Dans un message précédent, je me suis un peu inquiété tout en reconnaissant leur utilité de ce que la publicité faite autour des " Enfants de Don Quichotte" risquait paradoxalement de se faire aux dépends de ceux qu'ils soutiennent.
Les associations lyonnaises qui font le même travail avec efficacité et dans la discrétion depuis des années trouvent un peu fort que les " Enfants de Don Quichotte" viennent aujourd'hui à Lyon leur donner des leçons de bienfaisance. Ils parlent d'une surmédiatisation et des dangers qu'elle risque d'entraîner...
Voilà... Je pensai un moment y être allé un peu fort... Finalement...
Voilà... Je pensai un moment y être allé un peu fort... Finalement...
7 commentaires:
C'est pas joli de se faire passer pour un pionnier du trottoir, cela s'appelle comment : usurpation, falsification, embrouille, marinière, les lyonnais ne sont pas des Sancho Penza... Quand extrapolation rime avec raison finalement! Vous aviez raixon.
Y a des fois ou l'on aimerait mieux avoir tort...
Avoir raison à contre-coeur...
J'étais sans machine, raide comme un cure-dent hihi, et donc très en retard dans mes lectures. Sur Cocteau que je considère comme un talentueux prestidigitateur, j'ignorais qu'il pensait cela de De Staël... Sur son suicide, j'ai osé avancé que cela s'inscrivait dans une double logique : individuelle et picturale... Et comme étant la dernière signature d'un homme entier, "inconcessible", étant allé jusqu'au vout de sa démarche! Cette facilité ou aisance de Cocteau m'a toujours dérangée, mais j'aurais dû "justement" écouter ce qu'il disait dans son journal que j'ai parcouru avec une répulsion première. Aujourd'hui peut-être ne me tomberait-il pas des mains...
Bonne lecture!
Amicalement.
La question ne se pose plus, le peintre c'est de Staël, pas Cocteau...
Mais Cocteau est étonnant, car il a à une époque où ce n'est pas courant, à coté d'une intelligence " mondaine",la meilleure des intelligences, l'intelligence du coeur...
Cette intelligence que Roger Stéphane sut capter dans son remarquable "Portrait souvenir".
Amicalement
Vous êtes à Lyon ? Ma grande amie s'y est exilée pour une histoire de coeur.Pour un poète !
Cocteau oui, pardon. J'écoute et me tais.
Non je suis à Paris.
Mais j'ai vécu à Lyon. Ville de Louise Labé,"la Belle Cordelière", ville superbe. Votre amie a bien choisi.
Non, pas bien choisi. Pas totu tout à fait. Elle me manque cruellement la bella amiga . Nous devions monter une pièce, faire un radio-blog boire les meilleurs vins de miel... Ah !!!! L'amour quel avaleur de temps.
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