Vous connaissez les "Mille et une Nuits". La belle Shéhérazade, pour éviter une mort dont son seigneur et maître la menace si elle cesse de conter, conte. Et son truc, ce que fait aussi souvent le roman picaresque, c'est ouvrir une histoire dans l'histoire, voire raconter une histoire dans l'histoire de l'histoire.
Eh bien, le scandale des "Affaires" actuelles, c'est pareil. On découvre un scandale, ok, c'est normal ! Mais dès le lendemain on apprend qu'il y a un scandale à l'intérieur du scandale, voire un scandale dans le scandale du scandale...
On peut y voir aussi comme un "effet gigogne", poupée russe, hormis le fait que le scandale caché est souvent plus grand que celui qui le cache...
Eh bien, le scandale des "Affaires" actuelles, c'est pareil. On découvre un scandale, ok, c'est normal ! Mais dès le lendemain on apprend qu'il y a un scandale à l'intérieur du scandale, voire un scandale dans le scandale du scandale...
On peut y voir aussi comme un "effet gigogne", poupée russe, hormis le fait que le scandale caché est souvent plus grand que celui qui le cache...
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