En ce moment, à Marseille, la cité phocéenne comme on dit dans le poste, ça canarde dans tous les coins, malgré un nouveau préfet de police nommé sous l'ancien régime. Bref, ça défouraille et ça flingue à tout va. Mais une chose m'étonne, c'est qu'à chaque fois, les journalistes parlent de kalashnikof comme s'ils étaient sur place et assez près pour reconnaître la marque de l'arme du crime au point de faire la différence entre un Browning m1819, un MAC, un Bren, ou un Uzi...
C'est tout simplement que kalashnikof, ça claque, c'est quasiment une onomatopée et que, de fait, ce patronyme russe est en train, à l'instar de poubelle, de devenir un éponyme.
1 commentaire:
ça laisse aussi des douilles par terre que les nouveaux ne prennent même plus le temps de ramasser...
c'est plus ce que c'était, P.P.
tout fout le camp...
D*
Enregistrer un commentaire