C'était il y a bien longtemps. Quand Monsieur le Sénateur Maire revenait de Paris par le train, il était hors de question qu'il prit un taxi à 21 heures pour rentrer chez lui. A aucune autre heure non plus d'ailleurs. C'était la police qui le conduisait au "Drapeau" et revenait le chercher. Généralement un flic suffisait. Monsieur le Maire une fois arrivé devant son hôtel particulier gratifiait le fonctionnaire d'une pièce d'un (nouveau) franc. Un soir, pour on ne sait quelle raison, ils furent deux à venir le chercher. Monsieur le Maire dut faire un effort. Avant de s'extraire du véhicule, il tendit au chauffeur deux pièces l'une contre l'autre, le franc dessus. Sur le chemin du commissariat on dut se rendre à l'évidence, la seconde pièce était de vingt centimes.
25 mai, 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Site counter
Archives du blog
-
▼
2009
(850)
-
▼
mai
(80)
- A croire ou à laisser
- Hygiène de l'exploiteur
- Des prophètes viendront
- Slogan de campagne
- Dieudonné est-il une grosse merde ou un petit étro...
- Faire son deuil...
- vieux con ? mais non pas uniquement : la preuve !
- Goûts de vieux con.
- La "tournure", ou le geste en héritage...
- La misère, il était temps, arrive enfin chez les ...
- Pète-en-soie et la rue aux boxons
- Bigard, pauvre Bigard...
- Et oui, c'était comme ça...
- Principe de précaution...
- L'Église de Fiente-au-logis est-elle porteuse de d...
- Les petits métiers qui se perdent
- Il est interdit
- Pour les amateurs de moulins, (suite)
- Qu'ai-je fait aujourd'hui ?
- Vous croyez que ça a un rapport ? ou les très éphé...
- Le Grand Pressigny ou quand les architectes contem...
- Chez le marchand
- WINDOWS
- Fascisme, Fasciste, Fascisant puis, Totalitaire. ...
- Floirac à la sortie des classes, pour une présom...
- Le bousier
- C'est vrai, je l'avoue,
- Qui a volé le boulevard du Sud ?
- Plus violents aujourd'hui ?
- Darcos et la "fouille au corps"
- Aptonymes du jour
- France-Culture / France-Cul / France-Cul-Bénit
- Pour les amateurs de pancartes (j'en connais...)
- Quand les russes étaient communistes, ou PPlemoque...
- autoportrait en abîme
- Thomas Oliemans, forcément...
- Nous sommes des grenouilles dans l'eau froide.
- On n'imagine pas, mais il s'en passe des choses da...
- Patricia Kaas : zero point !
- Con comme iconoclaste !
- Édicule admirable
- De l'influence de Loïe Fuller et d'Isadora Duncan ...
- Allez ! dans la foulée.
- "Nobody's perfect" revisité
- La Vision Berdache retrouvée.
- Mélange des genres
- C'est le printemps
- Excès de langage, ou licence poétique
- De mauvais goût ! Je suis incorrigible...
- Les coloriages de l' art
- Surtout ne pas s'attarder...
- Warhol, immense et paradoxal...
- Le poids des mots...
- Pizza à la souris morte
- Sophie Coignard, les Francs-Maçons et les remugle...
- Demjanjuk ? un bon petit gars !
- Loi Hadopi
- Et maintenant un peu de prose sarkozyenne
- Et maintenant un peu de poésie citoyenne
- Pharmac-hyène
- Un peu de persil en plus
- Citrons confits, qu'en faire ?
- Ultra gauche et pourquoi donc ?
- Des gens bien
- François Bégaudeau et les stades.
- Gestion ménagère et exotisme incontrôlable
- Oh putain, la honte !
- Découpations
- Roux et Combaluzier
- Gauche, droite, ouverture et contagion
- Claude Allègre ou La Joie, toujours.
- Deux ans déjà !
- L'Afrique c'est chic ! (aucun rapport avec le mess...
- Le Djembé ou quand l' Afrique se venge enfin de l'...
- Berdache ! ou les mots voyageurs
- Parlons peu mais parlons bien !
- Du divin Marquis au divin Mallarmé
- l'Affreux Jojo
- Démocratie et Résistance
- Ça y est, nous vl'a de r'tour ! et j'en ai à ra...
-
▼
mai
(80)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire