C'est la nouvelle préoccupation de tout un chacun.
C'est aussi à croire que les footeux racistes qui se déchaînent au Parc des Princes ne le seraient qu'au stade et pas ailleurs... Mais ils sont racistes partout, les gros cons, pas qu'au stade. Le stade n'est plus que l'endroit où se libérent leurs ardeurs et suintent leurs testostérones... S'ils pouvaient se retrouver à 500 chez le boucher ou au Monop du coin, ils y seraient tout aussi racistes qu'au stade.
Mais ce qu' il faut bien comprendre c'est qu'ils le sont tout autant chez eux, dans la journée costard-cravatte, en sur-vêt devant la télé, dans la cuisine, au chiottes, partout. Le problème c'est qu'un con seul, c'est déjà dangereux, mais 1000, 2000...
Et tout ça parce que ces amitiés viriles qui se nouent dans les tribunes restent sans lendemain, inabouties... Ils se stimulent et après...rien ! Jaloux des joueurs qui se paient une troisième mi-temps, plutôt que de se bricoler entre eux, dans les vestiaires ou dans les tasses du stade ("Les garçons dans les vestiaires" chantait la claivoyante Clarika ) , ils vont cogner sur tout ce qui n'est pas normal, youpins, négros, bougnoules, pédés, s'il y en a dans le coin. Heureusement, y a peu de fendues qui s'y hasardent...
C'est aussi à croire que les footeux racistes qui se déchaînent au Parc des Princes ne le seraient qu'au stade et pas ailleurs... Mais ils sont racistes partout, les gros cons, pas qu'au stade. Le stade n'est plus que l'endroit où se libérent leurs ardeurs et suintent leurs testostérones... S'ils pouvaient se retrouver à 500 chez le boucher ou au Monop du coin, ils y seraient tout aussi racistes qu'au stade.
Mais ce qu' il faut bien comprendre c'est qu'ils le sont tout autant chez eux, dans la journée costard-cravatte, en sur-vêt devant la télé, dans la cuisine, au chiottes, partout. Le problème c'est qu'un con seul, c'est déjà dangereux, mais 1000, 2000...
Et tout ça parce que ces amitiés viriles qui se nouent dans les tribunes restent sans lendemain, inabouties... Ils se stimulent et après...rien ! Jaloux des joueurs qui se paient une troisième mi-temps, plutôt que de se bricoler entre eux, dans les vestiaires ou dans les tasses du stade ("Les garçons dans les vestiaires" chantait la claivoyante Clarika ) , ils vont cogner sur tout ce qui n'est pas normal, youpins, négros, bougnoules, pédés, s'il y en a dans le coin. Heureusement, y a peu de fendues qui s'y hasardent...
6 commentaires:
qui pourra répondre à la question que je me pose : pourquoi notre ministre de l'intérieur envoie-t-il les c.r.s. dans les coins où l'on dit pudiquement qu'il s'y passe des "évènements", mais laisse la porte de son ministère ouverte aux associations fachos ???
Si mon père, victime de l'abomination humaine voilà un peu plus de 60 ans, voit ça d'où il est, il a du mettre en boucle son juron favori : ben merce alors !
Chère Nathalie,
Le fascisme est devenu un vice protéiforme. Il ne correspond plus à un ou à des partis politiques. Il est inscrit dans les mentalités, au point même qu'une bonne part des fafs, ignorent même (dans le grand désert de leur conscience politique), comme Monsieur Jourdain ignorait qu'il fît de la prose, qu'il "font du faf" ; c'est devenu pour parler moderne une " attitude"... , C'est bien pour ça qu'il devient de plus en plus difficile à combattre. A l'époque où le fascisme était le reflet d'une pensée, fut-elle foireuse comme celle de l'Action Française, puis du Poujadisme et même pendant un temps de son avatar le plus grotesquement gras, le lepenisme, on pouvait à la limite le combattre car il était "localisé". Il se développe désormais dans un territoire extrêment élargi, et surtout, il est dilué... Et comme le Strontium, même à dose infime, il reste très dangereux...
CA ne fait que commencer! MAis on l'a voulu, on l'a cherché!
Nous sommes en 1930!
On l'a voulu , on l'a voulu... peut-être qu'on l'a plutôt mérité, encore que, je ne me sens pas coupable de quoi que ce soit à ce sujet. Vous non plus, j'en suis certain.
En psychiatrie, il existe un véritable gouffre entre une tendance paranoïde ou des bouffées schizophréniques et la paranoïa ou la schizophrénie en tant que telles. Les unes et les autres ne peuvent être traitées de la même manière. Alors pourquoi s'acharner à dire qu'on envoie les CRS dans les coins où il se passe des "événements" quand on sait que ceux-ci, en ayant ras le bol qu'on leur confie systématiquement les sales boulots, sont généralement remplacés par des gendarmes -les deux ne pouvant mutuellement pas se saquer- ? Ou parler d'"associations fachos", ce qui renforce leur popularité ? C'est en effet un argument démontable en cinq minutes sur le plan historique - ces gens là ont une culture politique-, qui les place sur leur terrain : celui de la polémique. L'accusation est si exagérée que devant une telle "outrance", beaucoup se disent "puisqu'on nous raconte n'importe quoi sur ceux-là (un facho prend le pouvoir, il ne le demande pas), c'est qu'ils ne sont en réalité pas dangereux. Et là est le grand péril : croire à leur inocuité. Point n'est besoin de remonter si loin. Il suffit d'observer les villes où le FN est au pouvoir pour constater ses dérives liberticides, népotiques et clientélistes. Ainsi, seulement, on pourra les démonter point par point, et leur offrir l'humiliation du ridicule, car tout montre qu'ils ne sont crédibles sur rien, pas même la sécurité. Je suis fort étonné de voir des esprits aussi affûtés que les amis Hors Landeau et PP le Moqueur tomber dans d'aussi grossiers pièges …
Cher P-G
Pour ce qui est de la rivalité entre CRS et Gendarmes, elle est traditionnelle du fait que les uns dépendent du ministère de l'intérieur et les autres de celui des armées ; elle se trouve aujourd'hui aggravée par la rivalité entre les deux ministres de tutelle...
Mais ce que vous dites ne contredit en rien mon propos ni celui de H-L L'utilisation qui est faite de la "force publique" sous ses diverses formes si elle est, comme vous le dites sujet ou objet de
manipulation,n'empêche pas le comportement fascisant de se répandre hors des lieux où l'on pense peut-être à tort qu'il se trouverait concentré, mouvements politiques, associations, voire corps constitués, dans une population entière et ce, hélas, sans qu'il soit nécessaire de l'y pousser très fort...
Au bout du compte nous sommes plutôt d'accord !
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