04 septembre, 2011

van Dongen, Cartier-Bresson, sous pretexte "d'éliminer"

Comme hier j'ai forcé un peu sur ce qui est bon, aujourd'hui j'ai fait mes 30kms peinard à bicyclette, mais attention ! très peu de plat, de la côte ; mais non, pas du plat de côte ! ça c'était hier, justement ! J'en ai profité pour faire des photos que je voulais faire depuis longtemps.
D'abord, Le Louvard, folie aux champs XVIII° que Kees van Dongen peintre fauve autant que mondain posséda de1921 à sa mort.







et puis, c'est tout près juste de l'autre côté du village, je suis allé à Fontenelle, château natal de Henri Cartier-Bresson marchand de fil et photographe célèbre et de talent. Mais impossible d'entrer, tout au bout de l'immense allée de marronniers. C'est une énorme bicoque néo-renaissance désormais maison de retraite médicalisée,aussi accueillante de prime abord qu'une maison d'arrêt, au milieu d'un bois superbe et clos.
Au fait c'est si méchant que ça, les vieux, qu'on les empêche de sortir ? non, je déconne, comme d'hab...
En attendant j'ai quand même fait une photo mais de loin.



A la suite de quoi je suis allé vers Ferrières et sa forêt, qui fut construit par les Rothschild, et puis du coté de Guermantes qui appartint aux Hottinger, pour finir par Rentilly qui était aux Menier... Ils étaient proches les uns des autres, quasi mitoyens, les rupins !
Mais cet après midi, seules les maisons d' "artisses" étant dans mon idée, avaient grâce à mes yeux.

2 commentaires:

Calyste a dit…

Tu as de ces relations!

P. P. Lemoqeur a dit…

Il se trouve que je suis dans une région à la toponymie particulièrement littéraire, de Croissy-Beaubourg qui habrita les amours de Marie D'Agoult pas encore Daniel Stern mais déjà un peu folle et de Liszt jusqu'à Meaux en passant par, à cent mètres de chez moi, l'un des domiciles de Léon Bloy.

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