31 octobre, 2013

Sel de table et empreinte carbone...


Je pourrais comme les gastronomes qui écoutent la télé saler mes repas à la Fleur de Guérande... Mais vu que l'écotaxe a fuit la Bretagne à tire d'aile, et qu'ils ont ôté les portiques, je n'ai plus aucun scrupule à me saler comme je le fais depuis des années au sel rose de l'Himalaya...

2 commentaires:

CHROUM-BADABAN a dit…

Moi, je sale avec la boite ronde, blanc et bleu, avec un enfant, en culottes courtes, qui courre après un oiseau pour lui saler la queue !
J'ai jamais compris pourquoi le gosse faisait ça au piaf ?!
Déjà, petit, j'étais éberlué quand les adultes parlaient de saler la queue d'un piaf...
Mystère mystère...
Mystère païen !

P. P. Lemoqeur a dit…

Mais bien sûr ! Quand j'étais (tout) petit on me disait que pour attraper un oiseau il fallait lui mettre "un grain de sel" (pas la salière entière, gâchis !) sur le bout de la queue...

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