Je me souviens que lorsque j'étais enfant pour les fêtes et les cérémonies, mariages, communions, on ne faisait pas comme aujourd'hui des cocketèles apéritifs pour traiter les gens qu'on n'invitait pas au repas. Ils étaient conviés "pour le dessert". On a compris pourquoi. Il eût été difficile de virer la moitié des invités avant de passer à table, car on n'avait pas imaginé un instant faire l' apéro ailleurs et à une autre heure. Alors, les invités au dessert arrivaient, comme ci, comme ça, endimanchés, un peu gênés de prendre le train en marche et d'attendre, quand ils arrivaient comme souvent trop tôt quand bien même fussent-ils à l'heure, que tous les plats aient été passés... Le plus curieux dans tout ça c'est que, comme toutes les coutumes, ce n'était perçu par personne comme un affront...
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