Les toiles de Jean Broc sont peu nombreuses. Le Louvre a fort heureusement récemment restauré l'une de ces rares toiles et probablement la seule qu'il possède : "L'atelier d'Apelle". Broc introduit ici dans un sujet on ne peut moins guerrier une vigueur "davidienne" qui se trouve justifiée par son histoire elle-même. Apelle, dit-on, dut se battre toute sa vie. Son atelier est un lieu de combat. Ses disciples, ou bien ses contempteurs, au centre du tableau, rejouent à leur manière le Serment des Horaces.
On raconte (Pline l'ancien, peut-être) et j'aime cette histoire, qu'Apelle, peintre officiel, portraitiste attitré d'Alexandre, hyper-réaliste avant l'heure, peignait des raisins si parfaits que les oiseaux, trompés, venaient les picorer.
On sait que les grecs sculptaient, on n'imagine mal qu'ils peignaient tout autant. Il n'y a aucune raison qu'ils aient moins bien peint que sculpté.
On raconte (Pline l'ancien, peut-être) et j'aime cette histoire, qu'Apelle, peintre officiel, portraitiste attitré d'Alexandre, hyper-réaliste avant l'heure, peignait des raisins si parfaits que les oiseaux, trompés, venaient les picorer.
On sait que les grecs sculptaient, on n'imagine mal qu'ils peignaient tout autant. Il n'y a aucune raison qu'ils aient moins bien peint que sculpté.
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