On se souvient (enfin certains..) du livre de ce grand chrétien (vraiment) de gauche Maurice Clavel, intitulé ce qui était moderne, fort, pour l'époque "Dieu est Dieu nom de Dieu !" Je ne l'ai pas lu, Clavel je l'aimais bien mais il me faisait un peu chier, l'aporie en permanence ça fatigue. J'étais jeune et déjà futile.
D'ailleurs ce que je vais vous dire n'a rien à voir avec Clavel ni avec cette violente et sans doute pour lui sublime affirmation.. Il s'agit simplement d'une réflexion que je me faisais à l'instant humblement, dans la cuisine en coupant, comme Seyrig dans "Jeanne Dielman", des patates en deux avant que de les mettre au four.
Je vous explique, il s'agit pas d'une recette.
Non tout bêtement je me disais, puisqu'il y aurait, paraît-il, encore des petits futés de chaque obédience qui persistent à considérer que le Dieu de l'autre n'est pas le bon, que leur raisonnement globalement ne tient pas. Ils sont tous monothéistes. Il n'y a donc pour l'un comme pour les autres qu'un seul dieu. Ce qui fait qu'à moins d'être particulièrement abscons et coupeur de poil de barbe en quatre, il y a quand même pas mal de chance d'un point de vue statistique et puisqu'il n'y en a qu'un, que ce soit le même, quel que soit le nom qu'on lui donne.
Sauf que... sauf que la question n'est pas si absurde. Tenez, mon ibuprofène salvateur, quelle que soit la marque qu'on me fournit, c'est la même molécule, non ?
En fait ce qui les turlupine, même si c'est libre de droits et s'il y a une traçabilité historique, c'est de savoir qui est le Dieu original et quels sont les génériques...
Ça se passe comme ça dans les officines.
D'ailleurs ce que je vais vous dire n'a rien à voir avec Clavel ni avec cette violente et sans doute pour lui sublime affirmation.. Il s'agit simplement d'une réflexion que je me faisais à l'instant humblement, dans la cuisine en coupant, comme Seyrig dans "Jeanne Dielman", des patates en deux avant que de les mettre au four.
Je vous explique, il s'agit pas d'une recette.
Non tout bêtement je me disais, puisqu'il y aurait, paraît-il, encore des petits futés de chaque obédience qui persistent à considérer que le Dieu de l'autre n'est pas le bon, que leur raisonnement globalement ne tient pas. Ils sont tous monothéistes. Il n'y a donc pour l'un comme pour les autres qu'un seul dieu. Ce qui fait qu'à moins d'être particulièrement abscons et coupeur de poil de barbe en quatre, il y a quand même pas mal de chance d'un point de vue statistique et puisqu'il n'y en a qu'un, que ce soit le même, quel que soit le nom qu'on lui donne.
Sauf que... sauf que la question n'est pas si absurde. Tenez, mon ibuprofène salvateur, quelle que soit la marque qu'on me fournit, c'est la même molécule, non ?
En fait ce qui les turlupine, même si c'est libre de droits et s'il y a une traçabilité historique, c'est de savoir qui est le Dieu original et quels sont les génériques...
Ça se passe comme ça dans les officines.
2 commentaires:
Tout vient du passage de la monolâtrie au monothéisme. On disit "tu n'adoreras qu'un seul dieu, parce qu'il y en avait d'autres!Et disons, Moïse a inventé le dieu unique...
N'oublions jamais que Jésus a été condamné pour intolérance: il refusait de respecter les idux des autres!Le catholicisme oecuménique est une trahison!Ces gens s'arangent et ça commence à bien faire, cette hypocrisie religieuse! Ils sont fairs pour haïr, qu'ils l'acceptent, merde!
pour savoir qui est l'original et quels sont les génériques, il n'y a qu'à les dater, on trouvera peut-être le premier.
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