Cinquante personnes, à l’initiative du "Parisien", ont été invitées à se rendre à l’Élysée pour poser cinquante questions à notre Président à un pour cent , soit une question chacune, une seule, il valait mieux donc les bien choisir...
Tout y est passé... Mais le plus étonnant a quand même été la réponse du Président à un pour cent à une question qui lui était posée à propos des écarts de langage de "son" ministre de l’intérieur. Il est contre les écarts de langage, le Président à un pour cent, pour lui pas de "racaille", pas de "voyou" , mais éventuellement , en fonction du méfait commis: des délinquants ( racine: délit) et des criminels ( racine : crime )
OK. Bravo, effectivement, lorsqu’il parlait lui-même de bruits et d’odeurs, il n’y avait dans son propos aucun glissement sémantique, ni aucune impropriété lexicale... C’est vrai qu’à la place il aurait pu dire musiques et parfums, rythmes et senteurs, mélodies et essences... Mais rien d’incorrect dans la forme. C’est ça le grand art : dire les pires cochonneries sans dire le moindre mot douteux. Un petit lieutenant de Sarkozy disait ce matin, à ce propos, que sur ce plan du langage, il y avait ( en gros, car ces propos ne méritent pas une relation mot à mot ) entre Chirac et Sarkozy un saut de génération. Le "jeune" (enfin, tout est relatif...) s’exprime avec un langage jeune donc irrévérencieux , le vieux avec des expressions correctes mais tout aussi efficaces... Le principal, dans tous les cas, en casquette ou en chapeau mou, c’est de dire des saletés.
Tout y est passé... Mais le plus étonnant a quand même été la réponse du Président à un pour cent à une question qui lui était posée à propos des écarts de langage de "son" ministre de l’intérieur. Il est contre les écarts de langage, le Président à un pour cent, pour lui pas de "racaille", pas de "voyou" , mais éventuellement , en fonction du méfait commis: des délinquants ( racine: délit) et des criminels ( racine : crime )
OK. Bravo, effectivement, lorsqu’il parlait lui-même de bruits et d’odeurs, il n’y avait dans son propos aucun glissement sémantique, ni aucune impropriété lexicale... C’est vrai qu’à la place il aurait pu dire musiques et parfums, rythmes et senteurs, mélodies et essences... Mais rien d’incorrect dans la forme. C’est ça le grand art : dire les pires cochonneries sans dire le moindre mot douteux. Un petit lieutenant de Sarkozy disait ce matin, à ce propos, que sur ce plan du langage, il y avait ( en gros, car ces propos ne méritent pas une relation mot à mot ) entre Chirac et Sarkozy un saut de génération. Le "jeune" (enfin, tout est relatif...) s’exprime avec un langage jeune donc irrévérencieux , le vieux avec des expressions correctes mais tout aussi efficaces... Le principal, dans tous les cas, en casquette ou en chapeau mou, c’est de dire des saletés.
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