Lu dans le canard de la Mairie de Poitiers :
"En recevant, jusqu’au 4 juin, les sculptures de Vincent Barré, le musée Sainte-Croix s’ouvre à un artiste qui « nous livre la logique des corps dans l’espace en jouant de façon contradictoire sur les effets sensibles de la pesanteur » explique Philippe Bata, conservateur des musées de la Ville de Poitiers."
“En sortant de l’exposition des fenêtres de Picasso, chez Rosenberg, j’ai entendu (aussi) Marcoussis* dire : Il a résolu le problème de l’espagnolette !
Voila où on en était !” dit Jean Cocteau dans son Portrait Souvenir (Roger Stéphane/Éditions Taillandier 1964/1989). Le discours du conservateur du musée de Poitiers cité ci-dessus ne l'eût sans doute et dans un autre style, quatre-vingt ans après, pas vraiment étonné ...
* Grand peintre au demeurant... ( appréciation toute personnelle de PP le Moqueur...)
"En recevant, jusqu’au 4 juin, les sculptures de Vincent Barré, le musée Sainte-Croix s’ouvre à un artiste qui « nous livre la logique des corps dans l’espace en jouant de façon contradictoire sur les effets sensibles de la pesanteur » explique Philippe Bata, conservateur des musées de la Ville de Poitiers."
“En sortant de l’exposition des fenêtres de Picasso, chez Rosenberg, j’ai entendu (aussi) Marcoussis* dire : Il a résolu le problème de l’espagnolette !
Voila où on en était !” dit Jean Cocteau dans son Portrait Souvenir (Roger Stéphane/Éditions Taillandier 1964/1989). Le discours du conservateur du musée de Poitiers cité ci-dessus ne l'eût sans doute et dans un autre style, quatre-vingt ans après, pas vraiment étonné ...
* Grand peintre au demeurant... ( appréciation toute personnelle de PP le Moqueur...)
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