Malherbe le disait à propos de la Mort :
Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre
Est sujet à ses lois,
Et la garde qui veille aux barrières du Louvre
N’en défend point nos rois.
Tout le monde y passe, c'est comme ça, ça relativise le rapport entre les humains.
Tenez, on m'avait dit un jour, "quand tu es impressionné par quelqu'un, au cours d'un entretien, d'une rencontre, pour ne pas perdre tes moyens imagine-le ou la tout(e) nu(e)". Ok, si c'est Raffarin ou Strauss-Kahn, Parisot ou Aubry ou nombre d'autres encore, faut pas être cruel, ça marche. Si en revanche, c'est Obama, ou un(e) autre du même acabit, c'est pas gagné.
Alors moi, j'ai un truc bien plus efficace pour ne pas dire infaillible et qui remet tout le monde en place, beau ou moche, jeune ou vieux, humble ou puissant. Je les imagine aux chiottes, le fut' ou la petite culotte aux chevilles, le rouleau de pq à la main, le front plissé et rougi par l'effort, et ça c'est comme la mort pour Monsieur de Malherbe, personne n'est épargné.
Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre
Est sujet à ses lois,
Et la garde qui veille aux barrières du Louvre
N’en défend point nos rois.
Tout le monde y passe, c'est comme ça, ça relativise le rapport entre les humains.
Tenez, on m'avait dit un jour, "quand tu es impressionné par quelqu'un, au cours d'un entretien, d'une rencontre, pour ne pas perdre tes moyens imagine-le ou la tout(e) nu(e)". Ok, si c'est Raffarin ou Strauss-Kahn, Parisot ou Aubry ou nombre d'autres encore, faut pas être cruel, ça marche. Si en revanche, c'est Obama, ou un(e) autre du même acabit, c'est pas gagné.
Alors moi, j'ai un truc bien plus efficace pour ne pas dire infaillible et qui remet tout le monde en place, beau ou moche, jeune ou vieux, humble ou puissant. Je les imagine aux chiottes, le fut' ou la petite culotte aux chevilles, le rouleau de pq à la main, le front plissé et rougi par l'effort, et ça c'est comme la mort pour Monsieur de Malherbe, personne n'est épargné.
2 commentaires:
Drôles de trucs! Cache-misère... Il y a toujours de l'échec dans la dérision. C'est comme la fête des fous... MAisle,pouvoir reste le pouvoir, on a beau imaginer Hitler aux chiottes, ça ne changer rien quand on est dans un camp!
il vaut mieux triuver un moyein de vaincre...notre équipe de foot peut imaginer toute l'équipe adverse aux chiottes, maintenant...
Bref, c'est encore un truc de perdant! Il vaut mieux imaginer celui qui impressionne sur un trône d'or, nageant dans le luxe en dicateur ignoble, se révolter et l'écrabouiller! Et même ça, ça risque de remplacer le désir de justice par la la jaloiuse sociale qui mène au vrai crime! On n'en sort pas!
Viva Zapata!
Hors landau
Ah mais ça, ça n'empêche pas !
Anecdote signifiante :
lors d'un des attentats qui faillirent lui avoir la peau, Hassan II qui était ce qu'il était mais ne manquait pas de sang-froid, se trouva face à un jeune soldat à la solde d'Oufkir qui le mettait en joue. Il lui dit "Tu ne vas pas tirer sur le commandeur des croyants ?" et le bidasse d'abaisser son arme et de foncer baiser les mains de son roi! Il l'avait vu dès lors comme un personnage sacré sur son trône... S'il l'avait imaginé aux gogues souffrant de ses hémorroïdes, peut-être eut-il enfin appuyé sur la gâchette...
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