Il y a un an presque jour pour jour, après qu'il eût à la radio conseillé à Cohn-Bendit qui moquait un peu le pape, de "s'occuper du Grand Rabbinat..." j'émettais l'hypothèse d'une forme d'antisémitisme de l'ensoutané mondain.
Je reçois aujourd'hui un commentaire sur ce message d'un anonyme qui m'assène ceci :
Rien d'antisémite à cette phrase. Arrêtons de taxer d'antisémitisme tous les propos qui "pourraient" être boderline lorsqu'ils sont prononcés par des arabes ou des cathos... c'est rasant à la longue. Ce à quoi je réponds :
Votre affirmation est insolente de sottise infatuée.
Il faudrait, qui que vous soyez qui prenez sa défense ou tentez de le faire, vous habituer à cette réalité qui veut qu' affirmation n'est pas raison.
Il ne suffit pas de dire que le propos de La Morandais n'est pas antisémite pour qu'il ne le soit pas. Nous ne sommes pas ici dans le champ de la "croyance", du postulat, mais dans celui du langage. Ainsi donc vous "croyez", sans doute en bon chrétien, que La Morandais n'est pas antisémite. Votre propos relève de la foi, celui de Maillard des faits : il a dit.
Cher monsieur, chère Madame, ou cher Monsieur le curé, vous êtes enfantin...
Pour ce qui est de votre invitation à ne pas taxer d'antisémitisme tous les propos "borderline", comme vous dites, et d'antisémites ceux qui les tiennent, je suis bien d'accord avec vous ; il y a suffisamment de raisons de le faire quand cela se produit vraiment, fût-ce une fois en passant comme dans le cas de La Morandais. Le seul bémol à la gravité de ses paroles tient à ce que cet ecclésiastique n'est, reconnaissons-le, qu'un imbécile sonore et surmédiatisé.
Je reçois aujourd'hui un commentaire sur ce message d'un anonyme qui m'assène ceci :
Votre affirmation est insolente de sottise infatuée.
Il faudrait, qui que vous soyez qui prenez sa défense ou tentez de le faire, vous habituer à cette réalité qui veut qu' affirmation n'est pas raison.
Il ne suffit pas de dire que le propos de La Morandais n'est pas antisémite pour qu'il ne le soit pas. Nous ne sommes pas ici dans le champ de la "croyance", du postulat, mais dans celui du langage. Ainsi donc vous "croyez", sans doute en bon chrétien, que La Morandais n'est pas antisémite. Votre propos relève de la foi, celui de Maillard des faits : il a dit.
Cher monsieur, chère Madame, ou cher Monsieur le curé, vous êtes enfantin...
Pour ce qui est de votre invitation à ne pas taxer d'antisémitisme tous les propos "borderline", comme vous dites, et d'antisémites ceux qui les tiennent, je suis bien d'accord avec vous ; il y a suffisamment de raisons de le faire quand cela se produit vraiment, fût-ce une fois en passant comme dans le cas de La Morandais. Le seul bémol à la gravité de ses paroles tient à ce que cet ecclésiastique n'est, reconnaissons-le, qu'un imbécile sonore et surmédiatisé.
1 commentaire:
Hé oui, ils relèvent la tête! La canaille catho est mosntrueuse! Il faut rendre coup pous coup!
Hors landau
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