Entendu ce matin Coppé-le-mépris moderne. Ces grèves ? même pas la peine d'en parler. Non parce qu'on ne les voit même plus, il reconnaît, contrairement à un nouvel humoriste de ses amis, qu'on les voit, mais parce qu'elles sont ringardes, hors mode. Aujourd'hui il faut être dans le coup. C'est à dire aller dans le sens des "réformes". Si comme le disait autrefois la chanson, "Le fric, c'est chic", aujourd'hui la réforme c'est "top" même si elle est rétrograde et liberticide ou simplement vide de sens. Et c'est ça que ces enfoirés de ploucs de grévistes antisarkoszystes de ses deux ne veulent pas comprendre, quittes à être complètement, désespérément, selon ses critères, définitivement "out".
La question d'actualité est donc : le gréviste est-il une "fashion victime" en puissance qui résiste encore aux attraits de la nouveauté . Il semblerait au vu du nombre de participants aux manifs d'avant-hier que la futilité et le "goût du jour" ne soient pas leur préoccupation actuelle et principale .
NÉANMOINS : l'arbitre des élégances sociales, c'est notre président, et ses conseillers. Ce sont eux qui décident de la hauteur de l'ourlet et du cran de la ceinture. Après, à vous de voir si vous voulez être à la mode ou non, et vous mettre au régime pour entrer (faut pas croire qu'ils ont, malgré les catastrophes récentes, renoncé à quoi que ce soit...) dans le smoking ou le fourreau libéral-toujours qu'ils vous taillent sans autre mesure que celle de leur profit ... Quand à vos défilés d'hiver, de printemps ou d'automne, il préfère de beaucoup ceux de la haute couture, la vraie, où l'on croise de si jolies femmes, si conciliantes... Il y aurait donc une esthétique du foutage de gueule politique...
Notre président serait alors le Brummel du chic à gouverner... Brummel... Il ne connaît que de nom, sans doute... Brummel qui contrairement à lui considérait que l'élégance devait être invisible finit néanmoins, qu'il le sache, abandonné de tous, clochard... Remember !
Ah, au fait, le coup de pied au cul est-il acte marqué au coin de la modernité ?
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La question d'actualité est donc : le gréviste est-il une "fashion victime" en puissance qui résiste encore aux attraits de la nouveauté . Il semblerait au vu du nombre de participants aux manifs d'avant-hier que la futilité et le "goût du jour" ne soient pas leur préoccupation actuelle et principale .
NÉANMOINS : l'arbitre des élégances sociales, c'est notre président, et ses conseillers. Ce sont eux qui décident de la hauteur de l'ourlet et du cran de la ceinture. Après, à vous de voir si vous voulez être à la mode ou non, et vous mettre au régime pour entrer (faut pas croire qu'ils ont, malgré les catastrophes récentes, renoncé à quoi que ce soit...) dans le smoking ou le fourreau libéral-toujours qu'ils vous taillent sans autre mesure que celle de leur profit ... Quand à vos défilés d'hiver, de printemps ou d'automne, il préfère de beaucoup ceux de la haute couture, la vraie, où l'on croise de si jolies femmes, si conciliantes... Il y aurait donc une esthétique du foutage de gueule politique...
Notre président serait alors le Brummel du chic à gouverner... Brummel... Il ne connaît que de nom, sans doute... Brummel qui contrairement à lui considérait que l'élégance devait être invisible finit néanmoins, qu'il le sache, abandonné de tous, clochard... Remember !
Ah, au fait, le coup de pied au cul est-il acte marqué au coin de la modernité ?
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