Mon père aimait les histoires de fous. Il racontait celle-ci
Cela se passe dans un asile d'aliénés. Le psychiatre croise dans un couloir un de ses patients qui promène une brosse à dents en laisse. Il lui dit
- alors, Albert, on promène son chien ?
- mais non Docteur, voyons, c'est ma brosse à dent !
- ah, bien ! Albert, très bien ! je vois que vous allez mieux !
et de continuer son chemin.
Une fois de retour dans sa chambre, le fou détache sa brosse à dents et lui dit en la caressant "On l'a bien eu, hein, Médor !"
Cela se passe dans un asile d'aliénés. Le psychiatre croise dans un couloir un de ses patients qui promène une brosse à dents en laisse. Il lui dit
- alors, Albert, on promène son chien ?
- mais non Docteur, voyons, c'est ma brosse à dent !
- ah, bien ! Albert, très bien ! je vois que vous allez mieux !
et de continuer son chemin.
Une fois de retour dans sa chambre, le fou détache sa brosse à dents et lui dit en la caressant "On l'a bien eu, hein, Médor !"
1 commentaire:
tiens, c'est plus la mode des histoires de fous.
je me souviens d'une qui finit par " c'est pas parce qu'on est fou qu'on est con".
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