Un mardi comme un autre... Trois millions de manifestants.
Ambiance mérovingienne : Roi Fainéant/Maires du Palais
La France serait,, depuis le début de la semaine, gouvernée, non par le président de la république, ni par le premier ministre, mais par le président d'un parti politique alors qu'elle devrait l'être par le "Président de tous les français"... On retrouve en fait un peu dans cette dilution de l'exercice du pouvoir ce qui était aussi la coutume dans certaines dictatures prolétariennes, la comparaison, on s'en doute, s'arrête là ...
Pour ce qui est du premier ministre en titre, c'est désormais et pour longtemps sans doute, un cas unique, celui d'une créature bouffie d'orgueil et néanmoins dépourvue du moindre amour propre, du plus mince soupçon de dignité... Après le coup que ses camarades viennent de lui faire en le désaisissant de tout, il eût été décent de démissionner, de lâcher enfin prise... Non, Monsieur ! un hussard reste sur sa monture et comme le vaillant pou du pubis, le Galopin s'accroche...
Galopin de Villesout, c'est un enfant têtu qui reçoit de bons coups de pieds au cul ,de robustes taloches et qui dit en crânant : " même pas mal ! "
Et c'est donc un parti politique qu'on charge d'engager les négociations... C'est le réprésentant d'un parti politique à la chambre des députés qui envoie des invitations à venir débattre... ça va pas être triste...
Il ne faudrait pas que les syndicats se précipitent.. Car s'il y a un momnent où il faut surtout ne pas mollir, c'est bien maintenant...
_____________________________________________________________________________________
Ah! aussi, j'en assez d'entendre des gens payés pour causer dans le poste dire qu'on "pallie à un manque". Non, gougnafiers radiophoniques de tous sexes et de toutes obédiences, "pallier un manque" est transitif, tout comme : "dire des conneries" . Je ne vous dirai pas, au risque de m'énerver, que j'ai encore aujourd'hui même entendu : des "propos qui se sont avérés faux". Ils ne pourraient pas en faire d'autres, pourquoi toujours ces deux là ?
Je sais, y a des choses plus graves, telles que s'asseoir sur les négations...et écrire comme on cause... Il n'empêche que je m'énerve de ce que je veux et que c'est pas le CPE qui va me calmer. Comment ça n'a rien à voir ? Et alors ? Comme Napoléon dictait plusieurs lettres à la fois (et à son secrétaire-ah! ah!), je suis capable d'énervements concomitants, successifs et simultanés. Ah non mais !
Ambiance mérovingienne : Roi Fainéant/Maires du Palais
La France serait,, depuis le début de la semaine, gouvernée, non par le président de la république, ni par le premier ministre, mais par le président d'un parti politique alors qu'elle devrait l'être par le "Président de tous les français"... On retrouve en fait un peu dans cette dilution de l'exercice du pouvoir ce qui était aussi la coutume dans certaines dictatures prolétariennes, la comparaison, on s'en doute, s'arrête là ...
Pour ce qui est du premier ministre en titre, c'est désormais et pour longtemps sans doute, un cas unique, celui d'une créature bouffie d'orgueil et néanmoins dépourvue du moindre amour propre, du plus mince soupçon de dignité... Après le coup que ses camarades viennent de lui faire en le désaisissant de tout, il eût été décent de démissionner, de lâcher enfin prise... Non, Monsieur ! un hussard reste sur sa monture et comme le vaillant pou du pubis, le Galopin s'accroche...
Galopin de Villesout, c'est un enfant têtu qui reçoit de bons coups de pieds au cul ,de robustes taloches et qui dit en crânant : " même pas mal ! "
Et c'est donc un parti politique qu'on charge d'engager les négociations... C'est le réprésentant d'un parti politique à la chambre des députés qui envoie des invitations à venir débattre... ça va pas être triste...
Il ne faudrait pas que les syndicats se précipitent.. Car s'il y a un momnent où il faut surtout ne pas mollir, c'est bien maintenant...
_____________________________________________________________________________________
Ah! aussi, j'en assez d'entendre des gens payés pour causer dans le poste dire qu'on "pallie à un manque". Non, gougnafiers radiophoniques de tous sexes et de toutes obédiences, "pallier un manque" est transitif, tout comme : "dire des conneries" . Je ne vous dirai pas, au risque de m'énerver, que j'ai encore aujourd'hui même entendu : des "propos qui se sont avérés faux". Ils ne pourraient pas en faire d'autres, pourquoi toujours ces deux là ?
Je sais, y a des choses plus graves, telles que s'asseoir sur les négations...et écrire comme on cause... Il n'empêche que je m'énerve de ce que je veux et que c'est pas le CPE qui va me calmer. Comment ça n'a rien à voir ? Et alors ? Comme Napoléon dictait plusieurs lettres à la fois (et à son secrétaire-ah! ah!), je suis capable d'énervements concomitants, successifs et simultanés. Ah non mais !
5 commentaires:
cher pp le moqueur,
Ainsi tu ignorais que dans le cadre scolaire, pour être intégré(e), rien ne vaut la cancriture avérée (est-ce utilisé à bon escient?) ou feinte. Mon second garçon pourvu d'un périmètre crânien conséquent, d'une paire de lunettes et manifestant une curiosité non limitée aux résultats des match de foot, et autres codes d'accés aux jeux vidéo, se fait régulièrement traité d'intello et ce n'est pas un compliment. Il ne le vit pas très bien. L'aîné lui a renoncé et résolument décidé de se pas se démarquer et s'il lui arrive encore de confier en privé qu'il aimerait être poète, il sait qu'il vaut mieux dire à ses copains qu'il voudrait devenir joueur de foot professionnel pour gagner plain d'argent. Pour ne pas qu'une tête dépasse, la solution n'est-elle pas,de toutes les couper?
Oui, on en revient à cette phrase qu'on prête ( on ne prête qu'aux riches, bien sûr! ) au regretté Goebbels :
Quand j'entends le mot "culture" , je sors mon revolver...
Grosses bises
regretté, regretté Goebbels (!), cher pp, pour te connaître, je pense qu'une négation a du malencontreusement t'échapper...En ce qui concerne l'attribution de la citation, si on se réfère au documentaire de François Reisenbach "De Nuremberg à Nuremberg", qui est une bonne source, il semblerait que ce soit un Histrion SA ou SS, Von Schirach, qui l'ai prononcée. A suivre.
C'était de l'humour à la Jean Yanne ou à la Mermet d'il y a vingt ans... On date et oui !
Mais visiblement c'est raté...
J'ai pas de pot depuis hier...
Bises et re-bises néanmoins et quand même !
Ah! désolé ce n'est pas à Daniel Mermet que je pensais, mais à Cluade Villers.
Enregistrer un commentaire