Depuis qu'il a été copieusement sulfaté un peu façon Mesrine après avoir commis ses horribles et imprévisibles méfaits, Mohamed Merah est l'objet d'une reconstitution d'itinéraire étonnante qui va des lieux de ses débuts de possible salafiste à celui hypothétique de son inhumation prochaine, on sait, que ce soit en bien ou en mal, depuis le Duc de Guise que l'on est plus grand mort que vivant... .
Et tout le monde a vu l'homme qui a vu l'homme qui a tué... On va bientôt pouvoir le tracer, de la boulangerie du coin à la pizzeria halal de l'autre, du camp d'entrainement au Club Med, de Jérusalem à Kaboul, en passant par les discounters de banlieue, les marchands de sapes à la mode, les fourgueurs de kalachnikovs, les librairies pieuses, les repas familiaux, les querelles intestines, les boites de nuit où le videur n'est pas raciste et les filles qu'on loue pour un moment de plaisir...
On va tout savoir de sa vie minute pas minute, du billet d'avion au passe Navigo jusqu'au moindre ticket de caisse. Ça finit par tourner à l'inventaire, au manifeste du navire de guerre prêt à l'attaque, puis, parce que c'est vendeur, à la folliculaire narration.
Le problème, c'est que c'est un peu tard... et que quoi qu'on fasse, qu'on cherche ou qu'on trouve, on ne saura jamais le plus important si tant est que ce soit quelque peu paradigmatique donc utile : ce qu'il avait dans le crâne qui le fit meurtrier ...
Alors, si on lui foutait la paix puisqu'il est mort, exécuté fût-ce de son fait en l'ayant bien cherché, sans même avoir été jugé, jouissant désormais sans entrave et pour toujours des cent vierges éternelles du paradis d'Allah ?
Soyons clairs : Mohamed Merah est mort et tout mort qu'il est, avec soin, il nous emmerde et pour quelques temps encore.
Et tout le monde a vu l'homme qui a vu l'homme qui a tué... On va bientôt pouvoir le tracer, de la boulangerie du coin à la pizzeria halal de l'autre, du camp d'entrainement au Club Med, de Jérusalem à Kaboul, en passant par les discounters de banlieue, les marchands de sapes à la mode, les fourgueurs de kalachnikovs, les librairies pieuses, les repas familiaux, les querelles intestines, les boites de nuit où le videur n'est pas raciste et les filles qu'on loue pour un moment de plaisir...
On va tout savoir de sa vie minute pas minute, du billet d'avion au passe Navigo jusqu'au moindre ticket de caisse. Ça finit par tourner à l'inventaire, au manifeste du navire de guerre prêt à l'attaque, puis, parce que c'est vendeur, à la folliculaire narration.
Le problème, c'est que c'est un peu tard... et que quoi qu'on fasse, qu'on cherche ou qu'on trouve, on ne saura jamais le plus important si tant est que ce soit quelque peu paradigmatique donc utile : ce qu'il avait dans le crâne qui le fit meurtrier ...
Alors, si on lui foutait la paix puisqu'il est mort, exécuté fût-ce de son fait en l'ayant bien cherché, sans même avoir été jugé, jouissant désormais sans entrave et pour toujours des cent vierges éternelles du paradis d'Allah ?
Soyons clairs : Mohamed Merah est mort et tout mort qu'il est, avec soin, il nous emmerde et pour quelques temps encore.
2 commentaires:
Quoiqu'on fasse quoiqu'on dise,!aut aujourd'hui parler de l'incurie des services de renseignement et parler de l'absence de la police de proximité abolie et tant décriée par Sarko et ses sbires. C'est triste et criminel de n'avoir rien fait pour éviter démence et massacre;Triste France!,cher pays de mon enfance!
Oui, et "cher pays de son enfance" à lui aussi qui souhaitait tout fou tueur qu'il fut y être enterré... Intégration post mortem, par l'humus.
C'est con, c'est vache, c'est dommage pour tout le monde...
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