C'est
Patricia Petitbon qui s'y colle, enfin qui s'y englue. Petitbon que
j'entends pour la première fois ( ben oui, je suis ignare-grave) me semble être à
une colorature ce que la Mère Denis était à Jane Mansfield.
Une voix assez laide, (mais ça c'est pas grave, Callas la sublime elle aussi), un vibrato d'octogénaire, à la peine dans les aigus et surtout et en prime, parsemant la partition, des "effets", onomatopées et borborygmes supposés être drôles... Encore un petit effort, un metteur en scène avisé et elle nous fait Liebestod façon pétomane. Heureusement, on ne passe que la première partie de l'air.
Bon, c'est moche, ça c'est pas sa faute, on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a, je peux en causer, sur ce plan là j'ai rien ! mais en plus c'est vulgaire et ça c'est pas obligatoire, pas dans le contrat...
Non Môssieur, je ne changerai pas mon baril de Dessay de Damrau, de Delunsch contre deux Petitbon !
Une voix assez laide, (mais ça c'est pas grave, Callas la sublime elle aussi), un vibrato d'octogénaire, à la peine dans les aigus et surtout et en prime, parsemant la partition, des "effets", onomatopées et borborygmes supposés être drôles... Encore un petit effort, un metteur en scène avisé et elle nous fait Liebestod façon pétomane. Heureusement, on ne passe que la première partie de l'air.
Bon, c'est moche, ça c'est pas sa faute, on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a, je peux en causer, sur ce plan là j'ai rien ! mais en plus c'est vulgaire et ça c'est pas obligatoire, pas dans le contrat...
Non Môssieur, je ne changerai pas mon baril de Dessay de Damrau, de Delunsch contre deux Petitbon !
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