07 juin, 2013

Bacchus et Ariane par Guido Reni, commentaire en vers de votre serviteur...


Quand Ariane bernée par l’ignoble Thésée
Se trouve par Bacchus ardemment courtisée
Elle est prête à céder, tant le chagrin l’habite
Mais celle du grand dieu lui semble bien petite



3 commentaires:

Calyste a dit…

Lâche un peu ta douleur et prends-la donc en main.
Et tu verras sur moi, si tu y mets l'entrain,
Grandir le vermisseau qui deviendra gourdin.
Un dieu sur ce plan-là est semblable aux humains!

P. P. Lemoqeur a dit…

On dit que l’on peut être saisi d’une stupeur
A voir, inattendu, se déployer un vit
Qu'on pensait incapable d'atteindre telle ampleur...
Pour moi, jusqu’à présent ce n’est que de l’on dit...

CHROUM-BADABAN a dit…

Ariane voulait qu'elles tombent, toutes cuites en la main.
Elle recherchait en vain, les deux choses pendantes.
Mes noisettes grillées, ce n'est pas pour demain !
Et remballant le tout, ce n'est pas pour ta fente !

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