23 septembre, 2011

Le sparadrap chargé de pus qui colle...

C'est l'histoire du sparadrap dont on n'arrive pas à se débarrasser. Gag qui a fait ses preuves !
Vous devenez, pour des raisons irrationnelles de sa part, incompréhensibles de la vôtre, (moitié-moitié!) la cible quasi quotidienne d'un blogueur qui fut blogueur ami. La demi-sœur de celui-ci est l'une de vos meilleures amies, depuis un lustre au moins, elle est de vos très proches, c'est même par elle, incidemment, que vous l'avez connu.
Je serais, à défaut d'être fier, au moins amusé, si je devenais la mire d'un écrivain reconnu. Hélas, pour moi, hélas pour mon égo, je ne suis visé que par un scribouilleur de base qui se la joue.
Mais le sparadrap, imbibé de haine imbécile, vous colle aux pompes. Vous le découvrez par hasard, parce que les élans de ce besogneux plumitif vous arrivent d'une manière des plus fortuites alors que vous avez décidé, raisonnablement, de mettre un terme à tout échange.
Vous ne dites rien à la sœur, (je suis tranquille, elle ne lit ni mon blog, ni le sien) ça ne mérite pas deux minutes au cours de nos dîners rituels. Tiens, elle vient dîner demain soir (penne al funghi et autres mets très simples...)

En attendant, moi, tous comptes faits, je suis, pour être honnête, plutôt pour les débordements du demi-frère (au fait, pourquoi persister à rester demi en tout ?). Ça me ramène quelques lecteurs dont aucun ne me laisse de commentaires hostiles. Vous me connaissez, je me ferais un plaisir de publier les plus cons. Mais, y en a pas !

En revanche, le sparadrap, chargé de pus comme tous les sparadraps, colle au blog... C'est pas grave. Contrairement aux bactéries et aux virus qu'il faut prendre en compte, l'ignorance du microbe reste en l'occurrence la meilleure prophylaxie.

Ah, à propos de ma tristesse exprimée pour la mort d'un chien que j'aimais et de l'appréciation qu'il fait de ma peine, selon lui purement rhétorique, je le lui redis : Disparais ! microcéphale !
Nul et surtout pas moi ne pleurera sur ton corps dévasté comme on le fit sur celui de ce chien admirable. Faut enfin que tu comprennes, je sais c'est pas facile, parce que tout simplement : t'es banalement con. Et tu n'es même pas foutu d'avoir la seule qui vaille : l'intelligence du cœur...

Auras-tu sur ta tombe, ton urne, l'hommage qu'eut avant-hier Tiki le chien ?



2 commentaires:

Anonyme a dit…

Je ne comprends pas bien cet article... mais d'accord pour l'intelligence du coeur. Même pour un animal qui souffre et disparaît. L'humain a cette faculté, innée, d'aimer beaucoup ce qui lui fait plaisir. Avec 5 sens et un "coeur" y a largement de quoi l'alimenter en bonheurs.

Alain P.

CHROUM-BADABAN a dit…

Sacré Pépé, on ne se refait pas ! Rien que pour te faire plaisir, je me focerais bien à "un petit débordement qui te mette en valeur".
Allez je me lance :
"P.P. le moqueueur n'est qu'un beauf' franchouillard, larmoyant après un vieux chien mort alors qu'il y a les albanais boudistes qui tentent de survivre par moins quarante au Tibet et qui tombent comme des mouches gelées ; cela ne lui fait évidemment ni chaud ni froid à P.P. vu que albanie, boudiste, tibet, il n'a jamais entendu parler... Tout comme le désert de Bayonga...

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