30 octobre, 2012

Niqab et niveau sonore ou l'art de se faire des ami(e)s .

Quand j'entends dans ma rue, dans le train, ou ailleurs  certaines femmes péremptoires parlant fort, et  trop fort,  je me dis que, toutes cultures confondues (vous ne  m'aurez pas sur ce terrain), le niqab s'il est odieux en ce que, comme à la télé, il coupe l'image/fondu au noir,   présente au moins l'avantage de baisser un peu, voire shunter totalement  le son.
Et les mecs, me direz vous ! Eh bien, essayez de mettre un bâillon à un mec de deux cents livres...( sauf s'il est d'accord, mais c'est une autre histoire, on va pas en causer ici ce serait aussi déplacé que le début si ce n'est plus !)   

4 commentaires:

CHROUM-BADABAN a dit…

Ce n'est pas seulement qu'il baisse le son, le niquab, (quel nom ce truc, Nique Ab !), mais c'est qu'il baise le son (il nique le son) et ça les rend, si ce n'est muettes, au moins inaudibles !
Moi, j'aime bien, les gueulardes et leurs goualantes, ça me fait marrer, cette "revanche innocente" que prennent les femmes sur les hommes, avec leur organe, en envahissant l'espace de leur indigentes conversations, de leur assurances à deux ronds, aux timbres ressentis et avec des sonorités qui n'ont souvent rien de mélodieux ; je pense qu'elles le font inconsciemment exprès. Et parfois même explicitement exprès, avec leur sourires en coin, à s'écouter hurler...
Elles sont connes, elles le savent et elles le montrent à fond la caisse !
Je suis conne, complètement conne chante Brigitte Fontaine.
Et puis, les mères poules, il leur faut bien une place dans la basse-cour, faire leur cocorico dans l'harmonie municipale !
De temps en temps, l'une surpasse l'autre par des propos bien sonnés, au vocabulaire fleuri, en se prenant pour la Carmencita, ou la lavandière du Portugal ou mieux l'harengère du Cateau-Cambrésis, avec plein de gros mots gouleyants, (salope, truie, putain, grosse moule, etc.), ou encore la Marie-Chantal du XXIème arrondissement, ou parfois la guadeloupéenne en crinoline piaffant d'impatience et hurlant à la mort !
On appelle ça la sociabilité, ce comportement, si j'ai bien compris. Je suis gonflé, en me relisant j'ai l'impression de parler des femmes comme des animaux...
Mais je pourrais faire la même chose pour les hommes ! Il beuglent les veaux qui se prennent pour des aigles ! Ils brassent l'air avec d'autant plus d'assurance qu'ils n'ont rien d'autre à hurler que la peur qui les tenaillent, qu'elles le leur coupent, le sifflet !
De l'autre coté, c'est tout autant convivial !

Calyste a dit…

Moi, au boulot, c'est plutôt des collègues femmes qui transforment la salle des profs en une véritable volière (envolée de grues cendrées en migration). Je vais soumettre ton idée à la direction. Le seul problème, c'est que c'est aussi une femme bavarde!

P. P. Lemoqeur a dit…

Oh Daniel ! on est d'accord, mais y a des nuisances qui m'épuisent. En attendant, mon propos tu l'auras compris n'était pas de cet ordre...

CHROUM-BADABAN a dit…

Bien sûr, P.P. j'ai compris !
Il y a des moment où certaines sont sans-gène.
Elles dépassent la mesure de l'harmonie municipale !
De vraies casseroles !
Avec leur tentatives de prendre à témoin la terre entière !
Là j'avoue que, parfois, je rejoins le troupeau haineux (!) des pisse-froids baissant la tête avec le regard noir et qui ne souhaitent qu'une chose ; pouvoir lire et rêver tranquillement dans leur coin !
je rejoins ceux qui hurlerait : fermez vos gueules, mesdames, si ce n'était pas aussi contre-productif !
En tout cas, c'est grâce aux gueulardes qu'on commence les révolutions !
Margaret Tatcher, -oui-bon - d'accord, disait (à propos de l'égalité des salaires) : "quand les femmes se mettent en grève, c'est toujours pour quelque chose d'important".
Mais là, il ne s'agit pour celles qui hurlent dans l'espace public, que de s'entraîner pour des lendemains qui chantent !

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