05 mars, 2011

Chirac, un procès " croquignolesque"

Je lis sur Rue 89 que Chirac, bénéficierait encore malgré ses démêlés judiciaires d'une cote de popularité considérable.
Désolé, je vais encore paraître chiant, je ne fais pas partie de ceux qui le trouvent sympathique.
Je dois certainement être très moral, mais je n'ai, même si bien sûr cela n'a rien à voir, jamais aimé "Croquignol", ni aucun d'ailleurs des "Pieds Nickelés", escrocs notoires, grotesques et répugnants.
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5 commentaires:

Anonyme a dit…

Que de vertu! Et quele malencontreuse copmparaison! Les Pieds-Nickelés, ceux de forton au départ sont le contraire d eChirac et particpent d'une pensée anarchiste... ils sont le surgissmetn d'une superbe hideur graphique et d'une remise en cause radicale des valeurs.Ile=s ne peuven qu'agacer et, comme Darien,,ils sont irécupérables. Les Pieds-Nickelés, ça se mérite! De plus si cette BD paraisait aujourd'hui, elle serait immanquablement censurée! Toute la bien-pensance, de ('fausse, y'en a plus de vraie)gauche comme de drite (vraie de vraie, celle-là serait révulsée!
Hors landau

5:48 AM
P. P. Lemoqeur a dit…

Oui oui, je sais.
Mais ne croyez pas que le détournement de la loi selon un Chirac ou un autre soit dans la réalité radicalement différent, dans la mesure où il s'agit avant tout de baiser les autres.
Que Forton ait eu une volonté anarchiste en créant ces personnages est une évidence. Que ces personnages l'aient vraiment été en est une autre...

Les Pieds Nickelés ne sont pas choquants. Leur seule vrai ruse c'est de donner à leur lecteur l'illusion d'être un peu subversif, le temps de lire dix cases...

Le vrai anar, c'était pas Forton, c'était Bonnot !

Pas plus de raisons pour le lecteur d'être choqué par les P.N. que d'y trouver de quoi alimenter sa propre subversion...

Autant se croire anar en chantant du Bruant, du Ferré ou même du Lavilliers...

12:02 PM
Anonyme a dit…

c'estmal connaitre Forton, homme étonnant et oublier que les PN sont contemporains de Bonnot! Imagine t-on une bande dessinée comique aujourd'hui mettant en scène des terroristes pro-palestiniens rigolos?
Mais il est vrai qu'on se croit de gauche en s'indignant contre Zemmour! en s'indignant...
Cela dit je ne pense pas que Bonnot fut si anar que ça... Lampiao et bonnie and Clyde allèretn plus loin!

12:33 PM
P. P. Lemoqeur a dit…

Mais si j'ai parlé de Bonnot c'est bien parce qu'il est contemporain de Forton (le grand pére)...

Pour ce qui est de tuer, on peut toujours aller plus loin.
Quand à la conscience politique de Bonnie & Clyde, le débat reste ouvert.

Faut pas rêver, aujourd'hui, les Pieds Nickelés ce serait comme les Simpson, y aurait même des produits dérivés...

2:09 PM
Anonyme a dit…

"Faut pas rêver"? Si! C'est presque un devoir!
forton est novateur non pas du point de vue politique, mais artistique. Il n'est pas loin de "fauves" et peut annoncer lointainemetn le punk: dessin malfutu, sortilège de la hideur, stridence assumée... Les PN snt un fait unique dans la Bd e dan sl'esthétique tut coirt.ILs révulsent encore demeurent irrécupérables.si Pellons leur a donné une certaine élégance, il reste que Fortön, à l'opposé, sans esbroufe, sans message, tout, simplement, créait un monument moderne, un art "brut" voire naïf et brutal à la fois dix fois, mille fois supérieur aux peintre naïfs gnagnards et pommadés qui plaisernttant à la bourgeoisie attendrie. Au delà du témoignage, du document et de la présentation sérieuse d el'argot avant que la bourgeoisie ne le consfisque, on a un art qui choque encore, une immoralité, un dédain du monde quon ne retrouvera que plus tard, dans la nonchalance du Miller de jours trnquilles à Clichy, puis le punk: no future! PAs'ambition, vivre...sauf qu'il y a la misère chez les PN, cele d'une époque dure..et c'est sale...ce qui offusque le bourgeois...Ils sn encore chiquants, les Pn, inacceptabls, irrécupérables...

Bonnie etClyde n'avaient pas conscience, certes, d eleur opact politique... Et alors? doit-n l'ignorer pur autant? On est loin de la pensée besgneuse d'un Bonnot ou d'un Rouillan: il s'&agissait de vivre, pas de débiter des discours pompeux voire élitistes (militer est toujorus élitiste) en tuant d'abord des pauvres... c'était du vrai, pas du justifié! L'instinct de mort, de vie n'avait pas de justification politicarde ou sociale...or c'était politique et social! Mais pas dans la norme subversive, car ça existe, cette saloperie!

9:03 AM

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