Je ne sais pas pourquoi, mais ce soir, je pense à Jacques Sternberg, et en particulier à ce roman, cette nouvelle de lui dont j'ai perdu, oublié le titre et dans laquelle il émet l'hypothèse plus qu' intéressante qu'il ne faut pas à tout prix chercher Dieu dans l' infiniment grand mais peut-être au contraire du coté de l' infiniment petit, au plus près du virus... Ah ! Sternberg, désormais disparu vous avez, comme Topor, Arrabal, Jodorowsky et quelques autres, nourri mon âme adolescente...
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