Témoignage.
J'ai eu du pot, je n'ai jamais été victime de l'homophobie (entourage, milieu professionnel globalement privilégié). Quand j'étais dans le placard, n'étant pas parmi les plus folles, j'étais tranquille, sauf bien sûr avec moi-même, et quand j'ai fait mon coming-out à l'âge de vingt deux ans (ça ne nous rajeunit pas !), je n'étais plus du genre à me laisser emmerder.
J'écoute à l'instant une émission qui parle de ça. Ça continue ! On parle des homos hommes d'abord , et de fait, c'est des mecs, majoritairement, qui témoignent... Les goudous, c'est comme "La môme néant" de Jean Tardieu, "a ' xiste pas" ou si peu.
J'ai eu du pot, je n'ai jamais été victime de l'homophobie (entourage, milieu professionnel globalement privilégié). Quand j'étais dans le placard, n'étant pas parmi les plus folles, j'étais tranquille, sauf bien sûr avec moi-même, et quand j'ai fait mon coming-out à l'âge de vingt deux ans (ça ne nous rajeunit pas !), je n'étais plus du genre à me laisser emmerder.
J'écoute à l'instant une émission qui parle de ça. Ça continue ! On parle des homos hommes d'abord , et de fait, c'est des mecs, majoritairement, qui témoignent... Les goudous, c'est comme "La môme néant" de Jean Tardieu, "a ' xiste pas" ou si peu.
1 commentaire:
Ah bé, mais a dit rin non plus !
Coming-out à 38 ans : au deuxième chapitre quand j'ai été sûre, et non plus bêt'ment adultère.
Forcément, à c't'âge avancé, côté famille, on a cru qu'c'tait passager. Maint'nant, on l'admet, mais le plus souvent quand je l'braille pas trop fort, excepté les deux hommes qui m'aimeront tjs telle que, mon fils et mon époux.
Quant à l'homophobie, je n'ai à ranger dedans que les banales propositions, oeil allumé et langue pendante, de plan à trois. Que je ressens, tout d'même, à chaque fois, comme des agressions.
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