23 décembre, 2009

Soldes avant fermeture

Il avait longtemps cru qu'on le croyait parfait
C'est ainsi qu'à la fin, mis face à sa victime
Il n'eut pour se défendre qu'assauts de veulerie
De déni, de mensonge, de sale effronterie,
Une manière de dire, baroud d' horreur ultime
"Je te pardonne enfin le mal que je t'ai fait".

1 commentaire:

LESA FAKER a dit…

...et ses folles paroles se sont scellées dans le mur du cimetière, l'enchainant au destin qu'il s'est lui même forgé.
je vais te dire, PP, moi maintenant, je suis debout et fière de moi.

Allez hop, on va fêter Noel et le premierdlan. je te serre dans mes bras.

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