Il s’est passé et il se passe une chose dont peu de gens mesurent la gravité.
Le Brésil, pays emblématique du foot dont on imaginait qu’il était prêt à tout admettre, la misère, l’ignorance, le pouvoir des classes dominantes, celle des politiciens, à condition d’avoir ”son foot quotidien" vient de commencer de se révolter, et ce pour des raisons dont on n’eût pas imaginé il y a dix ans qu’elles puissent apparaître aussi soudainement.
En bref, le peuple brésilien s’offusque de ce que va coûter l’organisation de la Coupe du Monde de Foot, sport dont on était persuadé qu’il était tabou...
Eh bien, est-ce parce que grâce à Lulla, il s’est développé économiquement et intellectuellement que le Brésil a rangé l’opium du peuple au rayon d’un passé immature pour manifester presque violemment contre le coût de cette farce, quand il considère qu’il y a des choses plus urgentes à financer que cette drogue dont on a cru à tort qu’il y était accro... et que visiblement ils en ont un peu marre qu'on continue de les prendre ou pour des trav's ou des sous-développés...
Le Brésil, pays emblématique du foot dont on imaginait qu’il était prêt à tout admettre, la misère, l’ignorance, le pouvoir des classes dominantes, celle des politiciens, à condition d’avoir ”son foot quotidien" vient de commencer de se révolter, et ce pour des raisons dont on n’eût pas imaginé il y a dix ans qu’elles puissent apparaître aussi soudainement.
En bref, le peuple brésilien s’offusque de ce que va coûter l’organisation de la Coupe du Monde de Foot, sport dont on était persuadé qu’il était tabou...
Eh bien, est-ce parce que grâce à Lulla, il s’est développé économiquement et intellectuellement que le Brésil a rangé l’opium du peuple au rayon d’un passé immature pour manifester presque violemment contre le coût de cette farce, quand il considère qu’il y a des choses plus urgentes à financer que cette drogue dont on a cru à tort qu’il y était accro... et que visiblement ils en ont un peu marre qu'on continue de les prendre ou pour des trav's ou des sous-développés...
2 commentaires:
Oui, c'est une révolution de nos croyances concernant le sous-développement des brésiliens !
Cette histoire de foot !
Et c'est effectivement grâce à Lulla que des choses ont changé...
Dans pas mal de matières, les brésiliens sont bien en avance sur nous : pour ne prendre que cet exemple, qui me tient à coeur, ils ont des grandes villes sans invasion massive de panneaux publicitaires. Ils ont su réglementer ce qu'en France on est incapable de toucher ; il n'y a qu'à regarder pour constater la désolation et l'indigence culturelle qui suinte de la plupart des entrées de villes, ces zones industrielles et zones d'achalandises, avec leurs couleurs criardes et leurs panneaux qui défigurent la ville et son paysage...
Cher PP,
Et Curitiba, au Sud, est une ville pionnière engagée dans le développement durable depuis 50 ans!
Message perso. Bien reçu!
Angevine
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