On pourrait croire que nos campagnes ont été définitivement gagnées par la modernité à l'arrivée déjà ancienne, dans les années soixante-dix, de citadins délurés (fromage de chêvre, amour libre et macramé...)
Il n'en est rien !
Des traditions persistent... Et, comme si l'on continuait à chercher à tout prix ses racines, certains us , même parmi les plus vulgaires qui avaient -semble-t-il- disparu, sont réactivés avec succès...
Savez-vous par exemple que de nos jours, à l'occasion de "noces villageoises" , on ose encore inviter "pour le dessert" ?
3 commentaires:
Cher ppe, Si les noces évoquées sont bien celles que j'imagine, c'est vrai qu'en invitant à l'apéro, on risque de voir des pique-assiette taper l'incruste. Incroyable n'est-ce pas le culot de ces parasites qui veulent se nourrir à l'oeil sur la bête ? Mais comme on n'est pas mesquin/e ou que l'on ne veut pas passer (quelle idée? qui pourrait bien laisser penser une chose pareille?)pour tel, on invite au dessert ( 2 boudoirs rancis à tremper dans du mousseux tiède? je médis, je calomnie ou je diffame?), et peut-être bien même qu'on pourra demander à ses tardifs invités d'aider à débarasser la table et laver la vaisselle (comment ça, on est paresseux et profiteur?...). N'empêche cela m'a fait tout drôle et j'en ai pleuré toute la journée d'hier. Bises.
"Alors qu'on vient d'en rire, on devrait en pleurer " dit le moraliste
C'est plutôt le contraire...
Grosses bises affectueuses
Just married......
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