je ne résiste pas au plaisir de vous le donner encore à écouter
31 décembre, 2012
28 décembre, 2012
27 décembre, 2012
26 décembre, 2012
en attendant le retour du froid...
retrouvé dans mes tablettes...
En attendant le retour du froid.
Cet ancien son de cloche, il le connaît déjà
C'est celui qui se perd dans la brume qui mord,
Qui lui anesthésie la main, quand du jaja
Il cherche obstinément le goulot-réconfort...
Vous l’avez vu, c’est vrai, il titube... et se tient
Au mur de n'importe où, de là il s’abrite
Le glas, il le connaît, c’est son air, c’est le sien
Son opéra, sa vie, sa scène qui s’effrite...
Aller plus vite au trou sans forcer le destin...
Pour mettre un terme enfin à sa misère profonde,
Il lui faut pour ce faire, attendre qu’un matin
Le froid, tueur légal, l’entraîne dans sa ronde...
Le pauvre se tue peu... Le pauvre fuit la mort...
C’est à se demander s’il n’est pas le premier.
A avoir de l’espoir... A croire, à croire encor,
Que Dieu aime le pauvre.. qu’il sera le dernier
Au paradis des gueux, et comme au bon vieux temps
S’il reste sage et digne, et gentil sous sa tente,
On lui fera crédit, pour un mois, pour mille ans
D’un rêve lénifiant d’aptitude à l’attente...
Le pauvre ne sait plus autre chose qu’attendre
Attendre le printemps, l’été quand il fait chaud...
Le pauvre malgré tout est gentil, reste tendre...
Il tend la main et dit merci ou peu s’en faut
Il faudrait bien qu’un jour le pauvre se redresse,
Se révolte et puis s’arme et se serve alentour...
Dans ces lieux éhontés où prospère la richesse
Il aura des fusils des munitions, un jour...
Et ce jour-là, ça va chier...
Craignez, craignez le sans-foyer
Jour de colère que ce jour-là
Dies irae, Dies illa...
(un peu à la manière de Jehan Rictus, de Bruand et de Fombeure aussi )
En attendant le retour du froid.
Cet ancien son de cloche, il le connaît déjà
C'est celui qui se perd dans la brume qui mord,
Qui lui anesthésie la main, quand du jaja
Il cherche obstinément le goulot-réconfort...
Vous l’avez vu, c’est vrai, il titube... et se tient
Au mur de n'importe où, de là il s’abrite
Le glas, il le connaît, c’est son air, c’est le sien
Son opéra, sa vie, sa scène qui s’effrite...
Aller plus vite au trou sans forcer le destin...
Pour mettre un terme enfin à sa misère profonde,
Il lui faut pour ce faire, attendre qu’un matin
Le froid, tueur légal, l’entraîne dans sa ronde...
Le pauvre se tue peu... Le pauvre fuit la mort...
C’est à se demander s’il n’est pas le premier.
A avoir de l’espoir... A croire, à croire encor,
Que Dieu aime le pauvre.. qu’il sera le dernier
Au paradis des gueux, et comme au bon vieux temps
S’il reste sage et digne, et gentil sous sa tente,
On lui fera crédit, pour un mois, pour mille ans
D’un rêve lénifiant d’aptitude à l’attente...
Le pauvre ne sait plus autre chose qu’attendre
Attendre le printemps, l’été quand il fait chaud...
Le pauvre malgré tout est gentil, reste tendre...
Il tend la main et dit merci ou peu s’en faut
Il faudrait bien qu’un jour le pauvre se redresse,
Se révolte et puis s’arme et se serve alentour...
Dans ces lieux éhontés où prospère la richesse
Il aura des fusils des munitions, un jour...
Et ce jour-là, ça va chier...
Craignez, craignez le sans-foyer
Jour de colère que ce jour-là
Dies irae, Dies illa...
(un peu à la manière de Jehan Rictus, de Bruand et de Fombeure aussi )
25 décembre, 2012
JOYEUX NOËL ! et tranche de vie.
Je sais depuis longtemps pourquoi je déteste Noël au point d'en être toujours un peu malade du 20 décembre au 2 janvier (oui ça englobe le jour de l'an)... Je dois ça à ma sainte femme de mère pour qui tout plaisir devait s'accompagner, pas le lendemain, mais le jour même et de préférence d'une manière concomitante d'une culpabilisation sournoise mais néanmoins efficace. Il allait de soi que, je vous l'ai déjà dit, pas de Père Noël chez nous, nous ne voulions pas de ce monsieur-là. C'est donc le petit Jésus qui était censé, c'est insensé, m'apporter mes modestes cadeaux, ce qui convenons-en, pour un nouveau né d'une petite heure ou environ relevait déjà du miracle, mais on sait qu'il en fit d'autres, non ?
Seulement, s’il fallait se réjouir de la naissance de notre sauveur, fallait pas oublier un seul instant et au même moment qu'au printemps suivant il allait mourir pour nos péchés, les miens comme ceux des autres ; parce que si je croyais au petit Jésus je croyais et c'est bien plus grave, très jeune, aussi au péché... Dans l'image de la crèche on voyait donc en filigrane la croix menaçante et terrible. Ma mère bien que profondément chrétienne était à sa manière, foncièrement mama juive, maniant avec expertise et en douce la double contrainte : se réjouir et se lamenter en même temps. (Elie, mon compagnon, qui possédait la même mais en vraiment juive en connut très bien le mode d'emploi) .
Et enfin, cyanure sur la bûche de Noël (une génoise sublime qu’elle faisait elle-même mais qu’elle gâchait en la torchant de gelée de groseille quand nous rêvions d’une fort pécheresse crème au beurre doublée d'un pernicieux glaçage...) bien sûr ne pas oublier, petit privilégié que tu es, qu’il y a tout plein d’enfants qui n’ont rien pour Noël !
Merci Maman, depuis ce temps tu m’as pourri, fût-ce avec de passagères rémissions, une bonne semaine annuelle de ma vie..
Seulement, s’il fallait se réjouir de la naissance de notre sauveur, fallait pas oublier un seul instant et au même moment qu'au printemps suivant il allait mourir pour nos péchés, les miens comme ceux des autres ; parce que si je croyais au petit Jésus je croyais et c'est bien plus grave, très jeune, aussi au péché... Dans l'image de la crèche on voyait donc en filigrane la croix menaçante et terrible. Ma mère bien que profondément chrétienne était à sa manière, foncièrement mama juive, maniant avec expertise et en douce la double contrainte : se réjouir et se lamenter en même temps. (Elie, mon compagnon, qui possédait la même mais en vraiment juive en connut très bien le mode d'emploi) .
Et enfin, cyanure sur la bûche de Noël (une génoise sublime qu’elle faisait elle-même mais qu’elle gâchait en la torchant de gelée de groseille quand nous rêvions d’une fort pécheresse crème au beurre doublée d'un pernicieux glaçage...) bien sûr ne pas oublier, petit privilégié que tu es, qu’il y a tout plein d’enfants qui n’ont rien pour Noël !
Merci Maman, depuis ce temps tu m’as pourri, fût-ce avec de passagères rémissions, une bonne semaine annuelle de ma vie..
24 décembre, 2012
23 décembre, 2012
22 décembre, 2012
suite au péché capital précédent ou du tau à la crosse et inversement.
Un peu d'histoire religieuse, voulez-vous ? Le tau, objet de pouvoir
initial de l'épiscopat précéda dans les accessoires liturgiques la
crosse, symbole du berger qui rassemble . Le retour forcené du tau n'est
en aucune manière innocent. Car il devient actuellement en son état ce
qu'il n'était pas dans sa première époque celui d'une épée retournée,
soit un instrument de combat plus que de rassemblement et non un avatar
de la croix du supplice... Aucun symbole surtout dans les religions
quelles qu'elles soient n'est hors de sens.
19 décembre, 2012
Elisabeth II comprend enfin !
Un peu d'hygiène et d'économie domestique !
Arrêtez de vous bousiller l'épiderme avec les saloperies d'Ushuaia and c°. Achetez du savon d'Alep. Ca coûte 2,5 euro le pain ( pas n'importe où, faut savoir, je vous dirai), c'est à l'huile de laurier, ça dure à raison d'une douche par jour 1 mois 1/2 par personne. Alors au lieu de donner vos sous pour de la daube à Liliane Bettencourt, fût-elle sub-claquante, donnez les plutôt aux syriens qui en ont bien besoin .
Au lieu de vous cramer les aisselles et le reste avec des déodorants formatés qui puent le propre convenu, utilisez une pierre d'alun. C'est efficace, sans alcool, sans parfum... ça coûte 8 euro la pierre (chez des bonnes sœurs que je connais) qui dure plus d'un an pour un usage quotidien...
18 décembre, 2012
Ok Hopper, on a compris !
Mais parmi les
peintres américains qui le valent sans être reconnus, faudrait pas
oublier l'extraordinaire Maxfield Parrish. Moi je m'en fous je suis fan
depuis 40 ans, j'attends pas qu'on le (re-)découvre..
Marsault... je vous ai déjà parlé de lui, je continue.
Marsault pourrait être mon petit-fils, et si c'était le cas je serais fier de lui. Marsault dessine, il dessine des bédés, parfois le dessin seul, souvent maintenant scénario et dessin, Le dessin est ferme, sans faille, clair, net, comme le propos qu'il sert. Des histoires dont certains penseront qu'elles sont horribles, honteuses, à ne pas montrer à n'importe qui. Oui, sauf que l'horreur et la honte, c'est pas les bédés de Marsault, c'est la tuerie de Newton... J'ai droit en primeur avec dédicace à certaines de ses nouveautés. Merci !
17 décembre, 2012
Éléphantastique 12
Les éléphants du Parc de la Tête d'Or à Lyon seraient tuberculeux et l'on veut les abattre... C'est dégueulasse ! Il est probable que les éléphants où qu'ils soient le sont. On s'en fout ... On risque plus de devenir tuberculeux en prenant le métro ou pour des raisons quotidiennes et sanitaires qu'en fréquentant occasionnellement au zoo des pachydermes prétendument infectés... Et puis, même au litre, les antibiotiques c'est pas fait uniquement pour les humains !
Le meunier, son fils et l’âne , raconté par l’âne
Il y a fort longtemps, son instituteur ( trice) demanda à ma nièce et aux élèves de sa classe de raconter cette fable du point de vue de l'âne. J'étais (déjà) métromaniaque et lui offris cette version pour qu'elle s'en inspirât pour la sienne.
Le meunier son fils et l'âne
Ces messieurs un beau jour décidèrent de me vendre
Ingrats et oublieux des services rendus,
Et par les quatre pattes viennent à me suspendre,
Pour, me gardant dispos, gagner quelques écus.
Nous avions fait dix pas que mes porteurs rencontrent
Des passants qui s’esclaffent en me voyant ainsi
Porté comme un pacha, et qui du doigt les montrent
Les affublant du nom que l’on me donne aussi.
A ces mots mes patrons sur la terre me laissent
Et à mon grand regret me remettent sur pieds
Tandis que le plus jeune dessus mon dos se dresse
Et laisse le barbon trotter à nos côtés.
Nous allions ainsi sur le chemin de terre,
Le père me conduisant alors par le licol
Quand, nous croisant bientôt, trois marchands conseillèrent
Au fils de descendre aussitôt sur le sol
Et de laisser monter le vieil homme à sa place,
Ce qu’il fit aussitôt et sans se faire prier.
Et sans se soucier qu’à la fin je me lasse,
Nous voilà repartis. Quand au bout d’un sentier
Trois filles s’étonnèrent de voir le vieux sur moi,
Tandis que l’héritier qui leur plaisait sans doute
Marchait en conduisant son père ainsi qu’un roi...
Elles nous dirent deux mots sur le bord de la route
A la suite desquels, et pour tout réconfort
Le fils lui aussi se hissa sur mon dos.
Et sans se tracasser le moins de mon effort,
Me chargeant sans merci de leur double fardeau.
Et c’est un peu plus loin, qu’en chemin nous croisâmes
Un petit groupe encore qui trouva à redire,
Les traitant de sans cœurs, de méchants, de sans âmes
Et parlèrent si bien que tous deux descendirent.
Ainsi débarrassé d’un poids considérable,
Tout gaiement je trottais et libre devant eux,
La vie me devenait de nouveau agréable
Lorsqu’un dernier manant s’en prit à ses messieurs
Leur conseillant alors de me mettre sous verre
Ou de me transformer en âne de salon ;
Et c’est après cela que le vieux en colère
Décida pour la fin d’agir à sa façon...
Ah ! Puisse Buridan connaître cette histoire
Lui dont l’âne jamais ne pouvait décider
Vaut-il mieux comme lui à chaque instant surseoir
Ou bien à l’opinion des gens se conformer
Le meunier son fils et l'âne
Ces messieurs un beau jour décidèrent de me vendre
Ingrats et oublieux des services rendus,
Et par les quatre pattes viennent à me suspendre,
Pour, me gardant dispos, gagner quelques écus.
Nous avions fait dix pas que mes porteurs rencontrent
Des passants qui s’esclaffent en me voyant ainsi
Porté comme un pacha, et qui du doigt les montrent
Les affublant du nom que l’on me donne aussi.
A ces mots mes patrons sur la terre me laissent
Et à mon grand regret me remettent sur pieds
Tandis que le plus jeune dessus mon dos se dresse
Et laisse le barbon trotter à nos côtés.
Nous allions ainsi sur le chemin de terre,
Le père me conduisant alors par le licol
Quand, nous croisant bientôt, trois marchands conseillèrent
Au fils de descendre aussitôt sur le sol
Et de laisser monter le vieil homme à sa place,
Ce qu’il fit aussitôt et sans se faire prier.
Et sans se soucier qu’à la fin je me lasse,
Nous voilà repartis. Quand au bout d’un sentier
Trois filles s’étonnèrent de voir le vieux sur moi,
Tandis que l’héritier qui leur plaisait sans doute
Marchait en conduisant son père ainsi qu’un roi...
Elles nous dirent deux mots sur le bord de la route
A la suite desquels, et pour tout réconfort
Le fils lui aussi se hissa sur mon dos.
Et sans se tracasser le moins de mon effort,
Me chargeant sans merci de leur double fardeau.
Et c’est un peu plus loin, qu’en chemin nous croisâmes
Un petit groupe encore qui trouva à redire,
Les traitant de sans cœurs, de méchants, de sans âmes
Et parlèrent si bien que tous deux descendirent.
Ainsi débarrassé d’un poids considérable,
Tout gaiement je trottais et libre devant eux,
La vie me devenait de nouveau agréable
Lorsqu’un dernier manant s’en prit à ses messieurs
Leur conseillant alors de me mettre sous verre
Ou de me transformer en âne de salon ;
Et c’est après cela que le vieux en colère
Décida pour la fin d’agir à sa façon...
Ah ! Puisse Buridan connaître cette histoire
Lui dont l’âne jamais ne pouvait décider
Vaut-il mieux comme lui à chaque instant surseoir
Ou bien à l’opinion des gens se conformer
Georges Corm est intéressant !
Entendu cet après midi, une intervioue de
Georges Corm à propos de son nouvel ouvrage intitulé "Pour une lecture
profane des conflits".
Il y parle d'une manière claire et argumentée de la supercherie organisée qui prétend que la raison principale de nombreux conflits serait la question religieuse ou culturelle, quand elle est plus simplement de nature économique, géographique et plus cyniquement politique. Il stigmatise aussi et la stigmatisation est ici amplement justifiée la complaisance des "occidentaux" vis à vis de régimes aussi anti-démocratiques (émirats et autres régimes douteux ) que ceux qu'ils combattent. C'est remarquable; Corm est libanais, le moyen-orient, il connaît.
Il y parle d'une manière claire et argumentée de la supercherie organisée qui prétend que la raison principale de nombreux conflits serait la question religieuse ou culturelle, quand elle est plus simplement de nature économique, géographique et plus cyniquement politique. Il stigmatise aussi et la stigmatisation est ici amplement justifiée la complaisance des "occidentaux" vis à vis de régimes aussi anti-démocratiques (émirats et autres régimes douteux ) que ceux qu'ils combattent. C'est remarquable; Corm est libanais, le moyen-orient, il connaît.
16 décembre, 2012
Ma recette du soir !
Vous avez fait décongeler deux pavés de saumon. C'est parfait ! Pour chaque pavé, vous prenez une feuille de papier aluminium sur laquelle vous agencez délicatement dans le prolongement l'une de l'autre, deux feuilles d'algues japonaises. Vous déposez dessus votre saumon. Vous le recouvrez de deux autres feuilles d'algues, comme vous l'avez fait au dessous. Vous saupoudrez tout ça de gingembre, de curry en poudre, d'ail en farine, et d'un filet d'huile d'olive. Vous laissez cuire au four très fort dix bonnes minutes et une fois cuit vous servez avec des brocolis nappés de crème fraîche.
Je sais, c'est pas correct, je devrais rescpecter le deuil...
Et pourtant, même si à chaque fois lorsque
cela arrive on s'émeut de ce drame récurrent, parmi les vingt enfants
froidement abattus par ce fou qui avait choisi l'arme du crime dans
l'arsenal de sa mère grande collectionneuse, avant de commencer par la
zigouiller, combien de ces enfants seraient devenus si ce Dieu qui
veille sur l'Amérique leur avait prêté vie, de farouches partisans de la
sauvegarde du 2 ° amendement ? Parce que
c'est bien là le problème : ces enfants sont moins les victimes d'un
fou, que celles du lobby des armuriers.
La vie de vingt enfants, qu'est ce que c'est au regard des millions de dollars que représentent les ventes d'armes ?
Ils vont les arroser de larmes de crocodiles, en attendant l'arme au poing la prochaine hécatombe...
Ils vont les arroser de larmes de crocodiles, en attendant l'arme au poing la prochaine hécatombe...
Je sais, j'en fais tout un fromage...
Vous vous gobergez de caviar, vous vous tartinez du foie gras en masse ? Si vous ignorez le Pouligny Saint-Pierre, pyramide sublime légèrement fumée dont je mange les arêtes en dernier et la buchette de Sainte-Maure avec sa paille de seigle, son grain incomparable et cette cendre si fine qui décemment l'habille, vous ne savez pas tout ce qui est merveilleusement bon...
C'est vous qui voyez...
Depardieu par ci, Depardieu par là...
Honnêtement ça vous intéresse, les aventures de Depardieu ? Moi, je m'en fous, ça fait des années que je ne supporte plus les acteurs qui sur-jouent...
15 décembre, 2012
Alexis Lacroix , la Revue Blanche et Darius Milhaud....
Généralement, dans cette émission (Clara et les chic(s) livres) c'est son collègue Gilles Heuré qui s'applique à se planter, mais il y a quelques minutes,c'est un certain Alexis Lacroix qui s'y colle. Il parle aujourd'hui de la Revue Blanche. Il dit les gens qui y ont participé, des écrivains, des peintres, mais aussi des musiciens, et de citer, péremptoire, au moment de l' Affaire Dreyfus (qui débuta en 1894) l'intervention de Darius "Milo" (sic!) en 1891, compositeur précoce puisque né en 1892...
Il y a toujours une perle dans cette émission pondue élégamment par l'un de ses brillants et inébranlables chroniqueurs.
14 décembre, 2012
Plein le cul...
J'apprends aujourd'hui en écoutant France Inter au cours d'une émission consacrée à un écrit relatant l'enlèvement et l'asservissement sexuel, parmi des centaines d'autres, d'une jeune fille par Khadafi.
Il semblerait, mais il ne faut pas le dire, culture oblige et euphémisme autant, que de surcroît, les garçons ne le laissaient pas indifférent...
La victime, c'est comme ça que ça se passe, étant plus stigmatisée que son bourreau. Et comme chacun sait, il n'y pas d'homosexuels chez les musulmans, pas plus que chez les juifs orthodoxes ou chez les chrétiens intégristes...
La victime, c'est comme ça que ça se passe, étant plus stigmatisée que son bourreau. Et comme chacun sait, il n'y pas d'homosexuels chez les musulmans, pas plus que chez les juifs orthodoxes ou chez les chrétiens intégristes...
Ce serait la raison pour laquelle en toute hypocrisie on le sodomisa avec une mitraillette avant de le zigouiller.
Entendu aujourd'hui à la radio.
La police
japonaise recherche un fétichiste qui attaque mais sans violence les
fillettes pour leur piquer leurs soquettes...
Si vous ne connaissez pas fut-ce un peu les japonais, vous saurez désormais et les mangas en sont le reflet, que l'érotisme nippon un poil pédophile est plus branché "Petit Bateau" que "Chantal Thomass".
Si vous ne connaissez pas fut-ce un peu les japonais, vous saurez désormais et les mangas en sont le reflet, que l'érotisme nippon un poil pédophile est plus branché "Petit Bateau" que "Chantal Thomass".
Encore un héros déchu de mon panthéon personnel !
Après Strauss-Kahn et bientôt pour d'autres raisons J-F Copé que j'admirai tant, encore un héros déchu de mon panthéon personnel !
Lu un tas de trucs sur le Grand Timonier dont je possède toujours le petit livre rouge qui siège en rayonnage à coté de mon missel de premier communiant, oui, je classe par genre.
Lu un tas de trucs sur le Grand Timonier dont je possède toujours le petit livre rouge qui siège en rayonnage à coté de mon missel de premier communiant, oui, je classe par genre.
Ah quelle déception ! Moi qui suis si sensible à l'image des héros
Le grand homme était obsédé sexuel, ne glandait rien de la journée,
recevait ses ministres dans son lit, ne fréquentait l'eau que lorsque,
excellent nageur, il plongeait dans le Fleuve Jaune pour, histoire de
l'emmerder, obliger son entourage masculin à en faire autant, ce qui
fait, paraît-il, qu'il empestait le yéti à trois lis...
13 décembre, 2012
Chanson d'avant, longtemps avant l'abolition. J'aime !
Rappelons au passage que le dernier président qui refusa sa grâce, et ce seulement quatre ans avant l'abolition fut Giscard. Honte à lui !
"Désenclavement"
Terme utilisé par les énarques pour dire qu'on se fait chier dans des transports trop longs.
Aujourd'hui pour aller de Lagny à Melun, préfecture, deux heures en utilisant le trajet le plus simple, par Paris soit : train + métro + train + taxi, idem retour, taxi -retour en moins j'ai pris le bus pour regagner la gare, soit en voiture une cinquantaine de km. Je vous dis pas le coût de l'opération. En fait je vous le dis, 45 euros, soit en temps et en prix, un Paris-Prague en low- cost les jours fastes. J'aurais de toute façon préféré aller à Prague.
Aujourd'hui pour aller de Lagny à Melun, préfecture, deux heures en utilisant le trajet le plus simple, par Paris soit : train + métro + train + taxi, idem retour, taxi -retour en moins j'ai pris le bus pour regagner la gare, soit en voiture une cinquantaine de km. Je vous dis pas le coût de l'opération. En fait je vous le dis, 45 euros, soit en temps et en prix, un Paris-Prague en low- cost les jours fastes. J'aurais de toute façon préféré aller à Prague.
Mais on ne fait pas toujours ce qu'on veut comme on veut.
Ok, mon empreinte carbone a été minime, mais honnêtement, mon empreinte carbone même si c'est l'une des plus minimes, si vous saviez comme je m'en tape.
Ok, mon empreinte carbone a été minime, mais honnêtement, mon empreinte carbone même si c'est l'une des plus minimes, si vous saviez comme je m'en tape.
12 décembre, 2012
Dans les années soixante-dix,
on était soit Stones, soit Beatles, soit Ravi Shankar soit Ustad Vilayat Khan, moi j'étais Ustad Vilayat Khan
Ravi Shankar, 92 ans est mort aujourd'hui
C'est triste parce que ce qu'il a pu nous faire rigoler, le maître du sitar, le roi du raga autoproclamé ...
11 décembre, 2012
Quand je m'aperçois que je suis injuste, mais en fait pas du tout !
Mes rapports avec le PS.
J'aurais et j'ai pardonné tout et n'importe quoi à Mitterrand et de fait au PS d'alors.
O tempora O mores !
J'ai beau me forcer, aujourd'hui, je ne peux plus rien pardonner à ses successeurs, quand bien même et raison de plus j'ai voté pour eux...
J'aurais et j'ai pardonné tout et n'importe quoi à Mitterrand et de fait au PS d'alors.
O tempora O mores !
J'ai beau me forcer, aujourd'hui, je ne peux plus rien pardonner à ses successeurs, quand bien même et raison de plus j'ai voté pour eux...
C'est comme ça et tant mieux !
Copé et Fillon réussissent à deux ce que les petits fils de Charlemagne se mirent à trois pour réussir : la ruine de leur impérial héritage.
Et l' on voudrait supprimer l'enseignement de l' Histoire, ce que souhaitait et entreprit leur empereur direct sans en mesurer les conséquences immédiates...
Alors pour parler d'jeuns : L.o.l et m.d.r !
Et l' on voudrait supprimer l'enseignement de l' Histoire, ce que souhaitait et entreprit leur empereur direct sans en mesurer les conséquences immédiates...
Alors pour parler d'jeuns : L.o.l et m.d.r !
10 décembre, 2012
Le silure devient monstrueux...
Le silure poisson chat géant est un monstre... Il sort désormais de l'eau pour bouffer les pigeons, et ça c'est nouveau.
Film tourné, pas en Afrique ou dans le bayou de Floride, non, sur les rives du Tarn. La bestiole mesure environ un mètre vingt... elle est singulièrement vorace et ça c'est nouveau.
Film tourné, pas en Afrique ou dans le bayou de Floride, non, sur les rives du Tarn. La bestiole mesure environ un mètre vingt... elle est singulièrement vorace et ça c'est nouveau.
09 décembre, 2012
Y a pas que Hopper...
Comme vous avez (sans doute comme moi )
découvert il y a vingt-cinq ans Hopper par ses illustrations de
couvertures de livres de poche, vous avez tous vu des œuvres de Csernus
pour la simple raison que vous avez tous acheté
des Folio et ce dès les débuts de cette édition de poche dont il fut
l'un des premiers et des plus prolifiques illustrateurs. Technicien oui,
mais aussi inspiré. Caravagesque hyper réaliste, - et oui ! Alors
Hopper, je veux bien, mais Csernus aussi .
Ma découverte du jour : Emmanuel Terray
c'était sur France Inter ce matin dès potron-minet.
Choc !
http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=519085
Choc !
http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=519085
Le coup de génie de Hopper
Le coup de génie de Hopper c'est, quel que
soit le sujet du tableau, de mettre (plus que tout autre peintre
figuratif à part peut-être avant lui Vermeer et Caillebotte ) le
spectateur, qu'il le veuille ou non, dans la position irrésistible
du voyeur.
Faire mater en douce des pompes à essence et leur pompiste éclairés fût-ce d'une manière un peu glauque et qui ne savent pas que vous êtes planqué dans l'ombre ... Voilà la grande réussite de Hopper.
Faire mater en douce des pompes à essence et leur pompiste éclairés fût-ce d'une manière un peu glauque et qui ne savent pas que vous êtes planqué dans l'ombre ... Voilà la grande réussite de Hopper.
Tout le monde peut se tromper !
Lu dans un bêtisier et trouvé dans le livre de Marcelle Segal " Mon métier : le courrier du cœur " 1952
"J 'aime deux jumelles. Fiancé à l'une , je viens par erreur de faire un enfant à l'autre"
08 décembre, 2012
Bien jouer d'un instrument ? c'est simple.
C'est faire ce qu'il faut comme il faut au moment où il faut, la preuve :
06 décembre, 2012
Oscar Niemeyer est mort
La seule bonne idée du PCF : avoir choisi Niemeyer pour la construction de son siège place du Colonel Fabien .
05 décembre, 2012
Le Père Noël face aux cons...
A Montargis on a voulu zigouiller froidement le Père Noël pour des raisons d'identité religieuse... Non mais on croit rêver. Moi petit catho de base, quand j'étais gamin, le Père Nöël, avatar laïcisé de Saint Nicolas était considéré comme une horreur laïque... Mais ils sont cons ou quoi ?
Le Père Noël, couillons que vous êtes, est depuis longtemps un personnage récupéré par les publicitaires de Coca Cola...boisson catho, hallal et casher...
Moi quand j'étais gamin, c'est le petit Jésus, qui, maousse -costaud malgré son fort jeune âge , m'apportait mes modestes jouets...
Je vous le dis, ils sont cons,mais, de grâce, qu'ils laissent les gamins rêver, ils en auront de moins en moins l'occasion.
I'm a Barbie Girl...
Ca y est ! je sais qui a inspiré les auteurs de la Poupée Barbie ! C'est la baronne Elke von Schletz aka Elke Sommer.
Dave Brubeck est mort
Brubeck était un excellent musicien. Il fut l'élève de Darius Milhaud et possédait ce captial de musicien classique qui faisait de lui comme toujours dans ce cas un jazzeux d'exception.
Le grand drame de Brubeck c'est d'avoir été célèbre pour une pièce qui n'est pas de lui... Take Five, son œuvre emblématique est de Paul Desmond son saxophoniste dans les années cinquante.
Allez c'est pas grave, il ne l'a jamais caché et puis, il la jouait si bien !
Catharsis et peau de chagrin
Depuis hier soir, à la suite d'un enchainement d'évènements que j'ai déclenché sans malice pour leur signifier ma tristesse en divulguant ici une profession de foi délétère d'extrême droite que l'un d'entre eux propage sans vergogne, je ne verrai plus une partie de mes proches. C'est irréversible. Sur le coup ça a été pénible, puis un peu comme un abcès qui se vide, je me suis senti soulagé. Catharsis que ça s'appelle !
Mon univers familial est une peau de chagrin qui, curieusement au fur et à mesure qu'elle se réduit me protège encore mieux. Ne cherchez pas, qui que vous soyez, à recoller les morceaux. Soyez tranquilles, je ne dirai ici selon mon habitude rien dont les sujets, les acteurs, seraient identifiables, hormis bien sûr et exclusivement par les intéressés eux-mêmes.
Cessez de me lire, ça vous évitera des convulsions et des poussées de haine à mon endroit et de grâce désormais, foutez moi la paix, car j'ai dans mon armurerie quelques scuds aux effets collatéraux dévastateurs que, soyez rassurés, personne à part vous ne pourront comprendre mais c'est bien suffisant. Je suis le méchant ? Ok, je vais finir par l'être.
Comme je dis souvent pour bien prendre en compte ma propre responsabilité dans le désastre, nos pathologies sont devenues incompatibles. Démerdez-vous avec les vôtres. Je suis tout sauf mortifère mais votre histoire, vous le savez, dans son obsession du non-dit, pue la mort, j'aime pas. Je ne serai pas le complice de vos aveuglements. Je pense qu'après ça, c'est mon souhait le plus cher, pour votre sauvegarde supposée, vous ne me lirez plus. Moi de mon coté, je fais et j'écris ce que je veux.
Adieu, vous que j'ai tant aimés...
Cessez de me lire, ça vous évitera des convulsions et des poussées de haine à mon endroit et de grâce désormais, foutez moi la paix, car j'ai dans mon armurerie quelques scuds aux effets collatéraux dévastateurs que, soyez rassurés, personne à part vous ne pourront comprendre mais c'est bien suffisant. Je suis le méchant ? Ok, je vais finir par l'être.
Comme je dis souvent pour bien prendre en compte ma propre responsabilité dans le désastre, nos pathologies sont devenues incompatibles. Démerdez-vous avec les vôtres. Je suis tout sauf mortifère mais votre histoire, vous le savez, dans son obsession du non-dit, pue la mort, j'aime pas. Je ne serai pas le complice de vos aveuglements. Je pense qu'après ça, c'est mon souhait le plus cher, pour votre sauvegarde supposée, vous ne me lirez plus. Moi de mon coté, je fais et j'écris ce que je veux.
Adieu, vous que j'ai tant aimés...
Je ne lirai, ne publierai aucun commentaire sur le post qui gêna tant, ni sur celui-ci.
03 décembre, 2012
Le poète a toujours raison...
C'est de Maurice Fombeure, poète poitevin, et c'est superbe !
Ca a été mis en musique par Poulenc , lisez le poème qui suit dans sa réjouissante violence et écoutez la version en musique de Poulenc. C'est hélas terriblement d'actualité.
Jean Martin prit sa besace
Vive le passant qui passe !
Jean Martin prit sa besace,
Son bâton de cornouiller
Ca a été mis en musique par Poulenc , lisez le poème qui suit dans sa réjouissante violence et écoutez la version en musique de Poulenc. C'est hélas terriblement d'actualité.
Jean Martin prit sa besace
Vive le passant qui passe !
Jean Martin prit sa besace,
Son bâton de cornouiller
S’en fut au moutier mendier
Vive le passant qui passe !
Va-t-en ! dit le père moine
N’aimons pas les va-nu-pieds !
S’en fut en ville mendier
Vive le passant qui passe !
Épiciers et taverniers
Qui mangez la soupe grasse
Et qui vous chauffez les pieds
Puis couchez près de vos femmes
Au clair feu de la veillée
Vive le passant qui passe !
On l’a trouvé sur la glace
Jean Martin a trépassé
Tremblez les gros et les moines!
Vive le passant qui passe !
Tremblez ah! maudite race
Qui n’avez point de pitié
Un jour prenez garde, voraces !
Les Jean Martin seront en masse
Aux bâtons de cornouiller
Ils vous crèveront la paillasse
Puis ils violeront vos garces
Et chausseront vos souliers
Jean Martin, prends ta besace
Ton bâton de cornouiller...
Vive le passant qui passe !
Va-t-en ! dit le père moine
N’aimons pas les va-nu-pieds !
S’en fut en ville mendier
Vive le passant qui passe !
Épiciers et taverniers
Qui mangez la soupe grasse
Et qui vous chauffez les pieds
Puis couchez près de vos femmes
Au clair feu de la veillée
Vive le passant qui passe !
On l’a trouvé sur la glace
Jean Martin a trépassé
Tremblez les gros et les moines!
Vive le passant qui passe !
Tremblez ah! maudite race
Qui n’avez point de pitié
Un jour prenez garde, voraces !
Les Jean Martin seront en masse
Aux bâtons de cornouiller
Ils vous crèveront la paillasse
Puis ils violeront vos garces
Et chausseront vos souliers
Jean Martin, prends ta besace
Ton bâton de cornouiller...
Questionnement qui m'interpelle
Tiens,
au fait pourquoi dit-on : un va-nu-pieds et non un va-nus-pieds, et au
pluriel des va-nu-pieds et non des vont-nus-pieds ?
SOS grammairiens !
Saloperie ecclésiastique
L'évêché de Paris et les communautés religieuses ont refusé, à la
demande du ministre du logement, la mise à disposition des nombreux
immeubles vides qu'ils possèdent pour y loger les sans abris...
Si Joseph et Marie, sans abris notoires se trouvaient à Paris aujourd'hui à la recherche d'un logis qui puisse accueil avec dignité la naissance de Jésus, faudrait pas qu'ils comptent sur Vingt-Trois et ses acolytes pour se mettre au chaud.
Saloperie ! Indignité ! Vous irez en enfer ! ensoutanés sans honte, encore faudrait-il que vous y croyiez.
Il est probable que certains qui considèrent que j'ai une dent (celle qui me reste) systématique contre tout et contre tous, vont soutenir activement j'imagine et j'espère, la curetaille dans la défense de son patrimoine.
Si Joseph et Marie, sans abris notoires se trouvaient à Paris aujourd'hui à la recherche d'un logis qui puisse accueil avec dignité la naissance de Jésus, faudrait pas qu'ils comptent sur Vingt-Trois et ses acolytes pour se mettre au chaud.
Saloperie ! Indignité ! Vous irez en enfer ! ensoutanés sans honte, encore faudrait-il que vous y croyiez.
Il est probable que certains qui considèrent que j'ai une dent (celle qui me reste) systématique contre tout et contre tous, vont soutenir activement j'imagine et j'espère, la curetaille dans la défense de son patrimoine.
02 décembre, 2012
Faut jamais réveiller les souvenirs des autres...
J'avais tout oublié... Mais puisqu'on éveille en moi sans que j'ai demandé quoi que ce soit et sans qu'on en mesure le danger, des souvenirs qui étaient enfouis, j'en viens à m'interroger sur des évènements du passé lointain. Et si, par exemple puisque j'y pense à l'instant, comme dans le film de Lelouch "Un Homme qui me plait" qui lui plaisait tant, nous nous étions retrouvés par ses soins organisationnels incomparables, lui, moi et l'autre, sans que j'ai su sa présence, à Bruxelles, pour qu'ils revivent à mon insu, comme dans le film l'aventure pour de vrai... Bergen-Girardot-Montand / lui-moi et l'autre ( ! ) le romanesque en technicolor revécu, comme disent les enfants, "pour de vrai". Le grotesque est à son comble et sans doute vaut-il mieux que je n'y aie pas pensé à l'époque... Je crains que lui, y ait, non seulement pensé, mais qu'il l'ait fait.
Ca va finir par m'amuser rétrospectivement, ces histoires qui peu à peu réapparaissent, car de surcroit, d'un seul coup, en raison de l'incongruité de la chose, du ridicule de la situation, de l'inévitable et ravageuse distanciation, plus de dix sept ans ans après, je devrais m'offrir un retour d'indignation ; mais c'est tellement con et hors du temps, que je trouve ça drôle, en fussè-je à l'époque la victime, instrumentalisée dans le délire quotidien et inépuisable d'une moderne Putzfrau, moitié Flaubert, moitié Fassbinder. Un vrai scenario, mais d'un très mauvais film... "Les Feux de l'Amour" avant l'heure. Y a des jours où je me dis, quand même... Heureusement, jusqu'à ce soir, personne ne le savait ! Je revendique ma responsabilité : pour jouer au con, il faut être au moins deux. Pour en rigoler, en revanche, on peut le faire tout seul.
01 décembre, 2012
Journée de Lutte contre le Sida
in memoriam Klaus Nomi, première victime officielle du monde du spectacle
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