Un certain Pierre Meur que je ne connais pas me cite dans un blog exclusivement consacré à la haine qu'il porte à mon ami Orlando de Rudder (je n'ai pas de "potes", comme il dit, le con joli, je n'ai que des amis)
De double, de doppelgänger, (c'est exactement la même chose - note de PPleM), mais aussi de "faire valoir" qu'il me traite ! Vous vous rendez compte ? la force du propos dans l'injure ? l'écrasante vigueur de la bilingue redondance ? même que plus loin il parle de "vide sidéral", putain quelle image, quelle fulgurance ! où va-t-il chercher tout ça ? Il devrait écrire, Pierre Meur ! quel talent ! quelle culture !
Alors je suis allé voir le petit établi où il travaille ses aigreurs, peaufine ses élans de détestation, la paillasse où il concocte son petit venin, sa bile clairette qui déshonore cet outre-Quiévrain qu'on aime tant, au lieu de besogner sa légitime épouse.
Bon, honnêtement, y a pas de quoi sauter au plafond, ça tient plus du dépôt provisoire d'ordures que de l'antre maléfique. C'est juste assez con pour qu'on s'y attarde un poil, pas plus. Comme il est courageux, mais pas téméraire, il fait transiter par son petit tout à l'égout les saloperies qu''il n'ose par dire, et ce par tous les couillons qu'il convoque... Oh que c'est malin, faire bosser les autres à sa place !
Car Pierre Meur, c'est un besogneux, un tâcheron ; malgré sa bonne volonté évidente, sa persévérance, son opiniâtreté dans sa quête infinie de la malveillance, ça lui vient pas facilement. On pourrait presque dire qu'il est méritant tant sa haine peinante sent la constipation pré-hémorroïdale.
Et si, reprenant la machiste formule de tous temps réservée injustement aux femmes, je pensais que Pierre Meur est tout simplement mal baisé ?
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De double, de doppelgänger, (c'est exactement la même chose - note de PPleM), mais aussi de "faire valoir" qu'il me traite ! Vous vous rendez compte ? la force du propos dans l'injure ? l'écrasante vigueur de la bilingue redondance ? même que plus loin il parle de "vide sidéral", putain quelle image, quelle fulgurance ! où va-t-il chercher tout ça ? Il devrait écrire, Pierre Meur ! quel talent ! quelle culture !
Alors je suis allé voir le petit établi où il travaille ses aigreurs, peaufine ses élans de détestation, la paillasse où il concocte son petit venin, sa bile clairette qui déshonore cet outre-Quiévrain qu'on aime tant, au lieu de besogner sa légitime épouse.
Bon, honnêtement, y a pas de quoi sauter au plafond, ça tient plus du dépôt provisoire d'ordures que de l'antre maléfique. C'est juste assez con pour qu'on s'y attarde un poil, pas plus. Comme il est courageux, mais pas téméraire, il fait transiter par son petit tout à l'égout les saloperies qu''il n'ose par dire, et ce par tous les couillons qu'il convoque... Oh que c'est malin, faire bosser les autres à sa place !
Car Pierre Meur, c'est un besogneux, un tâcheron ; malgré sa bonne volonté évidente, sa persévérance, son opiniâtreté dans sa quête infinie de la malveillance, ça lui vient pas facilement. On pourrait presque dire qu'il est méritant tant sa haine peinante sent la constipation pré-hémorroïdale.
Et si, reprenant la machiste formule de tous temps réservée injustement aux femmes, je pensais que Pierre Meur est tout simplement mal baisé ?
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4 commentaires:
Meunon, y fait ça trèe bien en suiant les préceptes de Monsieur II, Jean-Paul de son prénom! appliqué, méthodique, chrétien! Hi! hi!
Hors landau
J'en connais, qui sont bien vivants et très Meuresques, qui n'auraient pas hésité, de dobble-machin, à aller plus loin et à s'interroger : existe-tu seulement ? ou bien, n'es-tu pas Orlando ? Et même, continuons dans l'absurde et demandons-nous en choeur et coeur si ORLANDO n'est pas à lui seul tous ses amis, car il en a, même si cela semble défriser Pierre Meur
vous ne m'avez pas répondu à propos de figues
Figues
Oui, c'est vrai, je n'ai pas répondu.
Voilà.
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