Non mais qu'est-ce que c'est que cette couillonnade ? Il ne s'est jamais agi d'un "jeu de la mort", mais d'un "jeu de la torture"... C'est pas la même chose. Les candidats réels ou non ne sont pas fascinés par la mort éventuelle de leur cobaye réel ou non qui n'a, ils le savent et le souhaitent, aucune chance de se produire mais par la douleur qu'ils lui infligent. C'est ça qui les fait jouir, la douleur supposée et le cri qui en résulte, certainement pas la mort. Un sujet mort ne hurle plus... On n'a plus aucun pouvoir sur un cadavre... Un cadavre c'est sans intérêt face à une gégène... La mort n'a pas sa place ici car elle est silencieuse et car elle fout la trouille.
Bien sûr il peut y avoir des jeux sado-masos qui se terminent comme ça, mais c'est normalement en pleine connaissance des partenaires.
Alors cette histoire d'émission de télé prétendument scandaleuse, c'est surtout une histoire de télé ridicule à l'intention de couillons-gogos en mal de fantasmes S.M infantiles et très formatés.
C'est ainsi qu'il aurait été intéressant de poser la question suivante aux pseudo-tortionnaires : avez-vous, quel que fut votre degré de conscience de la réalité ou non de la prétendue expérience, ressenti au cours de votre séance d'interrogatoire un plaisir érotique à "envoyer la décharge", c'est à dire plus crûment : avez vous déchargé vous-même quand vous avez pensé provoquer enfin, contraint ou non, le choc le plus violent ?
Car c'est évident, mais personne n'ose le dire, toute la question est là...
Bien sûr il peut y avoir des jeux sado-masos qui se terminent comme ça, mais c'est normalement en pleine connaissance des partenaires.
Alors cette histoire d'émission de télé prétendument scandaleuse, c'est surtout une histoire de télé ridicule à l'intention de couillons-gogos en mal de fantasmes S.M infantiles et très formatés.
C'est ainsi qu'il aurait été intéressant de poser la question suivante aux pseudo-tortionnaires : avez-vous, quel que fut votre degré de conscience de la réalité ou non de la prétendue expérience, ressenti au cours de votre séance d'interrogatoire un plaisir érotique à "envoyer la décharge", c'est à dire plus crûment : avez vous déchargé vous-même quand vous avez pensé provoquer enfin, contraint ou non, le choc le plus violent ?
Car c'est évident, mais personne n'ose le dire, toute la question est là...
2 commentaires:
La soumission aux ordres est un plaisir en soi pour les badplafs!
Toute la question est là et si on lit attentivement le rapport de Milgram Experiment, on apprend beaucoup par la description des reactions physiques de ceux qui envoyaient les pseudos decharges. Certains " riaient nerveusement tandis que la sueur coulait de leurs fronts ; d'autres se contentaient d'un sourire crispé ou d'une grimace ; quelques-uns suspendaient leur geste. "
Il est également interessant d'apprendre comment les"victimes" reagissaient, car ils savaient, eux, qu'ils "jouaient un bon tour" à ceux qui voulaient les "punir".
Il s'agit au départ d'une experience scientifique américaine, et contestable quant aux moyens employés, sinon à la finalité, et qui date d'un demi-siecle. Je ne vois toujours pas en quoi elle peut apporter quelque chose à la science de 2010 en Europe. Surtout lorsqu'on realise que les dés sont faussés dès le départ.
_________
Note : ce genre d'expérience, ou etudes, ne peut plus se faire dans les universités américaines. Des comité d'éthique ont depuis été mis en place pour interdire ce qui leur semble contraire à l'éthique de l'enseigenment : en l'occurence, le mensonge, la tricherie. Pour au moins eviter certains excès.
Enregistrer un commentaire