10 juin, 2010

Oyons les oies

Il faut toujours que l'une ou que l'autre ait raison
Elles s'adorent sans pouvoir ne pas se disputer
Elles disent des horreurs, s'amusent à les conter
En durcissant leur langue tel au feu le tison

Elles sont comme des coqs, ergots et crête vive
Et en bonnes volailles s'entre-dévorent le foie.
Elles jouissent du combat, de l'issue qui arrive.
Mais fort heureusement, ce n'est qu'un conflit d'oie...

2 commentaires:

Anonyme a dit…

quand j'ois parler d'oie, ma foi, je pense au foie. Et à l'agressivité de ces connes qu'il faut éloigner à coups de tatane qund elles attaquent, les vaches. Vaches? non, il n'y a pas de foie gas de vache. Mais c'est sympa, les vaches, enragées et folles, avec un boeuf sur le toit, c'est épatant!
hors landau de rude air!

LESA FAKER a dit…

excellent

Site counter

Archives du blog