Stigmatisez, stigmatisez, il en restera toujours quelques morts.
Bien sûr, vu ce qui c'est passé ces cent dernières années, vous n'allez pas déclencher des pogroms, organiser des ratonnades, badiner un ou deux lynchages, en groupe, en bande, en jamboree. C'est contre productif et économiquement bien trop coûteux. Pas la peine ! modernité oblige, il vous suffit de manipuler, volontairement ou non, un esprit, pas forcément diminué, grand solitaire rétif au travail d'équipe pour le pousser : portable, Iphone, un bon et puissant scooter, et autre merveille technique, pour peu qu'il soit un peu tireur d'élite, autant que psychopathe ou bien endoctriné, à faire tout seul d'énormes dégâts et ce à peu de frais.
Des tueurs comme ça ? Plus besoin de rassemblements, de discours, de grandes messes idéologiques avec des chants et des batteries anti-aériennes pour les fasciner et les rendre opérationnels. Y a longtemps qu'ils sont passés du côté du virtuel Un simple abonnement pour une somme modique à un serveur et hop ! Le crime lui même n'est qu'une extension du virtuel... Même pas sûr, et probablement certainement pas, qu'ils prennent du plaisir à tuer. Il ne s'agit plus de serial-killer, mais de cyber-killer... on aurait dit dans le temps, un "hitman", un "tueur à gage". Il suffit juste de trouver qui est le commanditaire. Et là, c'est pas gagné...
Bien sûr, vu ce qui c'est passé ces cent dernières années, vous n'allez pas déclencher des pogroms, organiser des ratonnades, badiner un ou deux lynchages, en groupe, en bande, en jamboree. C'est contre productif et économiquement bien trop coûteux. Pas la peine ! modernité oblige, il vous suffit de manipuler, volontairement ou non, un esprit, pas forcément diminué, grand solitaire rétif au travail d'équipe pour le pousser : portable, Iphone, un bon et puissant scooter, et autre merveille technique, pour peu qu'il soit un peu tireur d'élite, autant que psychopathe ou bien endoctriné, à faire tout seul d'énormes dégâts et ce à peu de frais.
Des tueurs comme ça ? Plus besoin de rassemblements, de discours, de grandes messes idéologiques avec des chants et des batteries anti-aériennes pour les fasciner et les rendre opérationnels. Y a longtemps qu'ils sont passés du côté du virtuel Un simple abonnement pour une somme modique à un serveur et hop ! Le crime lui même n'est qu'une extension du virtuel... Même pas sûr, et probablement certainement pas, qu'ils prennent du plaisir à tuer. Il ne s'agit plus de serial-killer, mais de cyber-killer... on aurait dit dans le temps, un "hitman", un "tueur à gage". Il suffit juste de trouver qui est le commanditaire. Et là, c'est pas gagné...
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