Je suis un peu perplexe.
Les employés de la SNCM ont arrété la grêve. Galopin de Villezoo et ses acolytes ont gagné. Caltez prolos, y a plus rien à voir. Non seulement vous reprenez le boulot, bien obligés que vous êtes, mais en plus on va vous le faire payer et au prix fort, l'affront... D'abord: pas un rond pour vos journées de grêve , comme ça vous ne serez par tentés d'acheter des actions au moment de la privatisation... Deuxièmement on va, comme pendant la première guerre "décimer", un sur dix que ça veut dire pour ceux qui n'auraient pas fait de latin... Un sur dix qui n'aura plus de boulot, plus de thune, plus grand chose, à dire vrai... Et décimer ce n'est qu'une image, la purge va être plus radicale, sans doute. Certains, je les entends déjà car je les ai déjà entendus diront, "Ca devait arriver", "Il y avait des abus", "Ce n'était plus rentable"....et de présenter les "repreneurs" non pas comme les rapaces qui guettaient leur proies depuis un moment, mais comme des sauveurs... Profession : Sauveur d'entreprise... SAPEUR oui !
Mais une chose me laisse rêveur. Comment les syndicats qui devaient quand même bien imaginer que la menace du dépôt de bilan planait sur le conflit, comment ont-ils pu ne pas la prendre en compte plus tôt et trouver une autre stratégie que celle de la grande débine finale...
Il y a sans doute des choses qui m'échappent... Mais comme prévu, Monsieur Butler (curieusement ça veut dire "larbin" en anglais) va pouroir racheter bientôt une entreprise en perdition mais que le gouvernement aura renflouée avant de la lui céder à vil prix . Vil prix, Villepin, il y a parfois des homophonies saisissantes...
Haut les coeurs ! Haut le coeur ! c'est au choix...
Les employés de la SNCM ont arrété la grêve. Galopin de Villezoo et ses acolytes ont gagné. Caltez prolos, y a plus rien à voir. Non seulement vous reprenez le boulot, bien obligés que vous êtes, mais en plus on va vous le faire payer et au prix fort, l'affront... D'abord: pas un rond pour vos journées de grêve , comme ça vous ne serez par tentés d'acheter des actions au moment de la privatisation... Deuxièmement on va, comme pendant la première guerre "décimer", un sur dix que ça veut dire pour ceux qui n'auraient pas fait de latin... Un sur dix qui n'aura plus de boulot, plus de thune, plus grand chose, à dire vrai... Et décimer ce n'est qu'une image, la purge va être plus radicale, sans doute. Certains, je les entends déjà car je les ai déjà entendus diront, "Ca devait arriver", "Il y avait des abus", "Ce n'était plus rentable"....et de présenter les "repreneurs" non pas comme les rapaces qui guettaient leur proies depuis un moment, mais comme des sauveurs... Profession : Sauveur d'entreprise... SAPEUR oui !
Mais une chose me laisse rêveur. Comment les syndicats qui devaient quand même bien imaginer que la menace du dépôt de bilan planait sur le conflit, comment ont-ils pu ne pas la prendre en compte plus tôt et trouver une autre stratégie que celle de la grande débine finale...
Il y a sans doute des choses qui m'échappent... Mais comme prévu, Monsieur Butler (curieusement ça veut dire "larbin" en anglais) va pouroir racheter bientôt une entreprise en perdition mais que le gouvernement aura renflouée avant de la lui céder à vil prix . Vil prix, Villepin, il y a parfois des homophonies saisissantes...
Haut les coeurs ! Haut le coeur ! c'est au choix...
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