Alors, on est gâtés !
Wim Delvoye chez Rodin
et Duane Hanson à la Villette
01 mai, 2010
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4 commentaires:
Le plus drôle est le second! Aussi ringard que le populisme! Ca plairait bien à Madame Morano, tiens...
Décidément, ça me dégoûte cet art complaisant... C'est comme l'art soviétique ou nazi, en bourgeois planplan... Réactionnaire, d'ailleurs, au sens propre! On croirait à de la propagande. De la propagande sans objet...Sans objet? Hum... L'idéologie est là aussi, pas si claire... Moi, je préfère Arno Brecker... C'est plus clair, au moins! Et ça tiendrait le choc même si on ne connaissait pas l'auteur, tout ça...Tandis que ce brave, bien gentillet Hanson ne peut être compris que par son intention...ou sa "non intention" supposée, autoproclammée de "constat"!
Hors Landau.
"Moi, je préfère Arno Brecker... C'est plus clair, au moins!"
dites vous, cher Orlando.
Mais, qu'y-a-t-il de clair chez Brecker ? Si ce n'est que son art s'adressait, c'est vrai sans complexe et avec complaisance, à toutes les "deutschetanten" rescapées de la nuit des longs couteaux et autres "gestapettes" "dans le bunker" ou non, avec pour seul "objet" (comme vous dites) de les faire triquer sous leurs uniformes, sous prétexte de leur montrer du beau, de la santé, bref de l'aryen pur porc.
Allez, rions un peu reprenons à notre compte le bon La Bruyère :
Brecker sculpte les hommes comme ils devraient être, Hanson les sculpte tels qu'ils sont.
Je ne suis d'accord avec aucun de vous deux, je pense que les oeuvres de Duane Hanson relève du génie !
Tant de réalité dans ses oeuvres, il montre les gens tels qu'ils sont, sans mentir ...
Cet artiste est super !
Mais cher anonyme,
vous ne m'avez pas compris !
Je suis, depuis le jour où au tout nouveau Festival d'Automne à Paris (en 1973)j'ai vu les premières sculptures de Hanson un admirateur constant.
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