22 novembre, 2013

Pauvres critiques, c'est con, ce qui leur arrive !


Une étude récente annonce que depuis l'émergence des réseaux sociaux, en raison des recommandations des auditeurs entre eux, l'influence des critiques professionnels toutes spécialités confondues est en chute libre.
Fini donc le pouvoir absolu des experts autoproclamés de la musique, du cinéma et de la littérature, habitués des ondes ou simples folliculaires,
Une justice immanente !

3 commentaires:

CHROUM-BADABAN a dit…

C'est dommage, j'aimais bien Michel Polac, et des mecs (ou des nanas) comme lui, qui nous faisaient (et nous font) découvrir, arguments à l'appui, une oeuvre et en même temps leur propre esprit critique et leur propre univers intellectuel.
De ces critiques dont ont pouvait dire : "il l'a dit alors je le lis, je le regarde" parce qu'on leur faisait confiance.
Comme un ami vous conseille un disque qui lui a plu...
Un livre.
Parce que, pour un causeur de mon acabit, cocher une case pour dire j'aime ou je n'aime pas, c'est un peu short !

P. P. Lemoqeur a dit…

Oui, mais Polac, n'était qu'accessoirement critique et je dirais plutôt "commentateur littéraire", et n'en faisait pas profession ; il était écrivain, cinéaste... et jamais ne se serait permis de sacrifier quoi que ce soit au plaisir du "bon mot"...

CHROUM-BADABAN a dit…

Oui, il faisait autre chose que critiquer, c'est vrai et c'est sans doute pour ça qu'il était passionnant de le suivre...
Faire un bon mot, sur le dos de quelqu'un, si ce n'est que pour se rendre intéressant (faire son intéressant !) niet !

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