plaisait aux femmes parce qu'il était beau et aux hommes parce qu'il était viril. A moins que, comme d'aucuns le prétendent, ç'ait été le contraire ...
31 juillet, 2012
Ce qu'on voit dans le métro
Cet après midi entre la Muette et rue de la Pompe.
Un mec entre dans le métro. La quarantaine soignée, costard/cravate naturels, comme une deuxième peau, du genre homme politique de droite ou de gauche tendance Manuel Valls. Il sort de sa poche quelques feuilles soustraites au Figaro. Et même si c'est discrètement, d'un élégant et fort discret sourire, il se marre... Mais de quoi rit-il donc en lisant le Figaro puisque cela doit faire trente ans que Jacques Faizant n'y œuvre plus ?
30 juillet, 2012
29 juillet, 2012
27 juillet, 2012
Je suis inquiet !
Vous savez que même l'été, les nécessiteux tout comme les vieux ne sont pas à l'abri. C'est ainsi que je m'inquiète de gens qu'on n'a pas vus depuis un bon moment.
Tiens, par exemple, les Kouchner, où sont-ils ? que font-ils ? Ont-ils une clim ? Boivent-ils régulièrement ? Vous savez, il n'y a pas que les grabataires qu'il faut réhydrater ! Un septuagénaire, même s'il a connu du temps de sa splendeur les climats désertiques, distribuant du blé et de l'eau, est potentiellement en danger s'il est brutalement coupé de son réseau de relations. Et l'été, en août surtout, quand tout le monde est sur la côte, ces gens qu'on boude un peu, ont-il de quoi vivre, voire survivre ?
Tiens, par exemple, les Kouchner, où sont-ils ? que font-ils ? Ont-ils une clim ? Boivent-ils régulièrement ? Vous savez, il n'y a pas que les grabataires qu'il faut réhydrater ! Un septuagénaire, même s'il a connu du temps de sa splendeur les climats désertiques, distribuant du blé et de l'eau, est potentiellement en danger s'il est brutalement coupé de son réseau de relations. Et l'été, en août surtout, quand tout le monde est sur la côte, ces gens qu'on boude un peu, ont-il de quoi vivre, voire survivre ?
Voilà, je suis inquiet !
25 juillet, 2012
Cocus
Ma mère racontait cette histoire :
A son mari qui un beau jour et devant tous ses invités, disait, "Mon Dieu ! j'en ai fait des cocus", répondit : "Moi je n'en ai jamais fait qu'un". ...
A son mari qui un beau jour et devant tous ses invités, disait, "Mon Dieu ! j'en ai fait des cocus", répondit : "Moi je n'en ai jamais fait qu'un". ...
Bernard Dufour ou " Ce n'était pas mieux avant, mais nous avons eu de la chance de connaître tout ça
lu à l'instant par hasard sur le site http://spiritualite.forum2discussion.com/ ce texte du peintre et écrivain Bernard Dufour
Pas de regrets là-dedans, juste un constat et de bons souvenirs que nous avons la chance d'avoir et c'est pas si mal..
AiNÉS, AiNÉES, NÉS ET NÉES ENTRE LES ANNÉES 1930 et 1960 NOUS ÉTiONS PLUS FORTS
Premièrement, nous avons survécu à l'accouchement par des mères qui fumaient et, ou, buvaient pendant qu'elles étaient enceintes...
Elles prenaient des aspirines, mangeaient de la vinaigrette, des desserts et n'étaient pas testées pour le diabète ou le cholestérol.
Après ce traumatisme, on s'endormait n'importe où, où on nous couchait sur le ventre dans des lits à paillasse dans des chambres peintes au plomb, éclairées à la chandelle et chauffées au poêle à bois.
Nous n'avions pas de serrures aux portes.
Lorsque l'on faisait de la bicyclette, on avait des casquettes, mais pas de casques de protection.
Bébés et enfants, on nous emmenait dans de vieilles guimbardes sans chauffage, sans ceintures ni sièges pour bébés, ni airbag, ni GPS, ni gilets jaunes fluo de Playmobil...
Être dans la benne arrière d'une camionnette, accroché au garde-boue d'un tracteur ou perché sur une charrette de foin branlante par une belle journée ensoleillée était toujours quelque chose d'extraordinaire.
Nous buvions l'eau directement à la fontaine ou celle du puits. Nous mangions des gâteaux secs, du pain rassi, du vrai beurre, du saindoux, du lard... Nous buvions du vrai chocolat fondu dans du vrai lait frais entier avec du vrai sucre.
Et nous n'étions pas obèses...
POURQUOi ?
Parce que nous étions toujours en train de bouger, de jouer dehors... Nous sortions de la maison le matin pour jouer toute la journée au grand air, à condition d'être revenus quand les lampadaires s'allumaient. Nous prenions des heures à construire nos planches à roulettes avec lesquelles nous descendions les côtes, sans freins. Après avoir foncé dans les buissons une paire de fois, nous avions appris à gérer les problèmes.
Nous n'avions pas de Minitel, de Playstations, de Nintendos, de X-box, de iPod. Il n'y avait pas de jeux vidéos, pas 1000 canaux dans le câble fibroptique, pas de films vidéos ou dvds, pas de son stéréo ou de cds, pas de cellulaire, pas d'ordinateur et pas d'Internet...
NOUS AViONS DES AMiS
et nous sortions dehors pour les retrouver !
Nous tombions des arbres, en faisant le parachute, on se coupait, on se cassait des os, des dents et il n'y avait pas de poursuites judiciaires pour cela.
On nous offrait des fusils à plomb pour notre anniversaire, nous faisions des jeux avec des bâtons et des balles, des lance-pierres, des épées, des arcs et des flèches, des fléchettes, nous faisions et jouions avec des radeaux de fortune sur les rivières, nous faisions des pistes de glissades sur les inondations des prairies gelées en hiver, nous sautions et plongions des souches d'arbres des rivières non fréquentées, nous bricolions avec toutes sortes d'outils réputés dangereux empruntés dans les ateliers de nos parents, nous jouions avec des pétards à mèches, nous fumions des lianes et des P4 à l'unité, nous sucions toute la journée des boîtes de coco ou du réglisse en bâtonnet...
On trouvait des caramels géants à 5 centimes seulement !
Aux heures les plus chaudes les lessiveuses étaient nos plus belles piscines. Nous descendions à toutes allures les côtes en herbes des vergers sur des plaques de linoléum ou de balatum d'asphalte en guise de luge.
Les soirées exceptionnelles de grandes chutes de neige, nous avions la permission de jouer à la lueur des réverbères dans les rues enneigées, glissades et traîneaux en bois fabriqués le jour même avec de vieilles planchettes et des cerclages métalliques d'emballages sous les patins occupaient notre temps et gelaient nos mains violettes sans gants et même si on nous disait que tout pouvait arriver, nous sommes pour la plus part encore là.
Nous roulions sur nos vélos sans frein et sans éclairage ou marchions jusqu'à la maison d'un copain de classe ou de quartier et frappions à sa porte, nous entrions simplement, nous étions très bien accueillis.
L'idée que nos parents auraient un jour à nous faire sortir de prison était tout juste impensable, ils étaient AVEC la loi.
L'idée que nos parents puissent être contre l'avis de l'instituteur, du professeur, du policier, du gendarme, du maire, du curé...
Qu'ils puissent en venir aux mains ou aux insultes étaient simplement inimaginable.
Nous pouvions prendre le train, le métro et nous balader en ville sans risque de se faire agresser, violer ou lyncher...
A 16 ans nous pouvions piloter n'importe quelle moto à vitesse " no limit "...
A 20 ans nous allions au Service militaire, un service rendu à la Nation pour assurer la défense de la Liberté dûrement conquise par nos ancêtres dont des millions ont donné leur vie pour cela...
Ces générations ont produit quelques-uns des meilleurs preneurs de risques, têtes pensantes et inventeurs de tous les temps, des chefs d'entreprises, souvent autodidactes au bon sens débordant.
Ces décennies ont été une explosion d'innovations et de nouvelles idées. Nous avions la liberté et la peur de l'échec, le succès et les responsabilités qui vont avec, mais nous avons appris comment gérer tout cela.
Si vous êtes un de ceux-là, si vous vous reconnaissez...
FÉLiCiTATiONS !
Peut-être que vous voulez partager ceci avec d'autres qui ont eu la chance de grandir, avant que les avocats ne viennent tout réglementer, avant que les " médias " ne prennent tant de plaisir à faire trembler les chaumières de leurs pseudo scoops dramatiques, sans certitude... Juste pour le fun et le fric.
Avant que les gendarmes - dont la mission était la Défense opérationnelle du territoire - ne deviennent des percepteurs...
Et que les policiers n'aient de cesse de vous retirer votre permis de conduire... accompagné de centaines d'euros...
Comme la vie était belle, limpide, parfois rude mais combien nous étions heureux !
Vous pouvez envoyer ce message à vos enfants, ils pourront réaliser la bravoure et la chance de leurs grands-parents et de leurs parents...
Dans la belle France Libre d'avant...
D'avant quoi déjà ?...
Et on baisait même sans capotes ... juste le temps qu'il fallut avant... ( ajout de PPlemoqueur )
Il est très impolitiquement correct d'évoquer ce changement...
Pour mes amis créationnistes
Dieu en son infinie sagesse créa l'Homme à son image et de la côte de
celui-ci quelques temps après, la femme. Ni l'un ni l'autre, c'est bien
logique, n'eurent et c'est reconnu de nombril, contrairement à ce qu'on
voit sur ce superbe tableau de Guido Reni et sur ceux de tant d'autres .
Mais ce qu'on a oublié, c'est de fait qu'ils sont tous deux nés
adultes. Pour Adam et Ève, pas d'enfance, pas d'adolescence, pas de
seins tétés, de couches culottes, de berceuses, de fessées, pas plus de
puberté que d'acné et du reste ... Pas d'apprentissage de la vie ni
d'autorité formatrice, juste en transgression globalisante d'un interdit
fort mystérieux une pomme, et encore, sous la pression insistante d'un
serpent de rencontre. Ils eurent certes un père mais pas de mère ... La
chose eût-elle été différente si au lieu de Dieu le Père, ils étaient
nés de Dieu la Mère ou d'un couple de dieux normaux ? Voilà, c'est des
trucs importants à réfléchir, entre deux bains.
24 juillet, 2012
Pensées ignobles !
J'imagine ne pas être le seul à qui ça arrive... Il suffit parfois d'être face à une situation dramatique pour que se pointe dans votre esprit la pensée foireuse qu'il ne faut surtout pas avoir et que l'on enfouit dans notre mémoire sitôt qu'elle nous est parvenue.
Tenez, je vais vous faire un aveu. Apprenant hier qu'Alep deuxième ville de Syrie était elle aussi l'enjeu de combats meurtriers, je me suis dit très vite " Bon Dieu je vais manquer de savon !" et d'aller voir dans ma réserve. Trois pains. Si tout va bien je devrais tenir jusqu'à la chute du tyran.
Que celui à qui ça n'arrive jamais...
Tenez, je vais vous faire un aveu. Apprenant hier qu'Alep deuxième ville de Syrie était elle aussi l'enjeu de combats meurtriers, je me suis dit très vite " Bon Dieu je vais manquer de savon !" et d'aller voir dans ma réserve. Trois pains. Si tout va bien je devrais tenir jusqu'à la chute du tyran.
Que celui à qui ça n'arrive jamais...
23 juillet, 2012
"Hollande place ses hommes !" alerte le Figaro Magazine
C'est cette formule qui fait peur que le Fig Mag offusqué met en une d'un de ses derniers numéros. Bon, faut dire que c'est quand même pas très compliqué. Il suffit de virer ceux que Sarkozy avait installés sans vergogne pour sans plus de vergogne en mettre d'autres à leurs places.
22 juillet, 2012
21 juillet, 2012
Le Château de Fougeret et ses fantômes appointés.
Vu dans VSD que dans la Vienne, sur la commune de Queaux (prononcer
t'chio) les actuels et somme toute récents propriétaires du château de
Fougeret vivent avec des fantômes. Eh bien c'est pas drôle ! Il semble
que d'habitation en habitation, ces gens
tout à fait honnêtes, trouvent partout où il s'installent, à moins
qu'ils ne les trimbalent avec eux fantômes, poltergeists, et autres
succubes et incubes de tous poils et de toutes époques.
D'ailleurs la preuve que c'est vrai, c'est que pour la modique somme de vingt-cinq euros, lis-je dans cet excellent journal d'investigation vous pouvez passer un moment nocturne et aller à leur rencontre. Ils sont là tous les soirs, comme de vrais fonctionnaires. Si vous n'entendez et ne voyez rien, c'est pas grave, un médium local voit et entend à votre place.
J'ignore quel statut ils ont, s'ils sont "déclarés" et s'ils cotisent au "Congé Spectacle" et au Griss...
Maintenant pour ceux qui l'ignoreraient je tiens un scoop ! Il y aurait un souterrain secret qui relie le château de Fougeret à Rennes le Château.
D'ailleurs la preuve que c'est vrai, c'est que pour la modique somme de vingt-cinq euros, lis-je dans cet excellent journal d'investigation vous pouvez passer un moment nocturne et aller à leur rencontre. Ils sont là tous les soirs, comme de vrais fonctionnaires. Si vous n'entendez et ne voyez rien, c'est pas grave, un médium local voit et entend à votre place.
J'ignore quel statut ils ont, s'ils sont "déclarés" et s'ils cotisent au "Congé Spectacle" et au Griss...
Maintenant pour ceux qui l'ignoreraient je tiens un scoop ! Il y aurait un souterrain secret qui relie le château de Fougeret à Rennes le Château.
20 juillet, 2012
Très laid mais utile !
C'est vraiment très laid à voir, mais ça permet de tout voir et dans le détail...
Coloration nocturne façade Notre Dame La grande Poitiers
Coloration nocturne façade Notre Dame La grande Poitiers
on entend de ces trucs...
Il y a quelques minutes dans la rue une fillette de trois ou quatre ans montrant à sa mère une auto lui demande :
- C'est la voiture à papa ?
- Non, ma chérie, répond la mère, c'est une Audi, Papa il a une BMW, mais c'est la même maison.
L'éducation des filles, ça se commence tôt.
14 juillet, 2012
Question
Vous saviez qu'Oscar le Chien est extraordinaire. Il répond en accourant dès que je lui fais signe sans parler, juste en agitant l'index . Je ne sais pas si c'est normal ou non, bref si tous les chiens, extraordinaires ou non, font ça.
Catherine Crak vous fait sa référence...
Catherine Crak est extraordinaire !
Ne cherchez pas qui est Catherine Crak. Catherine Crak est deux peintres qui comme leurs prédécesseurs dans les Flandres du XVII°siècle, travaillaient ensemble sur la même toile, chacun faisant ce que sa compétence ou sa guilde l’autorisait à faire. Fleurs et paysages pour les uns, humains et animaux pour les autres sans hiérarchie aucune.
Le résultat est plein d’énergie et /ou/ car truffé de références. Références à la BD, aux personnages mythiques du cinéma et de la télé pour enfants des années soixante dix et d'avant, mais aussi par la même occasion aux peintres de la période Pop, Erro, Télémaque and c°. Ces toiles vous sautent aux yeux, mais il faut les contempler un moment pour déchiffrer toutes les citations qu’elles recèlent de Tintin aux Bisounours en passant par Pluto et des figures plus difficilement lisibles mais récurrentes parfois d’une toile à l’autre. Des objets aussi, le célèbre Rubik Cube et son père putatif et bien involontaire, le Cercle chromatique de Chevreul... Cette exposition se lit donc de ce fait comme un livre dont on retrouve d‘une page à l‘autre certains personnages fantomatiques juste esquissés au pochoir.
De l’ action painting de l’un à la tentation hyper-réaliste de l’autre, et de leur heureuse rencontre résulte une peinture désirable, qui cache et véhicule sous une certaine légèreté, des intentions subliminales beaucoup moins charmantes... C’est vous qui voyez ! ....
Ne cherchez pas qui est Catherine Crak. Catherine Crak est deux peintres qui comme leurs prédécesseurs dans les Flandres du XVII°siècle, travaillaient ensemble sur la même toile, chacun faisant ce que sa compétence ou sa guilde l’autorisait à faire. Fleurs et paysages pour les uns, humains et animaux pour les autres sans hiérarchie aucune.
Le résultat est plein d’énergie et /ou/ car truffé de références. Références à la BD, aux personnages mythiques du cinéma et de la télé pour enfants des années soixante dix et d'avant, mais aussi par la même occasion aux peintres de la période Pop, Erro, Télémaque and c°. Ces toiles vous sautent aux yeux, mais il faut les contempler un moment pour déchiffrer toutes les citations qu’elles recèlent de Tintin aux Bisounours en passant par Pluto et des figures plus difficilement lisibles mais récurrentes parfois d’une toile à l’autre. Des objets aussi, le célèbre Rubik Cube et son père putatif et bien involontaire, le Cercle chromatique de Chevreul... Cette exposition se lit donc de ce fait comme un livre dont on retrouve d‘une page à l‘autre certains personnages fantomatiques juste esquissés au pochoir.
De l’ action painting de l’un à la tentation hyper-réaliste de l’autre, et de leur heureuse rencontre résulte une peinture désirable, qui cache et véhicule sous une certaine légèreté, des intentions subliminales beaucoup moins charmantes... C’est vous qui voyez ! ....
C'est à Lagny sur Marne Salle Josse.
13 juillet, 2012
Pendant les travaux, le cinéma continue, les approximations et les erreurs de Jean-Baptiste Thoret et Stéphane Bou saussi...
Jean-Baptiste Thoret et Stéphane Bou sont de charmants et experts auto-proclamés du ciné et de la musique d 'icelui.
Ce matin, sur France Inter, en présence de Philippe Cassard pianiste remarquable et cinéphile de goût, l'un des deux lascars cite Steiner, quelques autres musiciens du Hollywood des années trente et, ça ne s'invente pas, "Elmer Bernstein, le compositeur de West Side Story"... Ca c'est pour l'erreur. Pour l'approximation, ils la réservent à Ennio Morricone dont ils prétendent que c'est Sergio Leone qui le révéla... Mais non, c'est, ( je sais c'est inattendu) Pasolini dans en particulier Uccelacci e Uccellini, d'abord, puis dans Théorème qui le fit connaître.
Ah , l'expertise ! Pour mémoire le générique de début de Uccelacci e Uccellini:
12 juillet, 2012
11 juillet, 2012
Et pendant qu'on déconne, badins et facétieux,
Urgence et chanson...
Urgence et chanson (tube ancien!) ...
Saint Laz'. Nous sortons du métro à 14h45 pour être précis. Face à nous l'entrée très solennelle du très austère lycée Condorcet. Quart de tour à gauche direction rue de Rome pour retrouver des amis musiciens dans un bistrot sur les sièges et les banquettes duquel se sont frottés depuis plus d'un siècle tous les fessiers musicaux de France, et probablement du monde ...
Mais avant d'y parvenir, le trajet tout en étant sympathique est proprement terrifiant. Des gens, des gens partout dans tous les sens et qui s'agitent. Certains chargés de biens achetés alentour (derniers sursauts des soldes), certains dans l'urgence de retourner travailler après avoir déjeuné sur le pouce, d'autres s'y préparant avec la même urgence, pas celle de l'irrépressible faim, celle de la nécessité alimentaire, du carburant. Urgence, urgence, urgence... Mais curieusement tout ça glisse comme si chacun évitant le contact, l'inutile et contreproductif affrontement, évoluait au radar telle l'aveugle chauve souris qui est entrée avant-hier soir dans l'atelier, tournant, papillotant à fond les ailes sans jamais se cogner.
Ca me rappelle une chanson de Petula Clark : "Qu'est ce qui fait courir le monde" et qui date des early sixties...
C'est comme des millions de fourmis
Qui ont perdu leur nid
Comme des papillons ou des hannetons
Qui tournent, tournent en rond
Qu'ils soient pauvres ou bien qu'ils soient riches
Ils mangent des sandwichs
Se jettent au galop au fond du métro
Dans leurs autos
Mais qu'est-ce qui fait
Qu'est-ce qui fait
Fait courir le monde
A travers le monde
Comme des moutons...
Début des années soixante... J'y pense encore à chaque fois à cette chanson, au même endroit, parfois ailleurs.
La chanson, c'est pas toujours n'importe quoi et parfois ça en dit long et pour longtemps sur nos pratiques, sur ce que nous sommes...
Bien sûr c'est pas du Prévert mais n'empêche, ça cause...
09 juillet, 2012
Ma découverte de la semaine ! en fait une confirmation de ce que je savais : Mauriac était génial et subversif !
Après avoir revu l' excellent film de Franju, "Thérèse Desqueyroux" je découvre une chose qui ne m'était pas apparue quand je vis le film pour la première fois (faut dire, j'avais treize ans !) avec ma sœur Catherine et notre amie Fanchon, c''est la relation lesbos unilatérale et inavouée entre Thérèse et Anna la sœur de Bernard Desqueyroux et la manière en partie avérée fut-elle détournée, dont elle dit qu'elle épouse le frère ne pouvant avoir la sœur. Le film date de 1962 et et le roman de 1927... ceux qui me diront que Mauriac qui participa au scenario et aux dialogues était un vieux con, je les emmerde, je les conchie !
Mauriac ? Total respect !
La "patte d'appel" ou l'anthropomorphisme au quotifdien
Vous avez comme moi et comme tout le monde, votre "pied d'appel". C'est le gauche ou le droit et ça n'a rien à voir avec le fait d'être gaucher ou droitier. C'est simplement le pied sur lequel vous prenez de préférence appuis dès qu'il s"agit de déplacer votre carcasse de bas en haut, saut en hauteur, démarrage de votre premier tour de pédalier de bicyclette, entre autres.
Seulement voilà, il n'y a pas que vous et moi et tous les humains, à avoir un pied d'appel... Je me suis en effet aperçu hier qu'Oscar le Chien aussi avait sa patte d'appel. En effet, quand il monte un escalier en commençant pas la patte droite au bout de trois marches il se mélange les pinceaux et est obligé de s'arrêter pour reprendre l'autre patte, la bonne, la gauche.
C'était la minute avérée d'anthropomorphisme canin.
08 juillet, 2012
La bohémienne et l'arnaque à la bague trouvée
Il y a quelques jours, avenue Scribe, une bohémienne m'accoste une énorme baguouse prétendument en or à la main . Elle veut me la donner... Bien sûr l 'objet n'est pas en or et même s'il l'était, je ne vois pas pourquoi et a fortiori, elle m'en ferait cadeau... Elle n'insiste pas, et à peine ai-je fait six pas qu'elle propose au moment où je me retourne la même bague à une touriste. Je fais signe à cette dernière de refuser et de partir, ce qu'elle fait aussitôt. La bohémienne me maudit de loin. De toute évidence il y a une arnaque, seulement n'en ayant pas été victime et n'ayant vu personne l'être, je ne sais pas la nature de celle-ci
Je tape sur google "arnaque à la bague.." C'est pas méchant et c'est archi-connu... à vous comme moi d'aller y voir.
07 juillet, 2012
La drôle de comptine que ma mère me chantait ( en partie, car elle est très longue ! )
elle ne m'en chantait (m'enchantait ?) que les passages les plus narratifs, donc les plus cruels, ceux qui sont intéressants.
Mon père m'a donné un mari
Mon Dieu, quel homme quel petit homme
Mon père m'a donné un mari
Mon Dieu quel homme qu'il est petit !
D'une feuille on fit son habit
Mon Dieu, quel homme, quel petit homme
D'une feuille on fit son habit
Mon Dieu quel homme, qu'il est petit.
Je l'ai perdu dans mon grand lit
Mon Dieu quel homme quel petit homme
Je l'ai perdu dans mon grand lit
Mon Dieu quel homme qu'il est petit !
J'pris une chandelle et le cherchis
Mon Dieu quel homme quel petit homme
J'pris une chandelle et le cherchis
Mon Dieu quel homme qu'il est petit !
A la paillasse le feu a pris
Mon Dieu quel homme quel petit homme
A la paillasse le feu a pris
Mon Dieu quel homme qu'il est petit !
Je trouvai mon mari rôti
Mon Dieu quel homme, quel petit homme
Je trouvai mon mari rôti
Mon Dieu quel homme qu'il est petit !
Sur une assiette je le mis
Mon Dieu quel homme, quel petit homme
Sur une assiette je le mis
Mon Dieu quel homme qu'il est petit !
Le chat l'a pris pour une souris
Mon Dieu quel homme quel petit homme
Le chat l'a pris pour une souris
Mon Dieu quel homme qu'il est petit !
Au chat, au chat, c'est mon mari
Mon Dieu quel homme, quel petit homme
Au chat, au chat, c'est mon mari
Mon Dieu quel homme qu'il est petit
Fillette qui prenez un mari
Mon Dieu quel homme quel petit homme
Fillette qui prenez un mari
Mon Dieu quel homme qu'il est petit
Ne le prenez pas si petit
Mon Dieu quel homme quel petit homme
Ne le prenez pas si petit
Mon Dieu quel homme qu'il est petit !
Mon père m'a donné un mari
Mon Dieu, quel homme quel petit homme
Mon père m'a donné un mari
Mon Dieu quel homme qu'il est petit !
D'une feuille on fit son habit
Mon Dieu, quel homme, quel petit homme
D'une feuille on fit son habit
Mon Dieu quel homme, qu'il est petit.
Je l'ai perdu dans mon grand lit
Mon Dieu quel homme quel petit homme
Je l'ai perdu dans mon grand lit
Mon Dieu quel homme qu'il est petit !
J'pris une chandelle et le cherchis
Mon Dieu quel homme quel petit homme
J'pris une chandelle et le cherchis
Mon Dieu quel homme qu'il est petit !
A la paillasse le feu a pris
Mon Dieu quel homme quel petit homme
A la paillasse le feu a pris
Mon Dieu quel homme qu'il est petit !
Je trouvai mon mari rôti
Mon Dieu quel homme, quel petit homme
Je trouvai mon mari rôti
Mon Dieu quel homme qu'il est petit !
Sur une assiette je le mis
Mon Dieu quel homme, quel petit homme
Sur une assiette je le mis
Mon Dieu quel homme qu'il est petit !
Le chat l'a pris pour une souris
Mon Dieu quel homme quel petit homme
Le chat l'a pris pour une souris
Mon Dieu quel homme qu'il est petit !
Au chat, au chat, c'est mon mari
Mon Dieu quel homme, quel petit homme
Au chat, au chat, c'est mon mari
Mon Dieu quel homme qu'il est petit
Fillette qui prenez un mari
Mon Dieu quel homme quel petit homme
Fillette qui prenez un mari
Mon Dieu quel homme qu'il est petit
Ne le prenez pas si petit
Mon Dieu quel homme quel petit homme
Ne le prenez pas si petit
Mon Dieu quel homme qu'il est petit !
on peut pas être tranquille !
Lu dans le Canard :
Csanad Szegedi, leader du Jobbik, parti d'extrême droite hongrois farouchement antisémite, vient d'apprendre que sa grand-mère Magdolna Klein, était juive et une survivante de l'Holocauste2.
Il paraît qu'il prend très mal la chose.
Vous me direz que ça n'a pas empêché Hitler...
06 juillet, 2012
Jean Françaix, compositeur superbe et fin lettré ou Les Inestimables Chroniques du bon Géant Gargantua
Jean Françaix, compositeur superbe et fin lettré s'intéressa en 1971 à la
mise en musique d'épisodes du Gargantua de Rabelais. Il en fit lui même
l'adaptation, de la naissance du bon géant à l'Abbaye
de Thélème, en passant par la guerre picrocholine. Le résultat est
totalement réussi, concis et inventif, et devrait rejoindre au
répertoire Pierre et le Loup et le Carnaval des Animaux. La musique,
fut-elle en partie "de tiroir" est remarquablement écrite pour les
cordes (ici au nombre nécessaire et suffisant de douze);
C'est ce qu 'aujourd'hui nous avons, Polo et moi entendu à la Comédie Française dans son "Théâtre Éphémère" construit pour remplacer pendant la durée des travaux engagés la salle dans la colonnade du Palais Royal. Élégant, tout en bois, l'acoustique est de rêve.
Éric Génovèse était un récitant idéal à la voix grave et timbrée qui se serait fort bien passée d'amplification. Le Paris Mozart Orchestra probable ensemble de circonstance fut parfait de justesse et de qualité de son et l'on s'est réjoui de retrouver au pupitre une Claire Gibault momentanément égarée dans la politique, parfaite de précision et d'élégante vigueur.
Ah oui, c'est marrant, aucun rappel de ce que 2012, c'est l'année Françaix...
C'est ce qu 'aujourd'hui nous avons, Polo et moi entendu à la Comédie Française dans son "Théâtre Éphémère" construit pour remplacer pendant la durée des travaux engagés la salle dans la colonnade du Palais Royal. Élégant, tout en bois, l'acoustique est de rêve.
Éric Génovèse était un récitant idéal à la voix grave et timbrée qui se serait fort bien passée d'amplification. Le Paris Mozart Orchestra probable ensemble de circonstance fut parfait de justesse et de qualité de son et l'on s'est réjoui de retrouver au pupitre une Claire Gibault momentanément égarée dans la politique, parfaite de précision et d'élégante vigueur.
Ah oui, c'est marrant, aucun rappel de ce que 2012, c'est l'année Françaix...
05 juillet, 2012
Hercule et le lion de Némée
C'est l'un des sujets mythologiques les plus représentés sur les linteaux des portes des immeubles et des hôtels particuliers de Paris. Il y a d'abord l' Hercule dans la force de l'age puis, découvert récemment l' Hercule jeune lui aussi coiffé de la dépouille du lion. Et puis, il y a par une sorte de métonymie sculpturale, le lion lui-même, tout seul...
Trans mais chic !
Un ancien voisin, transsexuel opéré depuis quelques années reçoit
encore du courrier qui reste posé en souffrance sur les boîtes à
lettres. C'est ainsi que j'ai vu ce matin sur une enveloppe qui lui est
destinée son nouveau prénom que je connaissais mais aussi comme chez
toutes les filles de bonne famille, les second et troisième prénoms.
C'est ainsi qu'il s'appelle désormais X... Jeanne, Françoise. R.
"On ne nait pas femme, on le devient" disait la bonne Simone. C'est encore plus vrais pour les trans. Trois prénoms féminins, faut bien ça pour s'affirmer.
"On ne nait pas femme, on le devient" disait la bonne Simone. C'est encore plus vrais pour les trans. Trois prénoms féminins, faut bien ça pour s'affirmer.
L'Orgue dans tous ses états ... les américains encore les plus forts !
Virgil Fox, l'ancêtre, l'inventeur des talons de chaussures diamantés...
l'hyper-choucroutée Diane Bish
l'ultra-sportif et ébouristouflant Cameron Carpenter
en France, dans le genre extraordinaire et spectaculaire, nous n'avons hélas que Jean Guillou même si à coté des leurs son allure est des plus "calvinistes"...
l'hyper-choucroutée Diane Bish
l'ultra-sportif et ébouristouflant Cameron Carpenter
en France, dans le genre extraordinaire et spectaculaire, nous n'avons hélas que Jean Guillou même si à coté des leurs son allure est des plus "calvinistes"...
04 juillet, 2012
Et si on en parlait ?
Ce matin, sur France Inter et comme le rappelle Potomac sur son blog ami, on parle des "Règles". Ok ! C'est une chose importante dont la découverte, et les noms qu'on lui donne sont indissociables de la condition féminine. Frédérique Al Amrani-Boisseau dans son remarquable ouvrage " Filles de la Terre" en parle dans le cadre précis d'une étude anthropologique en milieu rural dans l'Anjou de la première moitié du XX° siècle. Ce qui est vrai pour un microcosme tend irrémédiablement vers l'universel.
Le règles sont de toute évidence un événement fondateur dans la vie d'une femme. La manière dont on en parla et dont on en parle aujourd'hui reste un sujet grave.
Maintenant je vais vous dire un truc... Vous êtes sympas, les filles avec vos premières règles, que vous ayez été (selon les générations), prévenues et informées ou tenues dans le mystère, un garçon connaît les mêmes angoisses et se pose les mêmes questions le jour où s'étant masturbé selon son habitude, il éjacule pour la première fois sans avoir été prévenu... (les pollutions nocturnes sont une vue de l'esprit, un concept moral puis littéraire, car elle ne sont que la trace d'une masturbation mal assumée par le masturbateur et par son entourage ...) Ok, la fille, c'est structurel et le garçon conjoncturel, et que s'il veut être tranquille, il n'a qu'a pas se branler.... Sauf que, en dehors du fait que les filles se masturbent aussi, ces deux moments de découverte d'un corps qui "rejette, éjecte", eh bien, c'est la même histoire, la même découverte, le même traumatisme possible, celui d'une réalité, la déroutante puberté. Seulement, pour les garçons, on en cause pas, double peine, physiologique et morale...
Alors les filles, faites pas chier avec la découverte traumatisante ou non de vos règles, nous aussi, les garçons vers 11 ans, on a nos problèmes aussi graves que les vôtres, n'était une gestion plus compliquée pour vous de l'épanchement des flux....et a contrario une fois passé la surprise une idée de plaisir et j'aimerai être certains que les garçons d'aujourd'hui soient aussi informés que leurs sœurs ou amies et de quelle manière....
Jacques Sternberg l'Infiniment Petit et Dieu, dans tout ça ?
Des petits missionnaires hâtifs depuis que Higgs et ses co-inventeurs formulèrent l'hypothèse de la particule élémentaire manquante, lui ont attribué sans perdre de temps le nom de "Particule de Dieu" C'est pas bien grave.
Ce
qui est en revanche intéressant, c'est l'hypothèse du très oublié et
néanmoins remarquable écrivain belge Jacques Sternberg, qui dans les années
soixante, dans une de ses nouvelles envisageait, ce qui est maintenant
évident, que Dieu, contrairement à ce dont les religieux de tous
poils et de toutes époques affirmaient le contraire, n'est pas, s'il
existe, à chercher du coté de l'infiniment grand, mais de l'infiniment
petit.
Il n'y a pas de science sans poésie...
Boson de Higgs
Je n'y comprends pas grand'chose, en fait et pour tout vous dire complétement rien, mais je dois avouer que cette découverte du Boson de Higgs ou de son frère me fascine.
Il y a des jours où je voudrais être matheux et physicien !
03 juillet, 2012
02 juillet, 2012
Le bon mot de la Maréchale Lyautey
Le Maréchal Lyautey militaire bizarre, colonisateur non raciste était homosexuel et, forcément à l'époque dans le placard.. Il se maria à 55 ans. Le secret de polichinelle fut remis dans son contexte par la Maréchale elle-même, née Inés de Bourgoing, qui sortant le matin de sa nuit de noces de la tente du grand homme dans le cantonnement où elle l'avait rejoint s'écria en toisant les officiers assemblés et un peu amusés goguenards "Messieurs, dit-elle, cette nuit , je vous ai tous fait cocus !"
01 juillet, 2012
In memoriam, les plaques émaillées...
Ces plaques émaillées,
photographiées cet après midi dans un cimetière, ont en commun leur
taille, leur facture (photo sépia émaillée). Elles diffèrent, par la force
des choses, par les sujets photographiés. Très jeunes, adolescent(e)s,
hommes et femmes faites, vieillard(e)s. Ces photos choisies par la
parentèle sont, puisqu'il faut que le sujet soit seul, (même s'il y a des cas - morts par accidents - de regroupement sur une même plaque) des photos
d'identité ou des "photos de photographe" ; le sujet peut être en
uniforme. La position de la tête légèrement penchée indique le plus
souvent une photo d'identité.Seule une (qu'on ne voit pas ici) est de toute évidence découpée dans
une photo de groupe. Elles sont vraisemblablement toutes assez peu antérieures à la mort du sujet.
Elles
sont de toute façon l'image que les vivants ont voulu garder du mort,
joviale, sérieuse ou boute-en train comme celle (parmi les plus récentes et rares) du défunt en Popeye.
Datée pour la plupart "d'entre les deux guerres", quelques unes dans le juste "après seconde guerre", les dates de décès en
témoignent, elles laissent penser que le marbrier du village devait
proposer ce service régulièrement aux familles tant le nombre de ces
petites plaques touchantes, émouvantes, est important dans ce petit cimetière qui fut longtemps rural. .
En voici neuf choisies parmi la soixantaine que j'ai photographiée cet après-midi. Vous noterez que l'ovale, l'ove (l'œuf initial, retour à la matrice qu'on trouve aussi dans le camée auquel la forme et la couleur de ces ex-voto font fortement penser) est dans tous les cas de rigueur.
Charlie Winston : truqueur, bidule et compagnie
Un dénommé Charlie Winston, chanteur britannique chante un bidule revival intitulé " Were can I buy Happiness." Tout le monde dans les radios se pâme d'admiration sans flairer l'entourloupe. Ce n'est pas un plagiat, certes mais c'est tellement dans l'esprit et, de fait, moins bien que "Don't let me be misunderstood" des Animals qu'on peut dire que c'est de la daube du ressassé...
Les gens de radio et leurs auditeurs ont la mémoire courte
Chrétiens, musulmans, juifs, indouistes, bouddhistes, taosites, animistes, vous me connaissez ! je respecte toutes les croyances...
n'empêche, y a des coups de pied occultes qui se perdent
Soldats de l'Afghanistan National Army
Garmser, Helmand province, Afghanistan, vendredi dernier
ou se prendre les pieds dans le tapis,en levrette .
Au même moment, cérémonie d'ordination de prêtres intégristes
de la comunnauté St. Pie X à Econe, Suisse,
soieries, dentelles et fanfreluches, vautrés comme des carpettes.
Ni fier, ni honteux
je ne vais pas à la Marche des Fiertés, because...
et parce que mon instinct grégaire est actuellement à son niveau le plus bas. Mais si on m'emmerde moi et mes potes homos et lesbiennes ça va faire mal...
à propos d'un de mes films cultes, d'après l'un de mes romans cultes, avec l'une de mes comédiennes cultes,
ça en fait des cultes, pour un vieil agnostique...
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