30 septembre, 2010
Vivre avec son corps et les avatars d'ycelui !
Ce soir j'ai changé, il était temps, ma photo sur facebook... 13 ans de plus. C'est comme ça. J'arrive à un âge où, il faut se rendre à l'évidence, on a la gueule qu'on mérite !
Des roms partout partout partout !
Un amie, samedi matin dernier avant de partir à Londres avec mari et enfants pour le weekend passe sur le coup de 8 heures au bar-tabac du village résidentiel où elle habite. A peine hors du rad elle voit trois mecs sortir d'une bagnole et qui foncent chez le buraliste d'où ils sortent quelques minutes plus tard et chargent dans leur bagnole un gros sac poubelle avant de se tirer en vitesse .
Elle a tout vu, sans bien comprendre sur le coup. C'est le lundi matin que les flics viennent lui apprendre qu'elle est la seule à avoir tout vu de ce qui fut un vrai braquage de clopes en règle.
Hier après midi elle discute dans le jardin public avec des voisines qui ont des enfants du même âge que les siens. Elles parlent de l'évènement. Elles en sont certaines, les voisines, ce sont, c'est évident, des roms qui ont fait le coup ! d'ailleurs le campement qui était encore là samedi a disparu. Bien entendu, il n'y a jamais eu de roms dans le coin mais des gitans quasi sédentarisés depuis des lustres. Mon amie leur explique que ce ne peut pas être eux, roms ou non, pour la simple raison qu'elle a vu de ses yeux vus les voleurs. Ok, sans doute qu'elle les a vu, les bandits ! n'empêche ça ne peut être que les roms... elle insiste bien, je les ai vus ! Ok Ok, mais n'empêche... Elles admettent tout à fait qu'elle a tout vu, mais on ne peut pas leur enlever de l'idée que ce sont des roms qui n'ont jamais existé, qui ont fait le coup, rien à faire...
Désespérant...
Voila ! merci, Messieurs Hortefeux, Besson et Sarkozy. Vous réussissez à rendre les gens méchants mais aussi irrémédiablement cons bornés. C'était votre projet ? vous avez, pour le moment et par endroits, gagné.
Elle a tout vu, sans bien comprendre sur le coup. C'est le lundi matin que les flics viennent lui apprendre qu'elle est la seule à avoir tout vu de ce qui fut un vrai braquage de clopes en règle.
Hier après midi elle discute dans le jardin public avec des voisines qui ont des enfants du même âge que les siens. Elles parlent de l'évènement. Elles en sont certaines, les voisines, ce sont, c'est évident, des roms qui ont fait le coup ! d'ailleurs le campement qui était encore là samedi a disparu. Bien entendu, il n'y a jamais eu de roms dans le coin mais des gitans quasi sédentarisés depuis des lustres. Mon amie leur explique que ce ne peut pas être eux, roms ou non, pour la simple raison qu'elle a vu de ses yeux vus les voleurs. Ok, sans doute qu'elle les a vu, les bandits ! n'empêche ça ne peut être que les roms... elle insiste bien, je les ai vus ! Ok Ok, mais n'empêche... Elles admettent tout à fait qu'elle a tout vu, mais on ne peut pas leur enlever de l'idée que ce sont des roms qui n'ont jamais existé, qui ont fait le coup, rien à faire...
Désespérant...
Voila ! merci, Messieurs Hortefeux, Besson et Sarkozy. Vous réussissez à rendre les gens méchants mais aussi irrémédiablement cons bornés. C'était votre projet ? vous avez, pour le moment et par endroits, gagné.
Le Livre des Records, j'adore !
J'ai trouvé dans une poubelle le Livre des Records de 1975. Bien sûr il y les classiques, l'homme le plus grand, le plus petit chien, le plus gros mangeur de pizzas réginas , celui ou celle qui crache le plus loin, mais il y beaucoup plus étonnant.
Petit florilège :
- la plus longue pelure de pomme (39,41 m de long)
- la plus longue durée de station sur un pied (7h30)
- le plus grand nombre d'heures consécutives passées à tricoter (92 h)
- le plus grand nombre d'heures consécutives à se balancer dans un rocking-chair (307 h 30 mn)
- la plus longue distance parcourue avec un oeuf cru dans une cuiller (43,46 km en 5h30 )
- la plus longue durée au sommet d'une colonne (bien après Siméon, un certain Kenneth Gidgen, 8 mois sur une colonne à 9 m de haut).
Dans le livre des records faut se rendre à l'évidence part la tricoteuse infatigable ou l'empoisonneuse la plus performante, ce sont surtout des mecs qui volontairement ou non postulent aux concours les plus cons ou les plus frappadingues.
Mais mon record préféré c'est le suivant que je vous livre in extenso :
- le psychiatre le plus rapide. Le psychiatre le plus expéditif du monde était le docteur Albert Weiner ostéopathe à Erlton (New Jersey) à qui il arrivait de recevoir 50 patients par jour dans quatre salons de consultation. C'était un fervent adepte de l'analyse sous narcotiques, des décontractants musculaires et de l'électrochoc. En 1961 il fut poursuivi pour 12 homicides par négligence car il employait des aiguilles non stérilisées.
Petit florilège :
- la plus longue pelure de pomme (39,41 m de long)
- la plus longue durée de station sur un pied (7h30)
- le plus grand nombre d'heures consécutives passées à tricoter (92 h)
- le plus grand nombre d'heures consécutives à se balancer dans un rocking-chair (307 h 30 mn)
- la plus longue distance parcourue avec un oeuf cru dans une cuiller (43,46 km en 5h30 )
- la plus longue durée au sommet d'une colonne (bien après Siméon, un certain Kenneth Gidgen, 8 mois sur une colonne à 9 m de haut).
Dans le livre des records faut se rendre à l'évidence part la tricoteuse infatigable ou l'empoisonneuse la plus performante, ce sont surtout des mecs qui volontairement ou non postulent aux concours les plus cons ou les plus frappadingues.
Mais mon record préféré c'est le suivant que je vous livre in extenso :
- le psychiatre le plus rapide. Le psychiatre le plus expéditif du monde était le docteur Albert Weiner ostéopathe à Erlton (New Jersey) à qui il arrivait de recevoir 50 patients par jour dans quatre salons de consultation. C'était un fervent adepte de l'analyse sous narcotiques, des décontractants musculaires et de l'électrochoc. En 1961 il fut poursuivi pour 12 homicides par négligence car il employait des aiguilles non stérilisées.
(in Le Livre des Records année 1975, Denoël éditeur)
Et puis toujours, parce que quand c'est bien c'est vraiment très bien, Cochereau improvisant.
au meilleur de sa forme, l'instrument aussi et la prise de son parfaite.
Il y a des gens, comme ça,
dont on n'est pas peu fier de les avoir connus.
Il y a des gens, comme ça,
dont on n'est pas peu fier de les avoir connus.
29 septembre, 2010
Sympathie et politique
Il se trouve que j'ai pour un élu de droite tout ce qu'il y a de plus encarté UMP une réelle sympathie. Oui, moi, le contempteur de la droite en général, j'ose avouer cette sympathie contre nature... après tout, j'ai bien d'aussi inavouables et sévères antipathies de gauche. Ben oui, c'est comme ça ! C'est pas pour autant que je vote pour lui, et d'ailleurs il le sait ou s'en doute et s'en fout. Bon, faut dire qu'en dépit de son engagement militant qu'il l'a fait élire et réélire, c'est quand même l'une des personnes au monde les plus dénuées de toute conscience politique... C'est pas simple, mais je le redis, c'est comme ça. Et c'est, curieusement, bien plus courant qu'on l'imagine.
"Poubelles, débris et abandons", je m'expose ...
28 septembre, 2010
Question à quelques millions d'euro :
La droite française, enfin, celle qui est au pouvoir est-elle pourave ?
- non
- un peu
- beaucoup
- totalement
option :
- trop
- non
- un peu
- beaucoup
- totalement
option :
- trop
27 septembre, 2010
Petite chronique de mon Monop'
Dans mon Monoprix, c'est tout nouveau, il y a sur une tablette un cahier pour les suggestions, voire les doléances. D'accord, y a pas de stylo pour écrire, c'est pas grave, j'en ai toujours au moins un dans ma poche. Cet après-midi, donc, puisque le vigile était à mes cotés, tout près de la tablette en question, j'ai sorti mon stylo et j'ai écrit en m'appliquant bien pour qu'on puisse me lire (j'écris naturellement hélas comme un cochon) avant de signer de mon nom, je suis contre l'anonymat :
"Ce Monoprix est-il dangereux au point qu'on ne puisse y faire un pas sans être "protégé" par un robuste vigile ? "
La salade du soir !
Un ami qui lit ce blog m'a reproché mes choix musicaux parfois, mais surtout mes recettes de fond de Frigo ! Alors ce soir, je lui propose une recette de Frigo certes mais pas de fond ! rien que du frais du jour ! Des endives coupées en tranches, fines, une pomme (c'est classique) , un oeuf dur râpé, des olives noires, du poivron grillé, du surimi en q.s.p, de l'ail, des échalotes, une petite vinaigrette moutardée à l'huile de noix avec une pincée de muscade.
Allez, J.. , bon appétit ! si tu me lis.
Allez, J.. , bon appétit ! si tu me lis.
En arriver là ! mais, que voulez-vous, on s'endurcit.
Ça n'a, bien entendu, aucun rapport avec ce qui précède.
Je vais vous faire un aveu. Ayant été élevé fort chrétiennement, je n'ai jamais et continue de ne pas le faire, souhaité la mort de quiconque, je suis de surcroît et vous vous en doutez, contre la peine de mort. Mais en ces temps de plus en plus durs, où les salauds sont rois et tous les fumiers princes, un nouveau sentiment me tarabuste sans pour autant me culpabiliser. Je ne dirai pas qu'il est "incontournable", mais je m'aperçois que la disparition, naturelle, accidentelle ou autre, de certains et de certaines, sans me réjouir inconsidérément ne me ferait, très honnêtement, de peine aucune... J'ai la sensibilité et l'affect de plus en plus libéral, fallait pas me faire l'article...
Je vais vous faire un aveu. Ayant été élevé fort chrétiennement, je n'ai jamais et continue de ne pas le faire, souhaité la mort de quiconque, je suis de surcroît et vous vous en doutez, contre la peine de mort. Mais en ces temps de plus en plus durs, où les salauds sont rois et tous les fumiers princes, un nouveau sentiment me tarabuste sans pour autant me culpabiliser. Je ne dirai pas qu'il est "incontournable", mais je m'aperçois que la disparition, naturelle, accidentelle ou autre, de certains et de certaines, sans me réjouir inconsidérément ne me ferait, très honnêtement, de peine aucune... J'ai la sensibilité et l'affect de plus en plus libéral, fallait pas me faire l'article...
déclencher les deux vidéos en même temps.
ça ne marche que durant le refrain, certes,
mais c'est bien plaisant quand même !
Symptômes
"Minimiser, expliquer, sauver" : le retour des perroquetsmais c'est bien plaisant quand même !
Symptômes
envoyé par LePostfr. - L'info internationale vidéo.
Remède
Allez, pour oublier tout ça :
Lesafaker nous rappelle Heinrich Ignaz Franz von Biber et son sublime "Rosaire", pas obligatoire d'être croyant ni vraiment besoin d'être spécialiste de la scordatura et des tempéraments inégaux pour apprécier.
En voici un extrait à la mélodie particulièrement enchanteresse, aux harmonies simples et savoureuses : du bonheur musical élégant absolu. A vous d'aller écouter le reste sur youtube ou ailleurs. Et puis, rien ne vous empêche d'acheter le CD ! Ce n'est que du tout beau à entendre. J'ai un faible pour cette version (Patrick Bismuth a une maîtrise de l'archet de rêve et donc un son superbement expressif) violon et orgue et autres cordes dont les sonorités grasses et rondes de l'un et de l'autre se marient admirablement (j'aime moins les versions violon-clavecin).
En voici un extrait à la mélodie particulièrement enchanteresse, aux harmonies simples et savoureuses : du bonheur musical élégant absolu. A vous d'aller écouter le reste sur youtube ou ailleurs. Et puis, rien ne vous empêche d'acheter le CD ! Ce n'est que du tout beau à entendre. J'ai un faible pour cette version (Patrick Bismuth a une maîtrise de l'archet de rêve et donc un son superbement expressif) violon et orgue et autres cordes dont les sonorités grasses et rondes de l'un et de l'autre se marient admirablement (j'aime moins les versions violon-clavecin).
Un mot pour un autre... Tardieu ne l'aurait pas osé...
le chic, la classe... imbécile sonore et infatuée.
Jamais lapsus n'a autant mérité son nom.
Jamais lapsus n'a autant mérité son nom.
envoyé par LePostfr. - Regardez les dernières vidéos d'actu.
26 septembre, 2010
"Pop-Corn" ou Souvenir-souvenirs
Ce petit morceau rigolo et sympathique qui fut un tube énorme réalisé en 1972 sur un synthétiseur Moog quand l'Ircam était encore balbutiant, aussi incroyable que cela puisse paraître, l'acte fondateur de toute la musique électronique et de synthèse toutes tendances confondues...
Jean Broc : " l' Atelier d'Apelle"
Les toiles de Jean Broc sont peu nombreuses. Le Louvre a fort heureusement récemment restauré l'une de ces rares toiles et probablement la seule qu'il possède : "L'atelier d'Apelle". Broc introduit ici dans un sujet on ne peut moins guerrier une vigueur "davidienne" qui se trouve justifiée par son histoire elle-même. Apelle, dit-on, dut se battre toute sa vie. Son atelier est un lieu de combat. Ses disciples, ou bien ses contempteurs, au centre du tableau, rejouent à leur manière le Serment des Horaces.
On raconte (Pline l'ancien, peut-être) et j'aime cette histoire, qu'Apelle, peintre officiel, portraitiste attitré d'Alexandre, hyper-réaliste avant l'heure, peignait des raisins si parfaits que les oiseaux, trompés, venaient les picorer.
On sait que les grecs sculptaient, on n'imagine mal qu'ils peignaient tout autant. Il n'y a aucune raison qu'ils aient moins bien peint que sculpté.
On raconte (Pline l'ancien, peut-être) et j'aime cette histoire, qu'Apelle, peintre officiel, portraitiste attitré d'Alexandre, hyper-réaliste avant l'heure, peignait des raisins si parfaits que les oiseaux, trompés, venaient les picorer.
On sait que les grecs sculptaient, on n'imagine mal qu'ils peignaient tout autant. Il n'y a aucune raison qu'ils aient moins bien peint que sculpté.
Expressions expressives
Il était organiste (excellent), pédagogue (remarquable), musicologue (sérieux, c'est rare, grand et authentique spécialiste de Bach). Il avait un parler bien à lui. Quand il voulait être désagréable, quand on l'énervait, il avait une expression tout à fait personnelle que mon père qui le fréquentait dans les années soixante nous rapportait, qui la trouvait remarquable.
" J'irai chier dans les escaliers de ta mère !"
disait-il en bout de conflit et pour y mettre un terme.
disait-il en bout de conflit et pour y mettre un terme.
Pharamineux ou faramineux ?
les deux sont corrects, mais vu le sens du mot, avouez que pharamineux est quand même plus pharamineux que faramineux , non ?
Tenez, iriez-vous avec la même fascination, le même entrain, visiter les tombes des faraons ? Feriez-vous autant confiance à votre farmacien ? Quand au "filtre" d'amour, c'est évident qu'écrit comme ça, à part pour le café, il n'est d'aucun effet !
Tenez, iriez-vous avec la même fascination, le même entrain, visiter les tombes des faraons ? Feriez-vous autant confiance à votre farmacien ? Quand au "filtre" d'amour, c'est évident qu'écrit comme ça, à part pour le café, il n'est d'aucun effet !
Les grandes inventions pas encore inventées
Il y a deux appareils qui me font cruellement défaut et qui à mon grand regret n'existent toujours pas. On a inventé l'appareil photographique, puis le gramophone, mais pas d'appareil à enregistrer les odeurs ni d'appareil à enregistrer les goûts. Bien sûr, Huysmans dans "A rebours" inventa "l'orgue à parfums", mais ce n'est que l'application presque réalisable d'un instrument de musique qui existe déjà, et pour ce qui est du magnétophone, le véritable inventeur en est Rabelais qui eût comme chacun sait l'idée dans le "Quart Livre" de geler les paroles et de les restituer en faisant fondre la glace, à moins que ce soient les roseaux qui au vent clamaient le secret qu'un de ses serviteurs avait confié au sable : Le Roi Midas a des oreilles d'Ane !
En attendant, je n'ai toujours pas d'odorographe, pas plus que je n'ai de gustatographe. C'est bien dommage ! Vous vous imaginez, revenant de votre promenade dans la forêt d'automne avec un stock d'odeurs de feuilles, de terre humide, de champignons, ou bien rentrant du restaurant, avec, enregistré, le goût de ces plats délicieux que vous avez dégustés pour un prix pharamineux et qui vont s'effacer peu à peu de votre mémoire.
On pourrait même, puisque les deux sens sont complémentaires et indissociables, réunir les deux appareils en un seul , l'odorogustatographe.
Et puis, surtout, imaginez le retour d'un rendez-vous amoureux avec l'odeur et le goût de l'être aimé qu'on se resservira mille fois par un spray façon ventoline en attendant peinard le prochain cinq à sept.
En attendant, je n'ai toujours pas d'odorographe, pas plus que je n'ai de gustatographe. C'est bien dommage ! Vous vous imaginez, revenant de votre promenade dans la forêt d'automne avec un stock d'odeurs de feuilles, de terre humide, de champignons, ou bien rentrant du restaurant, avec, enregistré, le goût de ces plats délicieux que vous avez dégustés pour un prix pharamineux et qui vont s'effacer peu à peu de votre mémoire.
On pourrait même, puisque les deux sens sont complémentaires et indissociables, réunir les deux appareils en un seul , l'odorogustatographe.
Et puis, surtout, imaginez le retour d'un rendez-vous amoureux avec l'odeur et le goût de l'être aimé qu'on se resservira mille fois par un spray façon ventoline en attendant peinard le prochain cinq à sept.
Anna Karina je suis fan !
petit extrait méconnu et marrant de "Anna", musicale comédie de Gainsbourg, juste au moment où sur France Inter on l'intervioue.
Pink Martini ou Poulenc ? Apollinaire, en tous cas...
J'avais il y a quelques temps attiré votre attention sur le fait que la chanson de Pink Martini "Je ne veux pas travailler" était entièrement pompée sur "Hôtel" d' Apollinaire sans jamais le citer. Il semble que Gallimard a enfin fait son boulot d'éditeur puisque maintenant il se trouve crédité, au moins dans la version de Philippe Katerine, ce n'est pas étonnant.
Je viens de trouver sur Youtube une superbe interprétration de ce poème mis en musique par Poulenc. C'est Angelika Kirchschlager qui chante et c'est très bien.
Je viens de trouver sur Youtube une superbe interprétration de ce poème mis en musique par Poulenc. C'est Angelika Kirchschlager qui chante et c'est très bien.
25 septembre, 2010
Souvenirs de Hyacinthe ou pourquoi j'aime les musées quels qu'ils soient, tels qu'ils sont.
Quand j'étais gamin, vers mes onze-douze ans, j'arpentais Poitiers sur ma bicyclette, (routier bleu, trois vitesses, levier sur le cadre, de la marque "Génius") cadeau de mon "entrée en sixième". Je l'avoue aujourd'hui, j'allais souvent tout seul, c'était gratuit, au musée municipal qui se trouvait à l'époque au rez de chaussée de l'hôtel de ville où l'on peut voir, entre autres, dans l'escalier d'honneur, de superbes fresques de Puvis de Chavannes que ma mère, sainte femme et femme de goût, m'engageait à prendre en considération.
Il y avait, bien sûr, la gloire du musée, la Minerve Romaine, glaciale et hiératique, sale jusqu'au plus profond des plis de sa tunique. Mais ce qui m'attirait surtout, c'était bien autre chose, deux tableaux considérés à l'époque, sans bien sûr que je le sache, comme des bizarreries pour le moins décadentes. Un grand carton de tapisserie de Gustave Moreau (l'une des versions de 'La sirène et le poète") qui m'effrayait un peu (je craignais les apparitions...) et surtout l'étonnante et désormais célèbre "Mort d'Hyacinte " de l'excellent Jean Broc. L'une me fascinait, l'autre,vous vous en doutez, me charmait. J'ignorais qu'ils étaient géniaux, quand on est môme, on s'en fout.
L'endroit était poussiéreux, vieillot et délaissé, qu'un vieux gardien gardait de son oeil assoupi, mais, ailleurs de tout, je m'y sentais bien. C'est ici qu'est né mon goût des musées et l'éclectisme y afférent...
L'endroit était poussiéreux, vieillot et délaissé, qu'un vieux gardien gardait de son oeil assoupi, mais, ailleurs de tout, je m'y sentais bien. C'est ici qu'est né mon goût des musées et l'éclectisme y afférent...
A la Poste, oh pardon ! à la Banque Postale
Ma poste a été relookée. Ça a pris tout l'été. Avant, il y a avait quatre guichets côte à côte qui faisaient à la fois la poste et les opérations bancaires. C'était un peu pourave c'est vrai, mais ça marchait très bien et le personnel était des plus sympas. Il y avait parfois la queue mais c'était tout à fait supportable, on nous mettait même de vieux ventilateurs dès qu'il y avait un coup de chaud. Je me pointe ce matin, c'est la réouverture, et surprise, ça queute jusque dans la rue, façon débit de patates dans les pays de l'est avant la chute du mur. Je me fraie vaillamment un passage pour aller à la machine à affranchir en passant devant les trois guichets-banques libres, sans clients. J'ai un tas d'enveloppes. Pas la moindre table pour les poser. Je me fais comme je peux tous mes affranchissements, j'introduis ma carte bancaire et pas de pot, c'est en panne, "pas de connexion" me dit le petit robot. Je crie au scandale ! mais lassé, devant tant d'infortune, je ressors dans la rue faire la queue comme tout le monde pour l'unique guichet-poste qui reste... Je m'énerve un peu... J'arrive à mon tour, j'explique au préposé, un cadre venu à la rescousse et que je connais bien, que ça ne marche pas, toutes ces nouveautés et que puisque je suis supposé désormais faire leur boulot, faudrait a minima qu'on m'en donne les moyens... Il me dit avec un culot forcené (c'est ouvert depuis deux heures seulement) que j'ai rien compris, qu'au contraire ça marche bien mieux ! S'il me dit que c'est "incontournable", je pète un câble, je le cogne ! Ok, je le félicite pour son "esprit maison", sa communication, sa leçon bien apprise au cours d'un stage sans doute, avant de lui demander où est passée toute une partie du personnel que je voyais avant et que je ne vois plus... Et là, silence... Gêne.... Je lui demanderais où ils ont mis les corps que ça lui ferait pas plus d'effet. Mais comme je suis un vrai salaud, je le questionne, blague dans le coin, s'il sait quand ce sera son tour, avant de prendre tout mon temps pour faire ce que je suis venu faire. Ça s'énerve derrière moi. Ça s'agite. Tant mieux.
Avant, à la poste on y allait pour envoyer des lettres d'amour ou en chercher "poste restante". On écrivait même sur l'enveloppe ces délicieuses et mystérieuses initiales, calligraphiées de préférence : VFAP ( Vite ! Facteur, l'Amour Presse...)
Désormais, on va y déposer ou y chercher du fric.
Désormais, on va y déposer ou y chercher du fric.
Où êtes-vous, estafettes de nos amours passées ?
C'était le samedi matin d'un emmerdeur passéiste réactionnaire et contre-réformiste à la Banque Postale rénovée
24 septembre, 2010
Ca se passe ici et c'est bien
J'ai croisé cet après-midi, qui faisait en même temps que moi des photocopies, un jeune homme qui se marie demain. On me dit qu'il est juif et qu'une jeune femme musulmane l'épouse. C'est le genre d'histoire qui, si elle est vraie et j'ai toutes les raisons de croire celle qui me le dit, me fait un plaisir fou.
IN-CON-TOUR-NA-BLE
arrêtezzzzzzzzzz !!!!!
j'en peux plus, stop ! grâce ! pitié ! merci ! miséricorde ! je ne peux plus entendre ce mot ! Depuis six mois, cent fois par jour qu'on l'entend ! à croire qu'on veut me faire avaler, à force de me le rabâcher à propos des réformes, du libéralisme, de la religion, du pouvoir, de tout de rien, que c'est moi qui suis UN CON TOURNABLE, qu'on peut retourner comme une crêpe en lui ressassant cette foutaise pourrie ! Voila ce que je finis par entendre, en trois mots.
NON, MERDRE ! rien n'est incontournable, rien n'est inévitable qu'on ne veuille éviter, sauf les tremblements de terre et la haine des hommes, rien n'est irréversible, sauf la mort qui vous fait la nique et si peur. Alors mettez un terme à cette écholalie qui vous sécurise, cessez de répéter cent fois la même chose. C'est pas parce qu'on dit mille fois la même connerie qu'elle devient intelligente, mille fois le même mensonge qu'il devient vérité.
Et vous, les petits missionnaires rémunérés de l'intox généralisée, rassurez-moi, vous n'y croyez quand même pas, aux bouffonneries que vous proférez sans répit ?
NON, MERDRE ! rien n'est incontournable, rien n'est inévitable qu'on ne veuille éviter, sauf les tremblements de terre et la haine des hommes, rien n'est irréversible, sauf la mort qui vous fait la nique et si peur. Alors mettez un terme à cette écholalie qui vous sécurise, cessez de répéter cent fois la même chose. C'est pas parce qu'on dit mille fois la même connerie qu'elle devient intelligente, mille fois le même mensonge qu'il devient vérité.
Et vous, les petits missionnaires rémunérés de l'intox généralisée, rassurez-moi, vous n'y croyez quand même pas, aux bouffonneries que vous proférez sans répit ?
Amis musiciens, ne vous y trompez point
le contrepoint, c'est inné, comme une pathologie néo-natale, comme la couleur des yeux ou le dégoût des betteraves. On l'a ou on l'a pas. Toute tentative d'apprentissage relève de l'acharnement thérapeutique et produit surtout sur l'auditoire des effets souvent indésirables.
J'aime ces endroits bizarres
23 septembre, 2010
Louis XVI et Sarkozy et si Guitry m'était conté....
J'ai mis sur ce blog il y a deux jours un extrait de "Si Versailles m'était conté" de Guitry.
On y voit et surtout on y entend Piaf agrippée aux grilles de la cour d'honneur chanter le "Ça ira" sous les fenêtres d'un Louis XVI qui visiblement ne comprend pas très bien ce qui se passe ou plutôt le découvre.
Si un de ces jours prochains un nouveau Guitry fait un film sur l'Elysée et sur la fin de Sarkozy, on y verra et on y entendra, et ce a contrario, Mireille Mathieu sur le fameux perron, chanter "Mille colombes" pour adoucir les émeutiers avant que de périr, martyre et toujours vierge, sous leurs redoutables et prolétaires assauts...
On y voit et surtout on y entend Piaf agrippée aux grilles de la cour d'honneur chanter le "Ça ira" sous les fenêtres d'un Louis XVI qui visiblement ne comprend pas très bien ce qui se passe ou plutôt le découvre.
Si un de ces jours prochains un nouveau Guitry fait un film sur l'Elysée et sur la fin de Sarkozy, on y verra et on y entendra, et ce a contrario, Mireille Mathieu sur le fameux perron, chanter "Mille colombes" pour adoucir les émeutiers avant que de périr, martyre et toujours vierge, sous leurs redoutables et prolétaires assauts...
Quand j'ai vu cet hôtel
et puis du roman poitevin, tout simple, et d'autres choses bien étonnantes.
22 septembre, 2010
On me demande cet après midi
que faire en arrivant à Cologne ?
Eh bien, dès qu'on sort de la gare, c'est à deux pas, juste à droite en faisant face à la Cathédrale qu'on visitera de toute façon, on se précipite chez Früh pour boire la kölsch maison d'abord et puis déguster un délicat jarret de porc grillé avec, si l'on veut, du vin de Moselle ou du Rhin et ce à toute heure !
Après, tout beunaise, on va visiter la cathédrale et les musées y attenant, le musée Wallraf-Richartz, le musée romain germanique et le musée Ludwig, ne jamais visiter un musée à jeun.
Cologne, c'est à quatre heures de train de Paris et c'est superbe.
Ne pas oublier la maison natale d'Offenbach. Et puis le Rhin...
Cologne est une ville gay friendly et de surcroit très francophile, je m'y sens plus chez moi qu'à Strasbourg, c'est vous dire...
Eh bien, dès qu'on sort de la gare, c'est à deux pas, juste à droite en faisant face à la Cathédrale qu'on visitera de toute façon, on se précipite chez Früh pour boire la kölsch maison d'abord et puis déguster un délicat jarret de porc grillé avec, si l'on veut, du vin de Moselle ou du Rhin et ce à toute heure !
Après, tout beunaise, on va visiter la cathédrale et les musées y attenant, le musée Wallraf-Richartz, le musée romain germanique et le musée Ludwig, ne jamais visiter un musée à jeun.
Cologne, c'est à quatre heures de train de Paris et c'est superbe.
Ne pas oublier la maison natale d'Offenbach. Et puis le Rhin...
Cologne est une ville gay friendly et de surcroit très francophile, je m'y sens plus chez moi qu'à Strasbourg, c'est vous dire...
Le désert vide et plein à la fois
Le désert, immense et vide. Et pourtant plein de tout, des peurs, des angoisses, des désirs de pouvoirs, des rêves hégémoniques, bref de bien des fantasmes, ...
En attendant, si j'étais l'un pour ne pas dire les otages d'Al Qaïda au Magreb, vu la manière glorieuse dont a été secouru Michel Germaneau le mois dernier je m'inquiéterais. Bon d'accord, Aréva a les moyens de raquer, cash et en petites coupures, mais avec l'autre fou et ses envies permanentes de montrer qu'il a la plus grosse, c'est pas gagné.
En attendant, si j'étais l'un pour ne pas dire les otages d'Al Qaïda au Magreb, vu la manière glorieuse dont a été secouru Michel Germaneau le mois dernier je m'inquiéterais. Bon d'accord, Aréva a les moyens de raquer, cash et en petites coupures, mais avec l'autre fou et ses envies permanentes de montrer qu'il a la plus grosse, c'est pas gagné.
Pour Hortefeux et Besson et leur seigneur et maître ou un peu de poésie dans ce monde de...
Lavilliers Ferré Aragon
Tino Rossi
Tino Rossi
Demain c'est la grève
Il y a de fortes chances qu'elle soit énorme. Ceux à qui elle destine son message s'en tapent, s'en foutent, s'en branlent, s'en tamponnent le coquillard. D'ailleurs ils le disent. Il faudra donc trouver autre chose pour le leur faire comprendre. La boite à idées est prête à recevoir toutes les suggestions utiles.
en attendant, juste pour mémoire et c'est pas "Mille colombes"...
en attendant, juste pour mémoire et c'est pas "Mille colombes"...
cosmétique
vous vous demandez peut-être pourquoi j'ai changé l'habillage de ce blog. C'est Lesafaker qui m'a fait remarquer que ça mettait les photos en valeur. Ok ! Mais est-ce une raison pour profaner de mon pseudo ce tableau de Zurbaran ? Eh bien, tout simplement parce que Zurbaran est un de mes peintres préférés et parce qu'il peignait les saintes comme des courtisanes... pas banal, et si beau.
21 septembre, 2010
et les runes, c'est fait pour les chiens ?
En promenant Oscar il y a quelques minutes, nous tombons en arrêt chacun pour ses raisons devant une voiture recouverte d'autocollants en breton. Mais comment les bretonnants peuvent-ils supporter d'utiliser l'alphabet de leur colonisateur ? Et les runes, alors ? Allez, kénavo !
20 septembre, 2010
les objets et moi
J'ai eu, dans une vie antérieure et bien avant mes cinquante ans, je dis ça pour la Rollex, à l'époque où j'écrivais encore à la main en fumant des cigarettes blondes et opiacées, un stylo Mont Blanc et un briquet Dupont.
J'ai perdu l'un et donné l'autre...
J'ai perdu l'un et donné l'autre...
Sur le Salleron, un pont
La peine de mort a été rétablie et de fait confiée à la police et ce sans jugement .
Un policier a été acquitté. Il avait, si j'ai bien entendu, exécuté de sept balles dans le dos un dangereux malfaiteur menotté et entravé qui voulait se barrer.
Ça me rappelle l'histoire qu'on racontait de ce mec qu'un jour on trouva mort, un couteau dans le dos, noyé, une balle dans la tête après strangulation. Suicide, conclurent les experts quand ils eurent découvert du cyanure dans le cadavre.
Ça me rappelle l'histoire qu'on racontait de ce mec qu'un jour on trouva mort, un couteau dans le dos, noyé, une balle dans la tête après strangulation. Suicide, conclurent les experts quand ils eurent découvert du cyanure dans le cadavre.
Dans une ferme du Poitou...
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