Fukushima que pour Tchernobyl pour la bonne raison qu'il existe maintenant des organismes de contrôle indépendants.
Ok, comme dirait l'autre " Y a pas eu mort d'homme", mais tout de même...
Pour preuve :
La CRIIRAD publie ce jour la carte qui prouve que la France a été contaminée dès le 22 mars 2011 :
1/ les masses d’air contaminé par les rejets radioactifs de la centrale nucléaire de fukushima daiichi sont arrivées 2 jours avant la date indiquée par l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) ;
2/ elles ont affecté les trois quarts de la France (et non pas le seul sommet du Puy-de-Dôme) ;
3/ l’activité de l’iode 131 particulaire était plus de 20 fois supérieure à celle annoncée pour le 24 mars.
Ni l’IRSN, ni les grands exploitants du nucléaire, ne pouvaient l’ignorer. Omission involontaire (mais invraisemblable) ou délibérée… mais dans quel but ?
La CRIIRAD a saisi ce jour, le Premier ministre et le président de l’Autorité de Sûreté Nucléaire d’une demande d’enquête sur la chronologie des faits et les différents niveaux de responsabilités.
http://www.criirad.org/actualites/dossier2011/japon_bis/sommaire.html
Ok, comme dirait l'autre " Y a pas eu mort d'homme", mais tout de même...
Pour preuve :
La CRIIRAD publie ce jour la carte qui prouve que la France a été contaminée dès le 22 mars 2011 :
1/ les masses d’air contaminé par les rejets radioactifs de la centrale nucléaire de fukushima daiichi sont arrivées 2 jours avant la date indiquée par l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) ;
2/ elles ont affecté les trois quarts de la France (et non pas le seul sommet du Puy-de-Dôme) ;
3/ l’activité de l’iode 131 particulaire était plus de 20 fois supérieure à celle annoncée pour le 24 mars.
Ni l’IRSN, ni les grands exploitants du nucléaire, ne pouvaient l’ignorer. Omission involontaire (mais invraisemblable) ou délibérée… mais dans quel but ?
La CRIIRAD a saisi ce jour, le Premier ministre et le président de l’Autorité de Sûreté Nucléaire d’une demande d’enquête sur la chronologie des faits et les différents niveaux de responsabilités.
http://www.criirad.org/actualites/dossier2011/japon_bis/sommaire.html
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