Malgré toute la tolérance dont on sait que je
suis coutumier, je ne vais pas me priver de montrer que Chaval était un
visionnaire.
Légende pour les mal voyants : "Je vous entends bien mal"
20 mars, 2014
19 mars, 2014
Pour une fois, soyons sérieux un moment !
On voudrait nous faire croire que la spiritualité est l'antichambre de la "foi". Foutaise absolue, hypothèse foireuse, début des fonds de commerces. La spiritualité, si tant est qu'elle soit vitale, reste une histoire entre soi et soi. Pas de deuxième larron, et pas d’intermédiaires, bref, l’autarcie mentale absolue.
Si l'homme, disent ces bons apôtres, a
un jour conçu le besoin de "croire" c'est bien la preuve que ça lui
était nécessaire, donc la croyance, donc la foi, est le propre de
l'homme, sa seconde nature, “cogito ergo credo”. Et de pousser la
logique à l'extrême. Le fait que l'homme croit suffit à justifier et
prouver la nécessité de "sa croyance" et bien entendu, tant qu’à faire,
la réalité de ce en quoi il croit.
Le doute est proscrit. Ce doute dont Nietzsche a pourtant dit que ce n’est pas lui qui rend fou, mais la certitude...
Dans ce cas, en mettant en œuvre ce postulat, on en vient à cette pure
merveille de logique appliquée qui fait que l'homme tuant
justifierait le meurtre .
Je vais vous expliquer en un mot, je ne me
dis pas athée ; la question ne se pose même pas. Dire ou écrire le mot
c'est déjà le prendre en considération. et lui donner l'importance que
souhaitent les prosélytes. Athée, ils veulent bien, puisque qu'il y a
dieu dans le mot... Mais je leur dis une chose insoutenable : je ne suis
rien, je suis déjà dans le nirvana, dont la plupart pense que c'est un
état de pétard merveilleux, façon libano - colombienne, où l'on patauge
dans le bonheur, quand il s'agit en fait du vide absolu, du rien,
nichts, nothing, nitchevo, klum. Et s’il faut entrer dans le champ de
foire dialectique, je n'irai pas plus loin que je le fais à l'instant,
après, ce serait cautionner, la plus petite hypothèse en faveur des
marchands de certitudes, des pourvoyeurs en dogmes, et des dealers de
convictions .
18 mars, 2014
Autant en rire...
Je suis mort, je sais,
ce jour fameux où deux gamètes vigoureuses et aventurières
fort chrétiennement se rencontrèrent et parmi la foule alentour
firent affaire sans retenue, dans le noir d'une intimité dont j'ai oublié les contours, ayant comme vous et Dieu merci, la pudeur longue, la mémoire courte...
Car une heure après, ou tout comme, quelques cellules simplissimes, se multipliant comme des folles, fabriquaient déjà à l'envi et avec un soin attentif, mon destin odieusement létal, me faisant croire que j'allais vivre, alors qu'elles préparaient en douce, ma mort, ma mort inéluctable, salope et déjà programmée ...
Ah ! le vilain malentendu !
C'est ainsi que quand j'eus compris, je décidai avec moi-même de ne faire ce coup à personne.
ce jour fameux où deux gamètes vigoureuses et aventurières
fort chrétiennement se rencontrèrent et parmi la foule alentour
firent affaire sans retenue, dans le noir d'une intimité dont j'ai oublié les contours, ayant comme vous et Dieu merci, la pudeur longue, la mémoire courte...
Car une heure après, ou tout comme, quelques cellules simplissimes, se multipliant comme des folles, fabriquaient déjà à l'envi et avec un soin attentif, mon destin odieusement létal, me faisant croire que j'allais vivre, alors qu'elles préparaient en douce, ma mort, ma mort inéluctable, salope et déjà programmée ...
Ah ! le vilain malentendu !
C'est ainsi que quand j'eus compris, je décidai avec moi-même de ne faire ce coup à personne.
17 mars, 2014
Patriiiiiiiiiiiiiiick !
C'est
toujours comme ça ! J'oublie régulièrement les fêtes de mes ami(e)s,
les Pierre, les Paul, les Marcel, les Raymond, les Roger, les Marie, les
Monique, les Pierrette, les Thérèse, les Julie...
Aujourd'hui, je le sais, j'aurais du mal à l'ignorer vu qu'on nous le rappelle à chaque instant, c'est la Saint Patrick. Eh bien justement, je ne connais aucun Patrick à qui la souhaiter. Voilà, je suis comme un con, j'ai du Saint Patrick à revendre et pas le moindre client. Bref, un vrai gâchis.
Aujourd'hui, je le sais, j'aurais du mal à l'ignorer vu qu'on nous le rappelle à chaque instant, c'est la Saint Patrick. Eh bien justement, je ne connais aucun Patrick à qui la souhaiter. Voilà, je suis comme un con, j'ai du Saint Patrick à revendre et pas le moindre client. Bref, un vrai gâchis.
16 mars, 2014
le petit poème tout frais du jour
Vos souliers sont vernis
Et votre âme étincelle
Le jour où elle chancelle
Ils montent au paradis
La grande maison chante
Une chanson vermeille.
Votre chien s’émerveille
Car votre cœur la hante
La chambre où vous gisez
Au fond du creux d’un arbre
C'est sur ce flot de marbre,
Qu'ici vous remisez
Vos roses de papier
Et vos tenues de charmes,
Vos lignes à copier
En versant quelques larmes
C’est dimanche aujourd’hui
Et la cloche est bien terne
Son fondeur est en berne,
Elle est folle de lui.
Et vous dites en passant
Que la vie est pâlotte
Comme serait un chant
Auquel manque une note.
Et qu’on ne peut chanter...
14 mars, 2014
Petite Chronique des Élections
Recette :
Pour monter liste électorale,
Il faut et c’est le principal
En cuisine municipale,
Un shaker d'excellent métal
Pour d’un coup de main magistral
Brasser dans ce creuset magique
Ce vase sacré, ce saint Graal
Les paroles et leur musique
Les vieux routards immarcescibles
Et les jeunes loups inflexibles
Ceux qui sont usés à la trame
Et ceux qui ont encore une âme
Un projet, pour le bien de tous
Sans un seul instant voyez-vous
Penser qu'ils ont pour le pouvoir
Une propension, un espoir,
Et que d'aucuns en se rasant,
Que d'aucunes en se maquillant
Dès le matin dans leur miroir
En rêvent et ce, jusques au soir...
13 mars, 2014
Un hangar comme aucun autre...
Un hangar de facteur d'orgues
Pour nombre d'entre vous ça ne représente pas grand chose, un hangar ! Pour moi c'est énorme car j'ai passé toute une partie de mon enfance dans celui de mon père. Il avait été construit à coté d'un énorme et généreux noyer en bordure du mur du voisin et le bois dont il était fait avait avec le temps et les intempéries pris une superbe couleur d'argent. Il était recouvert de cette tôle ondulée qui nous assourdissait de bonheur, quand une averse nous y surprenait.
On lui avait sur un côté accolé un auvent où était accrochée une balançoire de laquelle ma sœur Catherine et moi harcelions notre voisin Alphonse et sa femme Ernestine de propos enfantins d'une rare finesse, du genre " Alphonse, ton cul s'enfonce, Ernestine trempe ton cul dans la bassine"... on se marrait comme des baleines
A droite en entrant dans le hangar, il n'y avait pas de porte, se trouvait, posé sur des bastings pour l'isoler du sol, un harmonium increvable, dont j'aimais particulièrement la " harpe éolienne" sur laquelle j'improvisais de suaves mais déjà bien harmonisées mélodies.
Au milieu, juste devant l'ouverture se trouvait l'emplacement où mon père rangeait sa voiture, une Simca 8 d'entreprise fournie par la maison Roethinger qui l'employait à l'époque. Entre la bagnole et le mur, un fatras de vieilles consoles dévastées et pour la plupart électro-pneumatiques, dans lesquelles nous nous approvisionnions en vergettes flèches toutes prêtes, avec leur bout de métal ficelé. Mais la plus grande partie du hangar était réservée en partie à du bois en séchage et aux immenses caisses qui servaient à transporter dans des " rifles" et des copeaux, les tuyaux de métal jusqu' aux 16 pieds. Et comme ces caisses étaient un peu rangées n'importe comment, elles ménageaient des cachettes dans lesquelles ne pouvaient entrer que des gamins de ma taille et de mon age, de mes 10 ans environ. C'est ici qu'avec mes camarades, nous nous livrions, à l'abri du monde entier, à nos petits jeux de garçons... J'ai encore dans le nez l'odeur de latérite donc j'ignore toujours pourquoi le sol était couvert.
08 mars, 2014
Aujourd'hui samedi : JOURNÉE DE LA FEMME
Ca tombe bien, un samedi, pour nombre d'entre elles, elles vont pouvoir puisque ce jour là elles bossent pas, faire le repassage en retard, le ménage qui traîne depuis samedi dernier, réunir les chaussettes orphelines foncer à la grande surface remplir un caddy avant fermeture et puis préparer de vrais repas pour le week end, puisqu' en semaine, elles ne trouvent pas, ces grosses feignasses, le temps de le faire correctement en rentrant du boulot.
C'est pourquoi je propose que la journée de la femme ait lieu désormais non plus le 8 mars, mais le premier samedi de mars. et que, même si c'est le cas tous les jours pour la plupart d'entre elles, on l'appelle "LA FÊTE DE LA FEMME"
07 mars, 2014
Tochin, le lapin dans la Lune
(d'après une légende Aztec)
Un conte musical de Leoncio Larabon
sur un livret de Paola Jauffred Gorostiza
(Traduit de l’espagnol par l’auteur et Paul Wehage et révision par J.T Boisseau )
Il y a très longtemps (quand la Terre venait d'être créée), il n'y avait ni soleil, ni lune, ni étoiles. Tout était dans le noir, un noir très profond, comme le noir au fond d'un puits.
Dans ce noir vivait Tochin, l'un des premiers lapins qui eût jamais existé. Il n'était pas très paresseux, mais comme la Terre était toujours dans le noir, il avait l'habitude de dormir dans sa petite tanière, un trou qu'il avait creusé lui-même près de la grande cité de Teotihuacan.
Mais il se passa un jour quelque chose qui le réveilla de ses rêves. C'était un bruit comme il n'en avait jamais entendu auparavant, quelque chose de différent du crissement des criquets ou du bruit des ailes des chouettes : c'était un bruit de pas très lourds.
Tochin leva ses grandes oreilles en ouvrant tout grand ses yeux. Pris par une irrésistible curiosité, il quitta sa tanière et en bondissant suivit le bruit, se demandant ce que cela pouvait bien être.
La réponse se trouvait dans un endroit très proche, à l'entrée de la ville de Teotihuacan dans le noir absolu.
Le lapin vit alors une file de géants qui marchaient. C'était les dieux ! Tochin le sut tout de suite : ils étaient tous immenses et majestueux. Leurs visages brillaient d’une faible lumière bleuâtre. Quetzalcoatl , le plus noble, ouvrait la procession. Il avait une expression aimable et portait les plumes les plus précieuses.
Mais pourquoi les dieux étaient-ils donc là ? Le lapin se posait la question et décida de les suivre. Quetzalcoatl et les autres continuaient d'avancer juqu'au centre de la ville de Teotihuacan. Puis, ils allumèrent un grand feu de bois et se placèrent autour.
Tochin les approchait avec précaution par petits sauts. Cette lumière, ce feu de camp, était la première lumière qu'il avait jamais vue. Ces flammes, avec leurs couleurs rouge, orange et jaune, dansaient juste devant ses yeux en pointant vers le ciel, comme si elles voulaient y monter, comme si elles voulaient s'envoler. Soudainement, Tochin senti dans son cœur qu’il voulait comme les flammes, lui aussi, voler, aller très haut, au dessus et regarder la Terre du ciel.
Mais la voix profonde de Quetzalcoatl le fit sortir de ses pensées.
" Nous nous trouvons ici, mes frères et sœurs, dit-il , parce que le monde a besoin de la lumière. Ni les hommes, ni les bêtes ni les plantes ne peuvent exister sans les objets célestes brillants au dessus d'eux, sans le Soleil pour verser la joie dans leurs matins et leurs jours et sans la Lune pour bercer leur sommeil. Nous sommes réunis ici parce que deux parmi nous vont sauter dans le feu pour monter aux cieux et devenir le Soleil et la Lune. Alors, je vous pose la question : qui parmi nous est d'accord pour devenir le Soleil et la Lune ?
Quetzalcoatl s' arrêta de parler, mais il n'y avait aucune réponse Les dieux se regardaient en gardant le silence.
Mais Tochin, bien au contraire, comme si ces paroles lui étaient destinées, sautilla de plus en plus près du feu.
Quetzalcoatl ! dit-il debout sur ses pattes arrières, je le ferai, mon Seigneur, je le ferai bien volontiers ! Quetzalcoatl regarda le petit lapin, qui semblait très fier et partant, prêt à sauter jusqu'au ciel.
“Tu seras brûlé dans le feu, cher Tochin,” lui répondit Quetzalcoatl avec un sourire bienveillant, seuls les dieux peuvent sauter dans le feu sans se brûler. Et, malgré ton grand courage évident, tu es trop petit pour devenir un objet céleste. Non, ce travail est fait seulement pour les dieux.
Après ces explications, il regarda à nouveau les dieux autour du feu en leur demandant encore “N' y a-t-il vraiment personne pour faire ce que ce lapin ferait sans hésitation ?”
Finalement, une voix se fit entendre, celle de Tecciztecatl le dieu du pays des Escargots et des Bigorneaux.
"Je le ferai dit-il, je prendrai la responsabilité d’apporter la lumière sur le monde ”
Tochin sautilla près de lui avec un regard très admiratif en demandant "Puis-je venir avec vous ? Pouvez-vous me laisser vous accompagner ? Mais le dieu lui sourit sans rien dire..
Très bien ! a dit Quetzalcoatl . Mais nous avons toujours besoin d'un deuxième candidat. Est-ce qu'il y a quelqu'un d'autre qui soit prêt lui aussi à le faire ?
"J'irai, dit Nanahuatzin, je monterai dans le ciel pour illuminer la Terre. Il n’eut pas encore finit sa phrase que Tochim était à ses côtés le suppliant: “Laissez-moi venir avec vous Nanahuatzin , laissez-moi venir au ciel avec vous.” Mais il n' avait toujours pas de réponse .
Suivant les instructions de Quetzalcoatl, les dieux formèrent deux rangées de chaque côté du feu.
Tecciztecatl et Nanahuatzin prirent leur élan pour courir et sauter dans les flammes,
Tochin s'était assis à côté de Quetzalcoatl en soupirant : il devrait se contenter d'être un lapin et jamais il ne verrait la Terre du ciel.
En serrant mâchoire et poings, regardant dans les flammes, le dieu du pays des Escargots et les Bigorneaux commença de courir vers le feu de camp. Tous les autres dieux retenaient leur souffle, en le regardant s'approcher du feu. Il en était très près. Il allait sauter à tout moment mais quand il sentit la chaleur des flammes, il s' arrêta tout net. Les dieux alors crièrent leur déception.
“ Laissez-moi essayer ” a dit Nanahuatzin. Il courut sans hésitation et à l'étonnement des autres sauta dans les flammes dès sa première tentative. Tecciztecatl, qui ne voulait pas en rester là, sauta également dans le feu. Les flammes se levèrent et projetèrent ainsi les deux dieux dans le ciel. Ils allèrent de plus en plus haut jusqu'à ce qu'ils ne fussent plus visibles.
Mais quand bien même les deux dieux avaient déjà disparu dans la sombre noirceur du ciel, la Terre n'avait pas encore d'autre lumière que le feu de camp de Quetzalcoatl.
Tochin mourrait d'envie de voir comment le Soleil et La Lune allaient se présenter. Il courait à droite et à gauche, en regardant l'horizon. Il sautillait à l'ouest et au sud, en reniflant avec son petit nez, mais il ne trouva que des ombres. Puis, il bondit au nord où il ne trouva rien de plus.
Mais voilà ! Quand il sauta jusqu'à l'est, le ciel commença à se remplir de lumière. Graduellement, deux sphères luminescentes montrèrent enfin le bout de leur nez à l'horizon et Teotihuacan se couvrit de lumière. Pour la première fois, les formes des grandes pyramides pouvaient être distinguées et autour, la verdeur des arbres et des plantes. Les oiseaux, qu'on n'avait jamais entendus jusqu'à ce moment, commencèrent soudain de chanter d' une manière tellement mélodieuse que tout le monde était réjoui.
Les deux sphères continuèrent de monter lentement dans le ciel et leur lumière devint de plus en plus intense. Même si elles ne pouvaient pas encore monter jusqu'au zénith, leur brillance était telle que Tochin dut se couvrir les yeux de ses petites pattes.
Mais la joie des dieux se changea en souci.
" Ceci n'est pas bon dit Quetzalcoatl, si la brillance de la lune est la même de celle du soleil, alors personne ne pourra se reposer pendant la nuit. Dépêchez-vous ! cria le dieu, donnez-moi quelque chose pour jeter sur la lune et en diminuer sa lumière !
Tochin a levé ses oreilles très haut. Il a eu une idée.
"Jetez-moi là-haut ! cria-t-il en sautillant autour de Quetzalcoatl- Jetez-moi là-haut, s'il vous plaît ! continua-t-il de crier.
"En es-tu certain? demanda Quetzalcoatl, tu seras obligé de vivre pour toujours dans le ciel.
"J'en suis certain, mon Seigneur, aussi certain que je suis un lapin.
Quetzalcoatl sourit. Il caressa la tête de Tochin doucement . Puis, prenant le lapin par les oreilles, il le jeta au ciel si fort que Tochin vola de plus en plus haut. Il était si haut qu'il vit la Terre devenir de plus en plus petite. A sa gauche et à sa droite, l'espace était constellé. La lumière de la lune commença de diminuer pour devenir la lumière argentée que nous lui connaissons aujourd'hui.
Tochin était si content qu'il commença à sauter de cratère en cratère. Très loin, dans le ciel, la Terre si bleue et ronde était tellement belle !
Il n'est pas de plus beau spectacle se dit-il tandis qu'il se glissait dans un cratère qui était juste à la bonne taille pour devenir sa nouvelle tanière. Au même moment, à Teotihuacan, les dieux applaudirent car enfin au dessus de la Terre il y avait un soleil doré et une lune blanche dans laquelle ont pouvait distinguer la visage de Tochin, le lapin dans la lune.
© version française Paul Wehage 2013
06 mars, 2014
Commerce et santé pubique
Vu à
Neuilly hier dans le métro un distributeur de gel antiseptique. Ca se
présente un peu comme des préservatifs, des petits sachets individuels.
Il suffit de mettre une pièce et d'appuyer sur un bouton pour recevoir
dans la fente le sachet commandé.. Seulement, une fois le sachet reçu et
extirpé vous n'avez plus qu'à l'utiliser pour vous laver les mains de
toutes les manips effectuées pour l'obtenir sur un appareil aussi sale
que des robinets de toilettes.
Le commerce est une invention géniale et la névrose obsessionnelle sa plus fidèle alliée
Le commerce est une invention géniale et la névrose obsessionnelle sa plus fidèle alliée
03 mars, 2014
Huit Millions d'euros !
Quand on pense à tous les exemplaires de " A Poil" et au nombre de pains au chocolat qu'on aurait pu acheter pour cette somme !
CRIMÊE CHÂTIMENT
"Un Peuple, un Pays, un Poutine"
Ca ne vous rappelle rien ?
Au fait comment dit-on "Anschluß" en russe et en ukrainien ?
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